dimanche 14 décembre 2008

BACK-ON YES!!!


Yes !!! Il est enfin là, le premier album des Back-on. Finis la période des eps et des démos. Nos cinq jeunes garçons signent enfin leur premier disque. Il faut rappeler qu’il s’est écoulé plus d'un an entre l’annonce de cet opus et le single Blize Line(rappellons que lors de la sortie de ce dernier le groupe avait annoncé l'arrivé prochaine de l'album).

Mais avant l’écoute, on tombe de notre nuage en voyant la track list. Non, rassurez vous, l’album est bien rempli, rempli des vieux titres présents sur les ep précédents New World et Adachi Tribe. Ainsi on retrouve Chain, le titre qui a propulsé le groupe sur le devant de la scène mais aussi New World Flydom et Drive. Fort heureusement les singles Blaze Line, Flower, Sands of time et Butterfly sont là pour apporter de la nouveauté.
C’est sûr que sur ces 14 titres, les surprises sont rare. Très rare quand on voit que parmi les deux titres bonus, on retrouve Color dans une version remixée.
Bon on fait quoi ? C’est quand même un nouvel album et il y a le titre Butterfly. A lui seul on retrouve l’ambiance folle du quintet. Une pointe d’électro, un son métal et un chant rap à rendre jaloux les pointures américaines. On retombe sur cette épice, ce petit plus qui nous donne envie de jumper et de reprendre en chœurs le refrain. Butterfly c’est du cent pour cent Back-on et rien qu’avec cette écoute on regrette que l’album n’ait pas suivi cette direction. C’est une révolution qui chamboule même nos neurones. Et on se demande ce que ce titre peut offrir sur scène, car comparé à Blaze Line qui fut joué à Los Angeles, il y a un gouffre. Ce dernier ne présente aucune structure mais aussi aucun intérêt.

Et de l’intérêt on a du mal à en donner vu que cet album est trop hétéroclite à nos goûts. On n’arrive pas à y entrer, il fait plus best of que premier album. On a même l’impression que le groupe était en mal d’inspiration et qu’ils ont pioché dans les premiers eps pour donner vie à ce Yes !!!.
Mais ce qu'on regrette, c’est qu’en écoutant les 4 singles qui composent cet album on découvre des faces b qui aurait pu avoir leur place. Sur le single Blaze Line, le groupe avait offert le titre Eyes qui a rencontré parmi nous plus d’intérêt que les deux titres phares du CD. Et malheureusement il absent.

Yes !!! Au final n’est que du réchauffé, le groupe se présente comme en 2007, il y a aucune évolution, l’étincelle qu’on avait en voyant cet album s’est éteinte face au manque de nouveauté. Le groupe est très créatif mais ces titres doivent être mis en avant et non compléter les faces b de singles.
On espère que ce premier album n’est qu’un faux départ, et qu’on pourra redécouvrir le plus rapidement possible les Back-on comme on les a connus avec Adachi Tribe ou New World.

Date de sortie 12 novembre 2008


Tracklist
1. Hate Naki Machi he [LA mix]
2. flower [LA mix]
3. NEW WORLD
4. Sands of time
5. Butterfly
6. BLAZE LINE
7. DRIVE
8. a day dreaming…
9. Sonomama de [NEW ver.]
10. Hikari Sasuhou [NEW WORLD ver.]
11. Chain [LA mix]
12. FLYDOM
13. BAReeeeeeeeeeN - color [LA mix] -bonus track-
14. BAReeeeeeeeeeN - Ashiato [LA mix] -bonus track-

lundi 1 décembre 2008

Asie Mineure on passe la seconde

Allez, c’est parti pour une petite mise à jour. Nous sommes à l’heure d’aujourd’hui à 6 mois du départ. Certes c’est assez loin dans le temps mais si proche quand je vois le travail à accomplir. Cependant j’ai bien dégrossi l’intégralité du parcours.
Ces dernières semaines ont surtout été consacré sur les plans administratifs mais aussi de la mise en place du périple sur différents support. Mais avant cela ce fut prise de contact avec mes généreux mécènes qui n’est d’autre que la station de radio NRJ Nouméa mais aussi la marque de vêtements Quiksilver. Pour cela j’ai rencontré à plusieurs fois l’équipe de cette station de radio qui rythme le caillou. Ce fut donc pour moi, rencontre avec Laurent, la personne qui va suivre l’intégralité du projet mais aussi m’aider dans mes démarches financière, Virginie, Ricardo, Laurent et Roméo qui anime respectivement les différentes émissions de la radio. Et, et oui il y a encore un et, et pas pour dire des bêtises comme d’habitude. J’ai eu droit à un passage radio, pour présenter à l’ensemble des auditeurs l’avancement des mon projets. Il y a pas à dire pour ce projet j’ai intérêt à mettre le paquet.
Mais sur le concret j’en suis ou ? Le billet Nouméa Paris est acquis donc le Squekk quitte son cocotier pour rejoindre la métropole. Départ prévu le 12 juin en direction de Tokyo ou je retrouverais mes deux compères (Tinou and Kamen) puis le 16 je serais à Marseille pour finaliser mon voyage avec récupération de mon matériel.
C’est ainsi que mon bourlingage commencera le premier juillet avec Istanbul dans ma ligne de mire. Turquie terre de l’empire Ottoman me voilà. Mais ce n’est pas tout, les surprises qui vont suivre sont de tailles. Car en ce moment même je suis en train de faire mes demandes de visas, et c’est fou toute la paperasse qui m’attend. Avec tous les pays que je traverse j’ai au bas mot plus de 60 pages à remplir avec les mêmes informations. Certains pays ne me poseront point de problèmes mais d’autres me demandent pas mal d’informations et surtout des lettres d’invitations. Et oui les Visas c’est toujours la galère, mais en attendant rien que de planifier ce projet plus que majeur de mon année 2009 me donne des ailes à créer quelque chose de magnifique que ce soit par l’intermédiaire d’un photo reportage ou d’une mise en place d’un petit film sur ces régions méconnus du globe.

lundi 24 novembre 2008

High and Mighty colors Beeeeeest


Nouvel album pour les High and Migthy Colors mais aussi album charnière. Ce best of marque la fin d’un cycle. Pour tous ceux qui n’avaient pas suivi l’actualité du groupe, la belle et charmante Maki avait annoncé son départ suite à son mariage en juin 2008.
Donc Beeeeeest est en quelque sorte la conclusion de plus de quatre ans de collaboration entre Maki et les High and Mighty Colors.

Ce best of fait donc une entrée fracassante avec le titre over enregistré à Okinawa music town. On retrouve sur ce premier toute l’énergie mais aussi le charme des High and Mighty Colors. Le duo entre Maki et Yuusuke est toujours entraînant et une telle fusion sur scène peut rendre nostalgique tous fans du groupe. Une telle puissance sur scène donne des frissons surtout quand le solo guitare fait son entrée. Et une ouverture de ce best of par ce titre permet de mettre les points sur les i et les barres sur les t.
Puis on repart sur la case studio avec le génialissime Ichirin no hana. Le titre taillé pour la scène et qui a révélé le groupe aux yeux du monde par leur présence mais aussi leur qualité scénique. Au même titre que Pride ou encore Run Run Run, Ichirin no hana est l’essence même de High and Mighty Colors.
Bon nous ne vous le cachons pas, ce best of peut faire office de doublon avec l’album 10 colors singles. Cependant on retrouve les derniers titres du groupe comme Remember, le dernier single enregistré avant le départ de Maki. Beaucoup de hargne et d’énergie se dégagent du titre mais c’est sans aucune saveur. On était habitué à mieux de la part du sextet et c’est dommage de finir par une telle note. Surtout que Hot Limit, le single précédent, avait mis la barre bien haute. Et malheureusement il est absent dans ce best of tout comme Run Run Run. Mais on n’est pas là pour parler des absents.
Cependant on retrouve bien les quatre périodes du groupes et le titre Toxic, Amazing et Mirror (face b du single hot limit) illustrent bien la dernière partie d’écriture du groupe. Un son épuré avec une batterie travaillée lorgnant sur le nu métal tout en gardant une note de pop glam.

Néanmoins High and Mighty Colors c’était le mariage du feu et de la glace, un chant envoutant qui répond à des chants rap et gutturaux. Le tout sur une musique héritée du heavy et nu métal tout en s’approchant d’un rock classique et glam. Et parmi ces 15 titres, on retrouve cette ambiance qui donnait toute l’identité du groupe de la violence de Ichirin no Hana et for Dear à la douceur de Enrai~ Tooku ni aru akari~


Vu que nous parlions précédemment des absents. Il est dommage pour un best of qui joue le rôle de conclusion d’avoir omis des titres comme Run Run Run, Hot Limit, Rosier ou encore Earth.
Mais une chose est sûre, les High and Mighty Colors ne sont par morts, en ce moment ils sont à la recherche d’une nouvelle chanteuse. Mais arrivera-t-elle à faire oublier Maki ? Une chose est sûre, la relève sera dure vu la place qu’occupe aujourd’hui le groupe sur la scène rock nipponne. Nous leur souhaitons un bon courage pour la suite et qu’ils continuent à nous surprendre par des titres accrocheurs et qui donnent envie de bouger. Une page s’est tournée mais le livre est toujours ouvert.




Tracklist
01 Over~Live@okinawa music town 2008.8.24~
02 Ichirin No Hana
03 DIVE into YOURSELF
04 PRIDE
05 energy
06 "Here I am"
07 okizarisu
08 Remember
09 Enrai~ Tooku ni aru akari~
10 NOTICE
11 Humming Bird
12 Amazing
13 for Dear...
14 Mirror
15 TOXIC

Date de sortie : 21 novembre 2008.

mardi 11 novembre 2008

Need for speed Nouméa II


Certains d’entre vous doivent ce souvenir de cet article. Et comme toute bonne licence la suite vient d’arrivé. Je reconnais que l’introduction est un peu bancal. Cependant c’est l’intention qui compte.
Alors âpres mes péripéties avec ma zolie 205 bleu ciel cabriolet, il m’a fallut passer à autre chose. Et oui cette fière monture m’aura véhiculé pendant un an avant de finir saccagé et brulé sur un parking.
Donc durant le moi de septembre je suis tombé sur une occasion de folie. Sur l’annonce il était noté tout simplement vend rover 214i année 99 très bon état 300 000 francs à débattre. Je me suis dit, tiens même si les rover n’ont pas la cote pourquoi ne pas essayer surtout avec le à débattre. Car depuis juillet j’en avais marre de faire le piéton et d’essayer des épaves vendu 250 000 francs.
Mais à mon grand dam quand j’ai vu la voiture j’ai vite déchanté, c’était un cabriolet et moi avec les cabriolets j’ai pas eu de chances surtout pour les pièces. Mais le vendeur m’a quand même conseillé de l’essayer. Et j’ai été conquis. Je vois déjà venir ceux du fond qui vont me dire pigeon et bonne poire. Et là je ne dirais pas ca. Ici la Calédonie vit au rythme du 4x4 et du pick up. Ces véhicules valent de l’or. Surtout quand on sait qu’il se vend un Porsche Cayenne par moi. Et comme le paysage automobile est différent certains véhicules n’ont pas la cote comme les monospaces. Les Evasions, les Espaces et autres 806, Modus vous oubliez c’est invendables tout comme certaines marques tels que Rover ou Saab. A la différence des H100 de Hyundai ou autres Berlingo de citroen.
Mais vu que j’en avais marre de faire le piéton il fallait bien un véhicule et apres négociation j’ai passé le pas pour m’acheter cette Rover 214i 16V cabriolet avec 60 000 Km au compteur.

Pendant deux mois j’ai put l’essayer en ville et ce week end je lui ais mis dans les dents plus de 1000 bornes en montant à Hienghène pour voir la tester sur de longues distances. Et le verdict au final est que cette voiture est une très bonne occasion. Et tout le monde le reconnaît, elle a une pêche d’enfer même chargé, une tenue de route hallucinante et une consommation exemplaire.

Donc je suis content cette nouvelle tuture. Ah oui j’oubliais elle a même l’alarme. Que demandez au peuple.

dimanche 2 novembre 2008

Assassin's Creed


Avec plus d’un an de retard je viens de finir Assassin Creed. Alors le verdict, génial sur tous les points.
Je sais que le jeu possède quelques défauts dont le premier fut que Altair ne sache pas nager. Ca m’a un peu blasé mais bon ceci est insignifiant par rapport aux restes. Déjà le concept, par son histoire mais aussi par son orientation de jeu. On évolue entre infiltration et Yamakasi sur un fond de croisade. Et le mélange est plus qu’explosif. Car rien que le fait d’évoluer dans Damas, Saint Jean d’Acre et Jérusalem vaut tout ce qu’on peut vous dire sur le jeu. J’ai passé de bon moment à sauter de toiture en toiture à escalader les minarets ainsi que les clocher pour pouvoir me perdre dans la splendeur de ces villes. Mon coup de foudre va quand même à Damas, même si St Jean d’Acre n’est pas trop loin par son coté sale et son mélange entre orient et occident.
Alors ces villes sont vastes et détaillé sur chaque point, on voit que l’environnement eut une place d’honneur dans le jeux avec toutes ces ruelles, ces places et cette foule bruyante vivante ( ah je hais les mendiants) et réactive. Certes dans un jeu style infiltration c’est un peu normal, mais ils auraient put aussi se la jouer feignant et ne pas nous donner toutes les options. J’imagine même pas si on aurait put entrer dans les habitations. Car là ca aurait été orgasmique.

Pour le jeu en lui-même et son intérêt, beaucoup se sont plaint du coté répétitif des missions. Chose que je peux comprendre même si pour ma part j’ai pas trouvé ceci dérangeant. Le fait de prendre des gens en filature et de devoir faire des interrogatoires forcé ne m’a point dérange durant les 9 missions. Surtout que je me suis amusé à faire toutes les missions avant d’attaquer l’assassinat tout comme le fait de faire toutes les missions secondaire. Là je me met en stand bye et je pense reprendre le jeu pour le finir à 100 pour cent en retrouvant tous les drapeaux et les templiers.

Quand à l’histoire le concept en lui-même est génial c’est juste dommage que la surprise soit révélé des le début de l’histoire. J’aurais plutôt laissé des sous entendus pour une révélation à la fin du jeu. Mais peut être que la sauce n’aurait pas prise. Mais en tout cas j’attends la suite avec impatience.
Mais déjà nous faire revivre dans le moyen orient des croisades fut tout bonnement excellent. L’immersion pour ma part fut totale avec les gens qui parlent arabe en allemand ou encore ce mélange subtil au niveau de la musique entre chant grégorien et musique arabe.

Que du bonheur pour un jeu qui m’aura quand même tenu en haleine pendant plus de 20 heures.

vendredi 17 octobre 2008

XIII le détail




Bon âpres visionnage des deux premiers épisodes de XIII je dresse mon bilan sur cette adaptation. Ces deux premiers épisodes couvraient la première partie de la conspiration des XX. Partie qui pour nous lecteurs nous a donné envie de suivre les aventures de notre amnésique. Cependant cette version TV a perdu de son charme par la suppression d’éléments qui rendait l’ensemble plus réel mais aussi plus haletant.
Pour l’écran on est entre une ambiance à la 24h et à la Jason Bourne tandis que dans la bd on était dans une ambiance très conspiracy.

Alors commençons déjà par les acteurs.

Stephen Dorff qui incarne notre XIII, a certes un charisme qui donne vie au personnage. On ne peut pas lui reprocher le rôle. Il joue parfaitement XIII dans sa quête de vérité et d’identité. Ce qui me dérange c’est son physique ( je sais on ne se moque pas du physique). Mais cette coupe courte sans marque blanche ne colle pas du tout. Je sais changement de mode, mais XIII doit avoir cette petite bande blanche sur la tempe. C’est ce qui lui donnait tout son charme. Certes Stephen Dorff n’est pas très connu et c’est pas plus mal car ca nous permet nous téléspectateur de l’identifié dans le rôle ( je reconnais qu’il a pas fait que du bon, car joué dans le clip de miss pouf alias Britney Spears ca le fait point).


Lucinda Davis se retrouve a incarné le major Jones. Et là ca se corse, je ne la dénigre point, mais Jones c’est Jones, c’est une poupée qui a du répondant dans la série. Et là elle est incarné pour joué la potiche et Lucinda Davis n’arrive pas à nous faire rêver comme pouvait le faire le Major.

Stephen McHattie m’a surpris dans son rôle de Ben Carrington, je l’ai senti en totale osmose avec son personnage. Je voyais Carrington, le Carrington de la BD, celui d’un vieux général qui a vécu et que rien ne surprend. Certes il y avait le cigare en moins. Mais on a ici notre Ben.

Val Kilmer en Mangouste alors je dis non, c’est quoi ce choix qui frise le ridicule. La mangouste avec des cheveux et en plus jeune. J’ai du mal à le concevoir qui de plus est joué avec impétuosité et manque de sang froid. C’est Val Kilmer qui ici à droit à son zero pointé.


Greg Bryk en Amos, bien là aussi on a un petit jeune plein d’impétuosité et qui se la joue nouvelle école à la différence de son alter ego dans la bd qui lui était plus comme un Sherlock Holmes. Bref le rôle à été redéfinis comme pour la Mangouste je présume et ca perd en authenticité.

Bon je critique pas mal en tant que lecteur. Et toujours en tant que lecteur je suis déçu par ces choix. Mais si je met en tant que téléspectateur qui ne connaît rien à la bd la magie peut prendre. Avec moi j’ai essayé de me laisser séduire et ca a marché hormis pour Jones qui reste toujours potiche et Amos qui ne me parle pas du tout.
Mais tout ceci vient de l’adaptation, chose que je vais aborder.

Alors adapter XIII en téléfilm est une bonne idée mais juste deux épisodes pour la conspiration des XX c’est trop peu pour moi. Surtout que cette partie de la bd est couverte par 5 tomes qui sont :

-Le jour du Soleil Noir
-Là ou va l’indien
-Toutes les Larmes de l’enfer
-Spads
-Rouge total

L’adaptation TV n’a exploité que les éléments de tomes suivants, Le jour du Soleil Noir et Rouge total. Ca fait peu n’est ce pas ? Surtout quand on connaît le potentiel de ces cinq tomes. Alors décortiquons ca ensemble (comme au lycée quand on ouvrait nos crevettes) en comparant les deux supports et en voyant si c’était obligé ou pas.

L’assassinant alias le jour du soleil Noir, dans la bd c’est un remake à la Kennedy. William Sheridan est abattu par un sniper dont la seule image provient d’une camera amateur. Apres investigation le tueur n’est pas identifié mais l’idée de complot est présenté. Le Colonel Amos chargé de l’enquête va passer plus de 3 mois à réunir les différents éléments avant de retrouver XIII.
Ce dernier est réapparut âpres c’être échoué sur une plage Pendant deux mois il va vivre chez Abe et Sally tout en étant suivit médicalement par Martha. Cependant il est vite retrouvé et Abe et Sally sont tués. C’est ainsi que commence sa recherche, l’un des agresseurs possédait une photo de XIII avec une femme.

Dans la série TV l’ensemble est presque identique hormis le fait que XIII se fasse remarquer par une camera de vidéosurveillance et qu’il soit recueillis suite à saut en parachute. Le personnage de Martha disparaît, et les agresseurs ne sont d’autres que la NSA et la Mangouste. XIII est découvert non pas par hasard mais via internet et une memory card. Et oui nouvelle époque nouvelle technologie. Mais le fait que la mangouste s’en mêle directement me dérange surtout qu’on le voit exécuter lui-même Sally et le tout avec impétuosité. Mais ou est passé ce personnage au sang froid si énigmatique ?

Puis au fil de l’épisode on remplace Eastown par New York mais aussi Abigail Frazier l’archiviste des personnes disparues est elle aussi remplacé par Sam (joué par Caterina Murino) qui est photographe. Son rôle est un gros Medley entre Abigail mais aussi le vieux Joe et le petit David. Mais ce gros medley s’explique par la suppression du clan Rowland. Mais je n’en suis pas encore là donc il faudra patienter.
On arrive à l’affaire du soleil Noir, XIII retrouve Kim Rowland via un subterfuge ou un agent de police l’aiguille indirectement à se jeter dans la gueule du loup. Ainsi XIII commence son enquête sur lui-même. Il découvre la maison de Kim Rowland dévasté mais aussi une photo qui lui indique d’aller là ou va l’indien et une clé de coffre fort. Le voilà démasqué et prêt à tomber dans le bras d’Amos mais aussi dans les griffes de la mangouste. Sa recherche d’identité se met en route petit à petit. Il est seul accusé du meurtre de William Sherridan et la Mangouste détruit déjà son entourage.

Dans la série il retrouve la piste de Kim via la photo que posséder la Mangouste. Et en faisant une recherche sur sur le studio de développement il rencontre Sam qui va lui fournir l’adresse de Kim. Son appartement est sous surveillance par la NSA et XIII se jette dans la gueule du loup. Il trouve non pas la clé du coffre mais le contenu de ce dernier mais aussi le petit mot du là ou va l’indien. Si dans la bd on ne sait pas trop comment il va faire, ici il retourne voir Sam et avec Internet il va retrouver l’adresse de Kim et se jeter dans les bras d’Amos (vous noterez la subtilité).

Ainsi à la fin de cet épisode il se fait capturez, mais il est au courant de sa chirurgie plastique et du complot. Carrington lui avoue tout ce qu’il sait et ainsi on peut jeter aux oubliettes les tomes de là ou va l’indien et de toutes les larmes de l’enfer. Chose qui m’énerve non pas le tome de là ou va l’indien mais celui de toutes les larmes de l’enfer ou on voit XIII croupir en prison avec des fous. Scofiled et ces enfants de chœurs c’est bon pour Discovery channels.

Donc exit le passage ou XIII croit être être Steve Rowland, les recherche sur cet énigmatique là ou va l’indien, et sur cette conspiration car quand XIII rencontre Kim il voit qu’il c’est rejeté dans la gueule du loup mais aussi sa rencontre avec Carrington et Jones. Cette première rencontre qui donne à ce trio tant d’authenticité.
On perd tout le charme de la série avec un amnésique qui se trouve toujours au mauvais endroit et au mauvais moment. On perd le coté «fun » de Jones, j’ai adoré le petit baiser qu’elle lance en jetant XIII du haut de l’hélicoptère.
Mais ce n’est pas tout au revoir cet aspect fou de l’Amérique profonde et campagnarde mais aussi de ces pénitenciers à haute sécurité. Mais le pire de tout étant le jeu du chat et de la souris entre Amos et Carrington.






Puis on arrive a Spads ou les XX commencent à apparaître aux grands jours mais là aussi la finesse à été omise. Dans Spads XIII alias Ross Taner est envoyé chez les Spads (special assault destroying sections) a San Miguel. Sur place il rencontre Betty mais aussi le colonel Mac Call ( un membre important dans l’organisation). Pendant ce temps Carrington et Amos se font la guerre sur l’enquête du Jour du Soleil Noir. Et Amos commence à remonter la piste et découvrir que le gouvernement est vérolé. Pour cela il sera mis dans la confidence via Carrington et Henry Sheridan le père de William. Malheureusement tout ceci ne sera pas mis en image et on ira au but via un artifice détourné.
Ainsi au revoir cette toile d’araignée qu’était les XX, au revoir le colonel Mac Call avec ces lunettes noir (certes le nom sera conserve mais le perso perdra en importance), au revoir Betty, au revoir le vieux lion alias Henry Sheridan mais aussi tout ce gouvernement verolé.
La série met en importance l’action et les énigmes bateau pour ne pas perdre le spectateur. Ainsi Calvin Wax qui était dans l’ombre passe au jour. Et son rôle de fripouille explose au grand jour. Bon l’acteur qui l’incarne donne cet aspect mais on pas l’aspect froid qu il dégeait dans la bd.

Donc cette deuxième partie fut presque réécrite pour laisse place à Wax et à la Mangouste. Jones qui jouait un rôle important mais aussi qui montrait son amour à XIII disparaît pour un rôle de poseuse. Plus d’intrigue mais de l’action. Le coup d’état se fait lors des élections alors que normalement il devait se faire pendant un exercice militaire sur le territoire américain. D’où le nom rouge total, mais aussi monter la folie de Wax ( qui est prêt à faire peter Moscou et Pekin pour la gloire américaine.

Bref avec ces deux épisodes on garde l’essence de XIII mais on perd dans le charme de la serie. Et ca je regrette surtout pour les personnages avec une Mangouste chevelu, un Amos à deux bras et une Jones poseuse.
Par cette adaptation la personne qui connaît la série est aussi surprise car elle connaît les point A et B mais au milieux tout change pour la surprendre et la faire accrocher. On redecouvre XIII sous un autre jour, est ce bien ou pas ? Je ne sais pas trops pour ma part je ne ne me suis pas ennuyé mais je regrette l’oublie de certains éléments et la modifications des persos.
Mais je suivrais la serie avec attention surtout lors du passage du Costa Verde.

Je tiens à noter que j’ai fait un gros résumé preferant en evitant de détaillé trops tant que les prochains épisode ne sont pas diffusé. Preferant me replonger bien dans ces cinq tomes et dans XIII the mystery.

mercredi 15 octobre 2008

XIII


Alors je viens de voir le premier épisode, le jour du soleil noir. Que dire...

Bon tout d'abord je suis très content de cette adaptation. Et je tiens à le dire c'est une adaptation on reprend l'essence de la série mais pour pouvoir surprendre un minimum le téléspectateur qui connait la bd on change la donne. Et cette adaptation tiens bien ces promesses. On retrouve tous les ingrédients de XIII mais sous une autre forme. Attention ça ne bouge pas des masses par rapport à l'original mais on arrive sur les éléments clés par d'autre chemin. Il faut dire aussi qu'on passe de la mode années 80 à celle de 2000. Donc un autre monde une autre technologies et d'autre facteur externes.
Cependant cette modernisation était pour moi obligatoire comme les chemins détournes. Alors cette épisode couvre les deux premiers tomes mais il clarifie l'ambiance de conspiration, chose qui n'était à peine énoncé dans les bd. Tout comme aussi l'identité de XIII. On sait d'or et déjà qu'il n'est pas Steve Rowland et qu'il a subit une chirurgie faciale. Mais les scènes d'investigations et de traques sont tres bien tournées car comme dans la BD on sait pas si ce sont des alliées ou des ennemis.

Donc ravi par ce premier épisode et je vais tout faire pour suivre la serie.

Maintenant en tant que lecteurs certains points m'ont un peu choqué voir meme outre. Mais pas au point à dire que c'est nul et pas beau.
Alors dans l'ordre :
-Carrington et Amos se connaissent, c'est bête mais bon ca peut eviter des quiproquo injustifié
-Amos n'est pas manchot ca c'est vraiment dommage
-XIII n'est pas retrouvé echoué sur une plage là aussi je me demande comment ils vont faire pour rejoindre cette piste avec la bd XIII contre I
-On evite tout le coté retrouvaille famille Rowland. Good mais le personnage de Felecity saute mais son role etait plus que tertiaire dans le tome donc ca ne me dérange point.
-Jones fait partie de la CIA, et là ca me dérange et elle n'est pas aussi bien roulé que dans la BD et elle connait XIII depuis le début.

Bon j'attends avec impatience la suite qui rependra toutes les larmes de l'enfer et j'espere que ca sera dantesque. Et je me relis la serie en ce moment pour faire un bon comparatif entre la TV et la BD.
Rendez vous ici ce week end pour une disection complete by me.

jeudi 2 octobre 2008

Parcours les premieres etapes

Bon ca y est le point de départ est fixé. Et oui j’ai réussi à trouver le point start et c’est pas mal. De plus dans mon élan j’ai marqué mes étapes sur ce périple qui va m’en faire baver. Et comme le disais si bien Vallois dans les chevaliers du ciel, là je vais en chier.

Donc départ prévu pour le 25 juin en direction d’Istanbul et oui je passe par la Turquie et toute la région du Cappadoce. De là direction Ankara, la capitale et le tout pour une bonne dizaine de jours. Je compte me faire Istanbul et son détroit les troglodytes et passer les ruines de la mythique cité de Troie.
Puis direction le centre avec Ankara sur les pas de l’empire Ottoman.
Une fois là bas ca sera posage visite, avant de prendre l’avion pour Bakou la capitale de l’Azerbaïdjan. Je ne sais pas encore combien de temps je vais y passer mais je sens que je vais me laisser tenter pour une petite semaine à découvrir ce pays et son rivage.
Puis continuant le trip hot saucisse (copyright Tinou) j’embarquerais sur le ferry en direction de Aktau dans le Kazakhstan. Vous l’aurez compris j’évite l’Iran pour des problèmes de paperasses et d’empreintes digitales. Et oui, car si je veux le visa il faut que je monte à Paris à l’ambassade déposer les traces de mes jolis mimines. Donc ca sera pour une prochaine fois mais en attendant ca me permettra de me faire le pays Kazak en long et en large.
Car de là je traverserais l’Ouzbékistan pour rejoindre le Panshir et ensuite remonter vers le Pamir.
Je commence bien à dessiner mes zones d’intérêts et tout ce portera sur cette région avec le Panshir et la Mongolie. Pour la Chine ce n’est juste qu’une finalité donc je n’ai pas trop envie de m’y attarder. Néanmoins juillet-Aout et Septembre ca sera le centre de l’Asie.

La je suis toujours en attente sur mes bouquins pour finaliser ce passage là. Cependant je prévois arrivé au Panshir sur les coups de mi juillet fin aout.

jeudi 18 septembre 2008

Prelude au bourlingage


Prélude au bourlingage en Asie mineure

Pour ceux qui n’auraient pas suivit les éléments d’aout, je fais une piqure de rappel.

Il y a un peu plus d’un moi NRJ et Quicksilver se sont associés pour aider financièrement un auditeur à réaliser son rêve. N’y croyant pas du tout et écoutant les conseils de Mitch ( qui texto disait : Bon Squekk tu participes ou j’expédie le mail à ta place) j’ai envoyé ma candidature. Et suite à cela j’ai été sélectionné pour défendre mon projet à la radio. Et mercredi 27 aout j’apprend que je suis l’heureux gagnant.

Oui mais l’heureux gagnant de quoi ? De partir pendant 4 mois me faire la route de la soie. C'est-à-dire Un Istanbul ou Téheran Pekin ou Hong Kong. Je n’ai pas encore définis mes points d’arrivés et de départ. Il faut dire que je suis toujours dans l’attente des mes livres (merci la poste merci l’opt merci les douanes). Mais mon parcours est quand même déjà défini sur les grandes lignes ainsi que les pays traversés. Ceux qui me connaissent savant que l’Aghanistan et sa vallée du Panshir figurent en tête de liste des mes destinations. Mais avant d’en arrivé là voici le parcours. Je tiens à signaler que ca ne sera pas du tourisme mais un gros treck transcontinental découpé sur plus de 4 mois. Avant d’énoncer les principales étapes je peux déjà annoncer les dates de départ et de retour.

Normalement je quitte Nouméa le 12 juin pour n’y revenir que le 19 octobre. Normalement avant d’arrivé en France je m’arreterais quelques jours à Sydney en Australie et à St Denis à La Réunion, pour arriver au niveau du 18 juin à Marseille. Sur place ca sera course et préparation du matériel avant de redécoller au niveau du 25 juin soit pour la Turquie soit pour l’Iran. Et ainsi je commencerais mon bourlingage à pieds, à cheval en bus et en vélo en direction de l’Extrême-Orient. Les pays qui seront traversés sont les suivants

-Turquie (sous réserve)

-Iran

-Turkménistan

-Ouzbekistan

-Tadjikistan

-Afghanistan

-Kirghizistan

-Kazakhstan

-Mongolie

-Chine

Je compte arriver en vue de la mer de chine aux environs du 10 octobre si tout ce passe bien. Bon le détail est très sommaire mais il a le mérite d’être clair. Il va de soit aussi que certains pays ne seront que traversé tandis que d’autre ou je me poserais plus longuement comme L’Afghanistan, le Kazakhstan, la Mongolie et l’Iran.

Et pour ce long périple je compte en faire un projet majeur de mon année 2009, donc ca sera camescope et tentative de monter un voyage en podcast. Bon on est encore loin mais les preparatifs commencent maintenant avec les demandes de visas.

Mon prochain billet détaillera et confirmera le début du périple avec le choix de mon point de départ.

samedi 9 août 2008

Un jour trop lisse


Alors... Il faut bien se remettre à écrire de temps en temps. Surtout qu'en ces temps pluvieux je n'ai que ça à faire. Pas de console pour jouer au Geek, pas de Dark Knight au ciné, et pas de moyens de locomotions pour sortir de la ville.

C'est ainsi qu'en ce magnifique (irionie inside) week end d'aout que je remet à jour ce blog. Donc depuis ma petite escapade à l'ile des pins en mai dernier je n'ai pas fait grand chose hormis un petit séjour en Asie avec des crapahutage de montagne et de jungle.

Aujourd'hui ca fait un peu plus de trois semaines que je suis rentré et il c'est passé pas mal de choses. Donc j'affirme que oui je suis maudit, et que toutes personnes pouvant m'aider à m'exorciser est la bienvenue. J'ai du faire quelque chose de moche dans cette vie ou dans une precedente et je le paye aujourd'hui. En l'espace de trois mois j'ai jamais autant dégusté, et le pire ce n'est pas pret de s'arrêter. Que ce soit matereil, physique, personnel ou professionel j'y passe obligatoirement. Meme dans mes loisirs, cette malédizione me poursuit.

Mais bon je vais pas m'étaller sur mon cas au risque de me prendre une deuxieme rafale. Donc je vais repartir sur des sujets plus sains. Enfin pour moi...

Donc en ce moment, je m'écoute Daisybox avec leurs deux premiers albums. J'attends comme un gosse le petit papier jaune de l'opt qui me dira que j'ai enfin recut leur troisieme opus. Je ne vous dis pas comme j'ai hate d'ecouter Polyster et de découvrir le nouveau visage des Daisy. De plus en octobre ils seront en tournée et je penses que ma petite soeur sera la premiere devant les portes du poste à Galéne.
Je me souviens de la claque qu'on c'etait prise le jour ou on les a vu en premiere partie d'indochine au dome. Ils presentaient enfin Oraganic leurs premiers opus. Et moi qui ne les connaissait qu'en studio j'en ai pris plein la tête. Et là j'avoue que je marronne un peu car j'aurais bien aimé les voir surtout au poste à galéne.

Mais bon c'est le prix à payer de vivre sur un petit caillou. Mais en attendant je prepare ma futur escapde. L'Asie du Sud est c'est ok pour moi il ne manque plus que la Corée et la Chine mais ceci sera pour une autre fois. Etant en Océanie autant en profiter comme il se doit. Donc en Fevrier ca sera direction La Tazmanie pour un treck d'une bonne semaine en compagnie de trois amis tout aussi flingué que moi. Enfin une encore pire que nous car elle aura droit à plus de 24 heures de vol pour nous rejoindre. Car dans l'histoire je suis pour une fois gagnant car je n'aurais que deux heures de vols. A la difference aux deux Tokyoites qui eux enchaineront les neufs heures obligatoires pour quitter le pays des néons.
Donc 15 jours en Australie à vagabonder en Tazmanie et dans l'arriere pays de Sydney. L'Outback ca sera pour une prochaine fois. Mais ce petit trip me permettra de bien profiter avant de "sacrifier" trois semaines de vacances pour le retour en metropole.

Donc oui rien de nouveau et rien d'ancien. On fait aller et on attend que l'été pointe son nez car la pluie ca va mais en semaine pas pour les week end.

samedi 10 mai 2008

Restrospect : Unleashed


Premier album, premier choc. C’est ce qu’on retient de cette bombe qu’est Unleashed, le premier opus de Retrospect. Ces quatre jeunes garçons ont conquis en l’espace d’un disque le cœur de la Thaïlande.
Sales gosses, c’est la première impression qu’ils donnent mais quand on entend Look kuen soo, le titre d’ouverture joué avec Screamlab, on sait qu’ils ne sont pas là pour rester dans le bac à sable. Quatre minutes durant lesquelles ils donnent tout ce qu’ils ont. Le Trash métal thaïlandais est là et il s’impose par sa prestance, son lyrisme mais aussi sa structure. Nap n’hésite pas à alterner son chant en passant du guttural au calme. On est lancé, et on se prend en pleine face un mur du son nommé Retrospect. Birth le batteur le sait bien, car sa batterie tient le morceau à elle seule.
Mais nous n'allons pas rester sur une simple impression, le second titre Khon bon fah confirme et signe cette dernière. Surtout que Nap explose vocalement sur les riffs ravageurs de Bom. De quoi nous tenir en haleine durant tout cet album. En plus le single phare Plor wa ruk n’est pas très loin. Mais avant d’en arriver là, on succombe au charme de la ballade Ploi chun, où la ligne de basse de Not danse avec les notes de Bom. On s’élève et on découvre une autre facette du quatuor... qui nous est point déplaisante, surtout que ce morceau nous ouvre une autre vision sur l’écoute de l’album, on se sent pris entre deux eaux, un couplet et un refrain calmes et enivrants et un pont où la violence prend le dessus. Ce n’est plus de l’amour mais de la passion qui s’exprime et qui nous happe dans une mélopée qui s’ancre au fond de nous.

Puis c’est au tour de Plor wa ruck d’envahir notre monde. Une introduction calme et légère s’égare dans notre esprit. On découvre la glace mais aussi le feu, ce morceau navigue entre deux courants. Cela va vite, métal, rapcore ou tout simplement fusion on ne sait pas. Mais nous pouvons certifier une chose, c’est le son Retrospect, que eux seuls peuvent donner. Calme, violent, passionné, nonchalant, Retrospect c’est tout cela.
Et ce n’est point les morceaux qui vont suivre qui vont nous faire douter. Avec Kor qui part sur un son grunge garage. Batterie rapide, un son de guitare digne des années 90. Mais quand arrive le pont, Kor surfe sur un mouvement mené par une batterie très roots. Cependant le morceau revisite le genre en y ajoutant le son de ce début de siècle. C’est un retour en arrière sans décalage. C’est fort, c’est mené de main de maître et il n’y a que nos oreilles pour se délecter de cette passe théâtrale.
Et la suite n’est que régal et enchantement, avec la violence Kuen haeng kwan ngao, ou la douceur de Sood tee ruk.

Ecouter Retrospect, c’est comme tomber amoureux en l’espace d’un regard. Un simple baiser volé et nous voilà transposés dans un autre monde. Retrospect c’est cela, un enchantement venu de Thaïlande et vu leur prestation scénique on sait que Nap, Bom, Birth et Notont de magnifiques jours devant eux.

Track List

1. Look kuen soo : ลุกขึ้นสู้ (Feat. Scremlab)
2. Khon bon fah : คนบนฟ้า
3. Ploi chun : ปล่อยฉัน
4. Kwam fun kong rao : ความฝันของเรา
5. Plor wa ruk : เพราะว่ารัก
6. Hai chun luem ter : ให้ฉันลืมเธอ
7. Kor : ขอ
8. Kuen haeng kwam ngao : คืนแห่งความเหงา
9. Pluek : เปลือก
10. Mai mee ter : ไม่มีเธอ (Bonus track)
11. Sood tee ruk : สุดที่รัก
12. Ploi chun : ปล่อยฉัน (accoustic version) (ghost track)


Date de sortie : 27 avril 2007

jeudi 8 mai 2008

Week end ile des pins jour 2


Bon après une nuit très folko animé par sir JB et mister coca, le réveil du matin fut un peu douloureux. Mais ce levé au aurore fut pour la bonne cause. Ce matin c’est direction la baie St Joseph pour une traversé en pirogue jusqu’à la baie d’Upi.

Malheureusement la mer était d’huile pas un souffle de vent, rien nada, même pas un pet de mouette. Donc la balade c’est faite en moteur. La voile était juste là pour le style, c’est dommage mais c’est ainsi. Cependant ceci n’a rien enlevé au charme de la lagune et c’est avec un émerveillement qu’on pouvait se délecter des joies du rivage mais aussi des rochers perdu au milieu du bras de mer. Même si c’était éparse, la baie d’Upi avait des semblant de baie d’Halong. Certes le charme asiatique en moins, mais la douceur de la Calédonie en plus. Et durant plus de deux heures on a navigué sur cette eau turquoise à contempler les rivages mais aussi le fond avec ces petits poissons et ces patates. De plus il parait que defois les dauphins sont là tout comme les raie manta. Malheureusement ce fut un jour sans. Une prochaine peut être…



Une fois arrivé dans la baie d’Upi une randonné de trois quart d’heure nous attendait pour rallier la baie d’Oro et sa piscine naturelle. Et la ballade fut pleine de surprise. Une forte impression de retomber dans le film Jurassick Park avec l’impression qu’au détour d’un palmier ou d’un buisson qu’un vélociraptor va surgir. Et…. Et oui ce fut presque le cas, on eu droit à plusieurs rencontres comme celle de crabes de cocotiers ou encore de sauterelles. Je vous laisse imaginer les engins qui vous font la taille d’une main pour les sauterelles et defois d’un avant bras pour les crabes. Des rencontres qui étonnent, et qui passionnent. Malheureusement toujours trop rapide pour dégainer l’appareil à photo.



Fort heureusement qu’une fois arrivée à la piscine on a put y aller sans problèmes. Réserve naturelle il est plaisant de nager dans ce lieu idyllique entoure par les pins colonnaires. Masque tuba et c’est bon nous voici fin prêt pour partir à la rencontre des petits nemos et autres poissons au couleurs multicolore. « Pas besoin de chercher le bonheur mon fils, il est ici au fond de l’eau. Une explosion de couleurs avec des poissons qui viennent nager prêt de toi. Il n y a pas à dire quand j’étais sous l’eau je suis repassé au stade gosse qui découvre le monde. Mais bon place aux photos sous marine ça sera mieux qu’un long discours.





Suite à ca, direction chez Régis (touriste powa) pour déguster un Bougnat, plat local, au poulet et au poisson. Explosage de ventre assuré. Puis ce fut le moment de repartir en direction du camp pour ranger les tentes et prendre le chemin du retour. Mais pour revenir au campement on à longer l’ile. Et c’est là ou on voit que l’ile des pins est vraiment une ile hors du temps. Les habitations sont rares, les habitants sont regroupés autours des principales tribu et sur le littoral. Mais au détour de l’unique route, on est passé devant l’ancien bagne. Aujourd’hui à l’abandon il est une petite attraction sur l’ile. Seul son château d’eau fonctionne encore le reste n’est plus que ruines. Et ce n’est pas plus mal. Cette trace de colonisation française rappel la politique de la métropole sur l’ile. Une politique qu’on se serait bien passé.

De toute façon il est bientôt 16h et notre bateau est à 17h.

Donc on se dépêche on remballe le matériel et direction le Betico ou une belle surprise nous attends. En ce week end de mai, c’était la fête de l’avocat à Maré, et le Betico revient de cette ile. Et nous quand on arrive avec notre barda on en croit pas nos yeux. C’est le souk sur le quai. Pourquoi un tel « bordel », c’est simple, le bateau est complet et même si on a réservé nos place on est sur le carreau. Pas moyen d’embarquer, le bateau est full de chez full et on est quarante sur le quai. Les galères commencent car le dernier avion vient de décoller et qu’on est dimanche. Donc on se demande comment on va faire pour rentrer sur Nouméa. Pour nous point de panique, on s’amuse même pas à négocier pour monter. On demande juste comment va se passer la crise. Et le capitaine nous reponds que nous allons être hébergé au Kou buny l’hôtel qui donne sur la baie de Kuto et que demain ils essayeront de nous faire embarquer sur les deux vols régulier de l’île.

Que demander de plus. Une journée offert par le Betico sur l’ile des pins dans un hôtel trois étoiles avec vu sur mer. Certes c’est le panard, mais la gestion de la crise fut tres mal géré car d’une part l’hôtel n’etait point au courant et d’autre part aucune information de la part de Betico fut envoyé à nous les passager leser mais aussi aux responsables de air calédonie.

Donc on savait que demain sera une journée détente mais aussi prise de tête pour notre rapatriement sur le territoire.

mercredi 7 mai 2008

Week end ile des pins


Bon alors week end du premier mai que faire de beau sur le cailloux. Surtout que enfin depuis trois mois il fait beau.

Donc avec la clika on a décidé de partir samedi et dimanche en direction de l’île des pins.

Situé à 100 kilomètres de Nouméa, ce petit bout de terre est une ouverture vers le paradis. Et même Andrew Cheyne c’est extasié devant cette île en disant « un si beau de la création… ». Et il n’avait pas tort. Car ce petit îlot coupé du monde est un régal pour les photographes et aussi pour les personnes qui veulent se couper du monde.

Une île pas si petite que ça car elle mesure quand même dix huit km de long sur quatorze de large. De plus sa population est à peine de deux mille habitants. De quoi se couper du monde en toute sérénité et de profité de la magie de l’île sans être dérangé.

Donc pour notre petite aventure le départ fut donné samedi matin à 7h30 avec embarquement dans le Betico. Unique liaison public vers l’île entre Nouméa et la baie de Kuto. Le trajet dure environ entre deux heures et trois heures. Tout dépend de l’état de l’océan. Et il faut dire qu’il ne faut pas avoir le mal de mer, car une fois sortie du lagon ça secoue et les maux de cœurs sont assez fréquents. Pour l’anecdote pour ma part le trajet fut sans soucie mais Sahra et Vivi ont eut droit à l’option petit sachet avec le bonus on ressort tout ce qu’on mangé avant de partir. Et pour cela vaut mieux manger léger.

Puis sur les coups de 10h00 on voyait enfin se découpé l’île au loin avec son débarcadère. L’île des pins, Island of pins pour les japonais et australien, a step for heaven pour nous tous. Et arrivé sur place il a fallut récupérer les glacières, les tentes et les sacs avec le matos de plongé et rejoindre le gîte du Nataiwatch pour planter le camp. Bon le trajet c’est fait sans aucun souci. Une petite ballade de 20 minutes en traversant la baie de Kanuméra.

Donc j’annonce, le sable il est blanc, mais blanc, un blanc jamais vu auparavant. Et on peut même en faire des boules. Alors en France c’est bataille de boules de neiges, et bien ici c’est bataille de boules de sables dans l’eau turquoise du lagon. Un regal pour les yeux, le corps et l’esprit. On est déconnecté du monde et le pire et oui le pire, c’est que la baie de Kanuméra n’est pas la plus belle de l’ile comparé à celle d’Oro avec sa piscine naturelle ou encore avec l’ile d’Ouvéa ou le sable est comparable à de la farine. Alors que dire que laissez parler les photos elle-même.

Ainsi on pose les sacs on monte le camps et on part direct vers la plage jouer les gosses et plongé dans l’eau. La baie en elle-même est magnifique surtout autour de son rocher qui la coupe de la baie de Kuto. Ce rocher est malheureusement devenu celebre au Japon, car c’est sur ce lieu que le 2 mai 2002 fut retrouvé le corps d’une touriste japonaise tué à coup de pierre. Mais ceci est une autre histoire. Pour le moment pour nous c’est plage et plongeon dans le lagon. Les poissons sont au rendez vous comme le gout exquis de vacances loin de tout.

On continue l’apres midi en se déplaçant vers la baie de Kuto on là on s’amuse comme des gosses sur la sable en attendant le coucher de soleil. Effet carte postal garantie avec cette explosion de couleurs.

Donc apres une bonne après midi, comme on les aime c’est direction l’apero et le barbec sous le regards des etoiles qui fait leurs apparitions dans la voute celeste.

Et là ce sont les joies du camping. On est tous sous le faré à rigoler et à deconner. La vie la vraie…

Voici pour ce premier jour ou on a pris plein les mirettes et demain c’est voyage en pirogue dans la baie d’Upi pour rejoindre la piscine de la baie d’Oro.

jeudi 1 mai 2008

Un squekk ca vit ou ?

Allez les curieux et les curieuses, voici des photos de mon petit loft. Cela va faire plus de 5 moi que j’ai investis ce faux T3 avec terrasse. Et il faut dire que je m’y sens bien. Un petit appartement de 45m² avec un terrasse et une mezzanine. Et il y a de quoi faire avec une hauteur de sous plafonds de plus de 7m. Ca laisse rêveur non ?
Bon on va commencer la visite avec le bâtiment en lui-même. Perdu sur la monté de Porte de fer, il est très bien situé. Je suis à 20 minutes de mon taf et à 10 minutes du centre-ville. La mer quand à elle est à peine 5 minutes. Bien sur en voiture, a pattes je dirais bien deux heures pour rejoindre le col de Numbo mon lieu de travail.
Mais bon là n’est pas la question, donc je suis au dernier étage l’appartement avec la petite terrasse qui m’offre une vue sympathique. Elle aurait pu être plus agréable si il n’y avait pas ce complexe immobilier de la colline des poètes avec ces trois bâtiments. Cependant le cadre est agréable et la végétation bien présente. Sur le parking vous verrez en plus mon cheval de bataille, ma très célèbre 205 bleu ciel cabriolet.
Donc voici les photos de l’ensemble.



Donc le batiment





les vues depuis ma terrasse


Ensuite l’intérieur rien de très fou hormis un appartement un peu geek sur le bord et otaku vers le centre avec un soupçon (gros le soupçon) d’adolescent. Bon la c’est mon fief c’est d’ici qu’un jour je régnerais en maître sur le monde. Pour le moment ce règne s’étend de 3 mètres à ma gauche, de deux mètres à ma droite et de 5 mètres derrière moi. Mais bon c’est un bon début.
Donc voici mon espace de vie…



lundi 21 avril 2008

Clash FAN


En attendant l’arrivée d’un nouvel album, le groupe Clash s’est réuni pour offrir à ses fans un album qui regroupe des faces B et des morceaux qui ont marqué le groupe. Ainsi on retrouve dans la tracklist des compositions issues des albums Emotion, Soundcream ou encore Clashing.

Ce nouvel opus commence avec un morceau inédit. Ce dernier ouvre le bal et nous offre un groupe au meilleur de sa forme avec un Bank qui rayonne par sa voix. Ce titre fort nous transpose dans l’univers du groupe.

On retrouve aussi les titres Fai ruk et Sark khon qui ont, et il faut le dire et le redire, explosé lors du live à Bangkok pour le final de la tournée Clash Army Live. Pour Fai ruk nous retrouvons la puissance du live qui malheureusement a été réenregistré pour une version studio. Cependant le charisme est toujours présent, tout comme la passion de Bank dans son interprétation. On est assez loin de la version jouée dans l’album Emotion. Yak peut enfin s’exprimer derrière ses fûts. Et l’ajout d’une batterie plus présente mais aussi plus cuivrée donne à ce titre une autre dimension, mais aussi un aperçu de ce qu’il peut représenter sur scène. Et quitte à rester sur scène autant écouter Sark khon. Ce morceau fut un choc pour l’ensemble du public présent à Bangkok. Imaginez sur scène Bank et Nap du groupe Retrospect face à face dans une joute verbale. Le titre en lui-même est une perle sur tous les aspects. On y retrouve les ingrédients métal, pop, émo mais aussi de l’opéra rock. Tout ça dans un morceau qui est entré dans le panthéon des meilleurs featuring des artistes Thaï. Et pour ceux qui ont eu la chance de voir ce concert, ils pourront se remémorer cette prestation hors normes avec ce titre qui joue ici le rôle de le fer de lance de cet album fan.
Après tant de folie, retour au calme avec le titre Nao qui rappelle les débuts du groupe. Chanson tirée de l’album One, elle reste toujours aussi enivrante. C’est un plaisir de réentendre les débuts du groupe. Et si nous comparons ce titre avec Wung won, nous notons qu’entre One et Clashing le groupe a énormément évolué et ce sans perdre son identité. Retrouver ces petites notes de guitare lancées par Pol ou ces chants légèrement murmurés par Bank sont des plaisirs qui peuvent se répéter indéniablement et en nous enchantent comme si on les écoutait pour la première fois.

Nouvel album sans l’être, cet opus fan s’adresse comme son nom l’indique à tous les fans du groupe. Certes il peut jouer le rôle d’un best of, mais reste très loin de cette idée. Le groupe offre ici des titres qui n’ont eu aucune promotion médiatique, qu'elle soit télévisuelle ou radiophonique, mais aussi des titres qui ont marqué le public.
Donc, que vous soyez un fan pur et dur de ces cinq garçons de Bangkok ou que vous n’ayez jamais entendu parler de groupe, on ne peut que vous inviter à le lancer dans votre platine et à vous évader sur le son de Clash.



1. Kern kum wa ruk : เกินคำว่ารัก
2. Ter kue nang fa nai jai : เธอคือนางฟ้าในใจ
3. Fai ruk : ไฟรัก
4. Nao : หนาว
5. Jao ying ni-tra : เจ้าหญิงนิทรา
6. Rum rong : ร่ำร้อง
7. Wung won : วังวน
8. Arng wang : อ้างว้าง
9. Sark khon : ซากคน
10. Suk wun chun ja pai ha ter : สักวันฉันจะไปหาเธอ

Date de sortie 15 décembre 2007

mardi 15 avril 2008

High and Mighty colors Rock Pit


Le voici, après de longs mois d’attente et un best of, les High and Migthy Colors reviennent en ce début de printemps avec leur quatrième opus. Rock Pit est son nom, et il se présente comme un retour aux sources. Les High and Mighty Colors ont vite tourné la page pop de San pour réoffrir à leur public un son proche de la période Goover et Gou on Progressive.
Avant de disséquer cet album et son noyau, regardons la tracklist. Et là on remarque que le titre Dreams n’est point présent. Chose qui prouve bien que cet album va sonner plus rock que jamais. Surtout que les singles Amazing et Flashback avaient annoncé la couleur de ce quatrième essai.

L’écoute commence avec le single Amazing, celui-ci s’est vu offrir une introduction style boîte à musique avant de partir dans le son des High and Mighty Colors. Ça sonne comme une ballade mais la rythmique change cette impression. On navigue entre punk, rock et emo pop. On sent encore l’influence de San mais Maki arrive à se détacher de cette ambiance en donnant à ce titre une touche assez dark. Mais le véritable cœur de Rock Pit arrive avec Break now. Que dire, hormis que c’est du très bon voire de l’excellent High and Mighty Colors, avec un double chant bien mené où Yuusuke se présente en tant que porte-bannière. L’étendue de son chant est mise à contribution sur la totalité du titre où il passe d’une voix rap à une voix très gutturale. Et cette configuration n’est pas prête de changer, que ce soit avec Toxic ou encore Skit.

Pour les fans de Goover, le titre Hinata est pour vous, une intro batterie, guitare et Yuusuke suivi d’un couplet calme et léger où Maki tient la scène avec seulement la basse et la guitare. Certes on s’éloigne de l’ambiance de Flashback mais on retrouve le groupe avec ce son qui nous a tous séduits lorsque Run Run Run déferlait sur les ondes. Néanmoins cet aparté ouvre la porte de Earth. Un titre sombre et oppressant dans son ambiance. Et son refrain ne vous laissera point indifférent.

Bon on va attaquer maintenant un morceau qui nous a fait jumper ici dans la rédaction, c’est Zero sympathie. Tout d’abord son introduction basse à la sauce punk, avec en écho derrière un crêpage de chignon entre Maki et Yuusuke. Puis le titre décolle dans une ambiance jamais rencontrée auparavant. Maki s’amuse à prendre la voix d’une petite fille et Yuusuke s’exprime à l’aide de cri. C’est d’une délicatesse sans nom, mais cela donne au titre toutes ses lettres de noblesse.

Alors, que retenir sur ce quatrième opus ? On dira tout, pas parce qu’on est fan de ce groupe (même si j’en suis accroc), mais parce qu’on redécouvre le High and Mighty Colors dans leur univers. C’est rock et pêchu et les titres se suivent à un rythme effréné. On est subjugué par la puissance musicale de Rosier qui n'est d'autre que la reprise de Luna Sea (présent sur l'album tribute) ou par l’ambiance d’Hinata. Si vous avez aimé Goover et Gou on progressive, vous adorerez ce Rock Pit.


Date de sortie : 19/03/2008

Tracklist
1. AMAZING -PRELUDE OF ROCK PIT-
2. BREAK NOW!
3. TOXIC
4. FLASHBACK
5. HINATA
6. EARTH
7. SKIT
8.GAMEBLING
9. MEKIMEKI
10. ZERO SYMPATHY
11. ROSIER
12. TOKYO NIGHTS
13. MEGAMI
14. KOMOREBI NO UTA –ROCK PIT VERSION-

ma dame blanche



Allez on va rester d’être assidu et de fournir de nouveau bulletins sur ce petit blog du bout du monde. Enfin so far far away si vous préférez. Et encore ca dépend d’où on se place. Donc on va rester sur ce petit blog d’un écureuil exilés en Kanaki.

Et aujourd’hui ça ne sera pas un billet sur l’île ou sur mes voyages passés ou encore à venir, ni même sur la musique (quoique en ce moment j’alterne entre Ashes diVIDE, Robert Miles et Shuriken que je redécouvre avec une belle nostalgie de mes années collèges). Donc ce billet est dédié à mon amour à la flamme qui m’accompagne durant certaines nuits, qui me donnent des paillettes dans les yeux et qui me fait voyager et voir le monde d’un autre œil. Ce billet va traiter de ma cher dame blanche comme l’appelle gentiment mon père. Cette dame blanche n’est d’autre que ma Xbox 360.
Ca va faire un an qu’elle m’illumine et que je rêve de botter des culs de locaustes ou d’Akrid bien baveux tout en battant des records sur le Nurbering. Et depuis plus d’un an je me suis redécouvert une passion de gamers. Mon entourage pense même que j’ai franchi la limite en devenant un harcodre gamers. Mais je suis loin de ces stats de fous. Certes la console fonctionne régulièrement entre 1h et 2heures par soir. Mais il faut savoir que je dors très peu. Cinq heures de sommeil me suffisent amplement. Donc je peux facilement tatanez du mouchard sur Girofar ( Triplette/Battou) ou plutot gears of war. Et là je bave d’avance sur la sortie en novembre prochain du deuxieme opus.
Alalalala remanier de la tronçonneuse et du bolt, un rêve fou, ca faisait longtemps que je n’avais autant tripper dans le monde du jeu vidéo. Et là je suis au aguet pour chaque sortie et je bave devant tous ces titres et ma liste d’achats ne fait qu’augmenter. Je pétille en voyant Armored core 4 et j’hesite à l’acheter vu qu’au japon ils on eu droit au Armored core 4 A. Dernièrement Ace Combat 6 est sorti tout comme Devil May Cry 4. Et Sega vient juste de débouler une nouvelle fois avec Viking. Tous ces jeux, mais tous ces jeux il me les faut tout comme la prochaine sortie de Street Fighter IV de Soulcalibur IV, GTA IV ou encore Saint Rows 4… Euh non c’est Saint Row 2. Certes tous ces jeux sont des suites de licences bien exploités hormis viking mais ces jeux sont magnifiques mais en plus de cela tellement immersifs.

Donc voilà je suis devenu un être faible face à tout ces nouveautés, mais il faut le dire entre Gears of war, Lost Planet et Bioschock il y a de quoi faire champomy dans son pantalon.

Voilà Squekky un être voué à la cause 3-6 (Merci Flex pour m’avoir fait craqué il y a un an et demi)


ma petite dame blanche rien qu'à moi.

samedi 12 avril 2008

Come On


dire que je viens de réveiller… Ok on fait ça pas de questions, pas de flashs pas et aucune interviews. Merci.

Alors quoi de neuf dans cette partie du globe. Pour ma part c’est la routine, le squek est installé callé devant sa 3-6 à faire pêter les scores à Gundam et à Forza, tout en enchaînant les perfect à dance factory. Mais n’ayez aucune crainte je ne suis point devenu geek. Si si je ne suis point geek enfin un peu sur les bords. Mais bon là n’est point la question. Ca fait bientôt deux mois que je suis rentré de vacances et au programme rien de neuf hormis un petit week end à Thio, des barbecues à droite à gauches et des cuites à gauches à droite. Ca c’est pour le planning vie nouméenne quand il pleut ou qu’il fait gris. Pour le taf, et oui j’arrive pas à m’échapper toutes mes tentatives furent vaines et le pire au bureau ils ont eu la bonne idée de m’envoyer faire de la HT (haute tension). Moi qui jurais que par mon petit 24volts j’ai été mis dans un beau panier. Mais bon un squekk ça sait voler de branche en branche et l’opération fut une réussite. Voilà pour le coté boulot, on tourne la page et on change de fromage.

Alors même sur mon caillou perdu j’arrive à suivre un minimum l’actu musicale. Et quelle actu de mon coté. Apres une initiation au classique qui me charme de plus en plus je continu à voler dans cette direction en arpentant les compositions de Host avec une curiosité d’un petit enfant. En plus de cela je suis retourné au source, retourné vers mon premier amour de la musique electro. Il ne s’agit ni plus ni moins de Robert Miles et de son magnifique album Organik qui tourne en boucle sur ma platine. Je sais éternel adulescent et c’est pas avec Infest de Papa roach que je pourrais dire le contraire ou des titres comme Last Resort ou Broken Home ont rythmé mes années lycéennes. Ah c’etait le bon temps, tant d’insouciance et d’insolence… Certes mais la révélation n’est pas ici mais dans le premier album de Ashes diVIDE, qui m’a séduit d’une part par son premier single The stone et d’autre part avec son titre forever can be. Un premier album, mais quel album. Tout y est mais tout l’ambiance très tool, tres pefect circle. Et cette influence n’est pas innocente car Ashes diVIDE c’est la nouvelle formation de Billy Howerdel. Donc ce n’est que du bon et c’est à écouter tellement que ca prend aux tripes. J’en perds mes mots, mais ce premier album c’est ma révélation et mon coup de cœur de ce premier semestre.



Voila juste un petit message, comme ca en attendant la suite avec mes vacances en juillet prochain soit pour Seoul soit Kuala Lumpur. J’ai pas réussi à me décider vu que j’ai droit qu’a 15 jours. J’aurais eu trois semaines j’aurais pu me faire le nord du japon. Mais bon c’est la direction qui choisit.

Allez crash your time.

dimanche 9 mars 2008

Move your body !!!


En attendant la suite de mes aventures je me permet de faire un petit break…. Dance. Et oui un peu de dance pour nous maintenir en forme. Attention quand je parle de dance, je ne parle pas de l’époque bénite avec Snap, Coronna, Spaceman et autre réjouissance du même style. Alalala le Space man que de souvenirs, il va falloir que je replonge dans mes vielle compils et que je me ressorte mes Docteur alban avec ces Hello Afrika ou encore Snap et ces Rhytm is dancer.
Tiens tiens, allez c’est décidés on va graver tout ça et le uploader dans dance factory. Mais vous êtes en train de vous dire ce qui se passe dans mon crâne pas tranquille. Non ce n’est pas le soleil de Kanaki qui m’a grillé le peu de neurones que j’avais.
Mais pourquoi comprendre ce qui se passe chez moi, on va remonter le temps et aussi changer de lieux. Je suis à Tokyo chez Kamen qui m’initie à la folie de DDR (Dance dance revolution). Ce petit jeu qui au premier abord à l’air de s’adresser à toutes les petites gamines qui rêvent d’imiter Lorie ou BoA m’a conquis sous tous les sens du terme. Pour comprendre ce que c’est il faut se munir du tapis de danse et reproduire les mouvements qui apparaissent à l’écran tout en restant en rythme. Et je peux vous dire que c’est physique car apres une heure de jeu on est en trance et en sueur car les rythmes sont de plus en plus fous quand on augmente la difficulté. Mieux que Wii Sport DDR m’a conquis et depuis mon retour je fais chauffer le dance floor avec des morceaux qui me plaisent et non la pouf musique qui est livré avec.
Ah j’oubliais je n’ai pas le DDR officiel mais une de ces adaptions occidentale connus sous le nom de dance Factory.

Donc oui le Squekk a pété une durite mais l’animal il s’éclate et ça le change des Colin Macree ou autre Dynasty warrior. Mais n’ayez crainte je n’ai point lâché ma dame blanche car aujourd’hui j’attend de pied ferme la sortie de DDR 2 sur xbox 360 et en version pal. Et là je pourrais encore plus me déchaîner et avec l’arrivé de la fibre peut être défier à distance Kamen pour reprendre ma revanche.

samedi 8 mars 2008

Trois jours de Trecks

Apres une nuit de folie dans le train de Bangkok Chiang Mai, nous voici enfin arrivé dans le triangle d’or. Poursuivant les pas de mon guide spirituelle, je devais m’arrêter dans un monastère et retrouve le moi qui réside en moi. Bref je sais pas ce qu’à b*a*l*r John dans cette contrée mais pour ma part je devais obligatoirement me perdre dans la jungle.
Donc now, Lost in the jungle, a movie with squekky, written by squekk and product by quekk.

Voilà Chiang mai la dernière contrée que j’ai pu prendre en photo avant que mon appareil tout neuf me dise low battery. Et que en plus de cela cette dite « battery » me dise tu peux y aller mon coco je ne tiens plus la charge niark niark. Donc c’est sans photos que je vais vous narrer mes trois jours à faire des petits tours à vélo sur les pistes thaïlandaises du triangle d’or. Car pour la petite histoire on voulait aussi traverser la frontière, mais le consulat Birmain nous a fortement déconseillé. Donc si on allait au-delà de la frontière, on avait le visa mais à nos risques et périls. Chose qui me plaisait, mais avec ma poisse on va un peu se calmer et rester sage. Donc le parcours sera juste la jungle thai.

Alors comment on c’est organisé pour cette petite escapade de 150 kilomètres dans la région de Mae Hong Son, Sappong et Pai. Chose qui de base est fortement déconseillé, car on partait d’un sans guide et de deux entre « falang ». Bref on se la joue « con de touristes qui ont peur de rien ». Donc on a loué pour trois jours des VTT acheté un stock de rustines, du riz, de l’eau, une casserole de qualité médiocre, un briquet, une grille et pis c’est tout et on est partit avec nos sac à dos, nos sac de couchage et une carte. Plus broque que nous je ne penses pas qu’il y a. Mais bon ça nous a éclaté de partir comme ca et puis, si il nous arrivait quelque chose ben… On va dire que c’était inscris dans la course des étoiles et dans les livres du grand nnimportequoi.
Ainsi nous voici sur les routes je vais vous passer l’étape sortis de ville et entre dans sur les petites route de campagnes, pour arriver directement dans le milieu de journée ou on est arrivé dans la jungle. Donc ambiance humide, beaucoup de vert, de vers et le bruit des petits zozios, mais une chose est sur, je ne fume pas mais demain j’arrête quand même la clope. J’n ai jamais autant morflé que ce premier jour à pédaler dans la boue. Mais ca en valait largement le coup, cette végétation et cette ambiance sortie tout droite de mes rêves les plus fous. Pedaler et faire le con en dérapage dans une jungle au abord hostiles mais tellement attirante.
Attirante c’est le mot car la première nuit fut pour ma part agréable, le fait de regarder le ciel a travers les arbres et sous le bord d’un des bras de la Pai, restera un souvenir bien gravé dans ma mémoire. Pour mon pote ca sera la même chose avec en plus des dizaines et des dizaines de piqûres de moustiques. Pas glop surtout quand on sait que la dengue fait rage. Mais fort heureusement ce sont les moustiques de jours qui sont porteur de la maladie et non ceux qui l’ont piqué voir même empalé durant toute la nuit.

C’est avec les premiers rayons du soleil qu’on reprend notre parcours toujours en longeant ce bras de rivieres. On avance et on retombe sur une petite route départementale qu’on suit en direction de Pai, et là on croit être perdu et on s’arrête pour demander notre chemin à des jeunes qui s’amusent sur le terrain de foot avoisinants. Très sympathique ils nous disent qu’on est sur le bon chemin. Donc no soucy c’est reparti et on avance puis on sort de la traditionnel route pour reprendre les chemins en terre. Et vers la fin d’après midi on tombe sur un petit village de long neck (femmes girafes) alors là stupéfaction et yeux grands ouvert. Bon on va éviter de se la jouer gros touristes et on va plus tôt demander à combien d’heures on se trouve de Sappong.
Mais là ce fut la folie, e chef du village nous invite à partager le repas du soir avec eux. On est gêné pas trop envie d’abuser de l’hospitalité, mais ils insistent donc on se joint à eux pour le repas du soir. Une soirée sympathique qui me change radicalement. On est là assis dans un petit village coupé de tout et on s’amuse j’ai l’impression de revoir les village de la cote est en Kanaki.
Mais ce qui m’a marqué ce sont ces femmes girafes, c’est étonnant, intriguant à voir, on se demande comment c’est possible, surtout que ici la tribu Karen n’ont pas le droit d’exploiter la terre, et de vivre en dehors des camps de réfugies. Donc d’apres ma propre déduction, je n’ai pas voulut aborder le sujet car je le trouvais déplacer, je pense que c’est plus tot un membre de cette tribu qui c’est installé ici et que sa tradition a été adopté. Bon bref je vais pas m’amuser à tout décortiquer. Mon petit trek de trois jours se passe bien mieux que je l’imaginais.
Donc la nuit on la passe avec les villageois, dans une famille d’accueil. Bref que du bonheur et une nuit en village ça ne se refuse point.

Et le lendemain retour sur les pistes et back to home pour rendre les vélos, récupérer on sacs et repartir en bus vers Chiang Mai.