dimanche 9 mars 2008

Move your body !!!


En attendant la suite de mes aventures je me permet de faire un petit break…. Dance. Et oui un peu de dance pour nous maintenir en forme. Attention quand je parle de dance, je ne parle pas de l’époque bénite avec Snap, Coronna, Spaceman et autre réjouissance du même style. Alalala le Space man que de souvenirs, il va falloir que je replonge dans mes vielle compils et que je me ressorte mes Docteur alban avec ces Hello Afrika ou encore Snap et ces Rhytm is dancer.
Tiens tiens, allez c’est décidés on va graver tout ça et le uploader dans dance factory. Mais vous êtes en train de vous dire ce qui se passe dans mon crâne pas tranquille. Non ce n’est pas le soleil de Kanaki qui m’a grillé le peu de neurones que j’avais.
Mais pourquoi comprendre ce qui se passe chez moi, on va remonter le temps et aussi changer de lieux. Je suis à Tokyo chez Kamen qui m’initie à la folie de DDR (Dance dance revolution). Ce petit jeu qui au premier abord à l’air de s’adresser à toutes les petites gamines qui rêvent d’imiter Lorie ou BoA m’a conquis sous tous les sens du terme. Pour comprendre ce que c’est il faut se munir du tapis de danse et reproduire les mouvements qui apparaissent à l’écran tout en restant en rythme. Et je peux vous dire que c’est physique car apres une heure de jeu on est en trance et en sueur car les rythmes sont de plus en plus fous quand on augmente la difficulté. Mieux que Wii Sport DDR m’a conquis et depuis mon retour je fais chauffer le dance floor avec des morceaux qui me plaisent et non la pouf musique qui est livré avec.
Ah j’oubliais je n’ai pas le DDR officiel mais une de ces adaptions occidentale connus sous le nom de dance Factory.

Donc oui le Squekk a pété une durite mais l’animal il s’éclate et ça le change des Colin Macree ou autre Dynasty warrior. Mais n’ayez crainte je n’ai point lâché ma dame blanche car aujourd’hui j’attend de pied ferme la sortie de DDR 2 sur xbox 360 et en version pal. Et là je pourrais encore plus me déchaîner et avec l’arrivé de la fibre peut être défier à distance Kamen pour reprendre ma revanche.

samedi 8 mars 2008

Trois jours de Trecks

Apres une nuit de folie dans le train de Bangkok Chiang Mai, nous voici enfin arrivé dans le triangle d’or. Poursuivant les pas de mon guide spirituelle, je devais m’arrêter dans un monastère et retrouve le moi qui réside en moi. Bref je sais pas ce qu’à b*a*l*r John dans cette contrée mais pour ma part je devais obligatoirement me perdre dans la jungle.
Donc now, Lost in the jungle, a movie with squekky, written by squekk and product by quekk.

Voilà Chiang mai la dernière contrée que j’ai pu prendre en photo avant que mon appareil tout neuf me dise low battery. Et que en plus de cela cette dite « battery » me dise tu peux y aller mon coco je ne tiens plus la charge niark niark. Donc c’est sans photos que je vais vous narrer mes trois jours à faire des petits tours à vélo sur les pistes thaïlandaises du triangle d’or. Car pour la petite histoire on voulait aussi traverser la frontière, mais le consulat Birmain nous a fortement déconseillé. Donc si on allait au-delà de la frontière, on avait le visa mais à nos risques et périls. Chose qui me plaisait, mais avec ma poisse on va un peu se calmer et rester sage. Donc le parcours sera juste la jungle thai.

Alors comment on c’est organisé pour cette petite escapade de 150 kilomètres dans la région de Mae Hong Son, Sappong et Pai. Chose qui de base est fortement déconseillé, car on partait d’un sans guide et de deux entre « falang ». Bref on se la joue « con de touristes qui ont peur de rien ». Donc on a loué pour trois jours des VTT acheté un stock de rustines, du riz, de l’eau, une casserole de qualité médiocre, un briquet, une grille et pis c’est tout et on est partit avec nos sac à dos, nos sac de couchage et une carte. Plus broque que nous je ne penses pas qu’il y a. Mais bon ça nous a éclaté de partir comme ca et puis, si il nous arrivait quelque chose ben… On va dire que c’était inscris dans la course des étoiles et dans les livres du grand nnimportequoi.
Ainsi nous voici sur les routes je vais vous passer l’étape sortis de ville et entre dans sur les petites route de campagnes, pour arriver directement dans le milieu de journée ou on est arrivé dans la jungle. Donc ambiance humide, beaucoup de vert, de vers et le bruit des petits zozios, mais une chose est sur, je ne fume pas mais demain j’arrête quand même la clope. J’n ai jamais autant morflé que ce premier jour à pédaler dans la boue. Mais ca en valait largement le coup, cette végétation et cette ambiance sortie tout droite de mes rêves les plus fous. Pedaler et faire le con en dérapage dans une jungle au abord hostiles mais tellement attirante.
Attirante c’est le mot car la première nuit fut pour ma part agréable, le fait de regarder le ciel a travers les arbres et sous le bord d’un des bras de la Pai, restera un souvenir bien gravé dans ma mémoire. Pour mon pote ca sera la même chose avec en plus des dizaines et des dizaines de piqûres de moustiques. Pas glop surtout quand on sait que la dengue fait rage. Mais fort heureusement ce sont les moustiques de jours qui sont porteur de la maladie et non ceux qui l’ont piqué voir même empalé durant toute la nuit.

C’est avec les premiers rayons du soleil qu’on reprend notre parcours toujours en longeant ce bras de rivieres. On avance et on retombe sur une petite route départementale qu’on suit en direction de Pai, et là on croit être perdu et on s’arrête pour demander notre chemin à des jeunes qui s’amusent sur le terrain de foot avoisinants. Très sympathique ils nous disent qu’on est sur le bon chemin. Donc no soucy c’est reparti et on avance puis on sort de la traditionnel route pour reprendre les chemins en terre. Et vers la fin d’après midi on tombe sur un petit village de long neck (femmes girafes) alors là stupéfaction et yeux grands ouvert. Bon on va éviter de se la jouer gros touristes et on va plus tôt demander à combien d’heures on se trouve de Sappong.
Mais là ce fut la folie, e chef du village nous invite à partager le repas du soir avec eux. On est gêné pas trop envie d’abuser de l’hospitalité, mais ils insistent donc on se joint à eux pour le repas du soir. Une soirée sympathique qui me change radicalement. On est là assis dans un petit village coupé de tout et on s’amuse j’ai l’impression de revoir les village de la cote est en Kanaki.
Mais ce qui m’a marqué ce sont ces femmes girafes, c’est étonnant, intriguant à voir, on se demande comment c’est possible, surtout que ici la tribu Karen n’ont pas le droit d’exploiter la terre, et de vivre en dehors des camps de réfugies. Donc d’apres ma propre déduction, je n’ai pas voulut aborder le sujet car je le trouvais déplacer, je pense que c’est plus tot un membre de cette tribu qui c’est installé ici et que sa tradition a été adopté. Bon bref je vais pas m’amuser à tout décortiquer. Mon petit trek de trois jours se passe bien mieux que je l’imaginais.
Donc la nuit on la passe avec les villageois, dans une famille d’accueil. Bref que du bonheur et une nuit en village ça ne se refuse point.

Et le lendemain retour sur les pistes et back to home pour rendre les vélos, récupérer on sacs et repartir en bus vers Chiang Mai.

mardi 4 mars 2008

Ayutthaya

Bon la vie en Kanaki ca va bien un moment, mais au final j’ai toujours autant besoin de bouger. Donc en cet estival moi de février je suis parti pour le Japon et ensuite la Thaïlande. Pour le moment je vais m’arrêter à la Thaïlande avec l’exploration de Ayutthaya.
Donc un peu plus de 100 kilomètres de Bangkok se trouve l’ancienne capitale du royaume de Siam, détruite en 1767 par le roi birman Hsinbyushin.
Plus de 300 ans se sont maintenant écoulé et de cette ville il ne reste plus que des ruines décimé au quatre coins de la ville nouvelle. Ainsi pour la visite il faut mieux s’armer de bonnes chaussures et d’un bon appareil photo. Pour le reste suivez le guide.

On arrive en matinée à la gare ferroviaire de Ayutthaya avec tout notre barda. Notre mission faire le tour de la ville et en prendre plein les yeux. Pour cela pas besoin de lésiner, on embarque sur le premier ferry boat qui nous mène directement au centre ville. Et de là notre visite commence avec tout d’abord le parc qui accueille le Phra Chedi Sisuriyothai.



Ensuite on décide de bouger vers le Wiharn at Wat Thammikara connus pour ces statues de bouddha décapité. Je ne sais pas si ça venait de moi, mais je suis trouvé entièrement en paix en me baladant dans ces ruines. J’ai ressenti une sorte d’apaisement immense. Se promener entre les pierres et les statues est quelque chose de vraiment formidable. Surtout que le temple est complètement excentré de la ville. J’avais presque envie de m’arrêter et de finir mon voyage là. C’est pour vous dire que ce temple respire la sérénité.



Ballade toujours en avant on s’arrête maintenant au Wat Pho, un gigantesque bouddha de 46 mètres de long sur 15 de haut git ici. Identique à celui de Bangkok hormis l’or qui fut remplacé par de la pierre.
Voici les photos de la sculpture, gigantesque n’est ce pas. J’ai passé commande pour une à ma gloire, mais il me reste à trouver l’emplacement.
En attendant mon effigie voici la Wat Pho.



La journée est déjà bien entamé mais notre appétit de vielles pierre ne se tarit point et on en redemande encore et encore (ce n’est que le début d’accord, d’accord…). Donc notre prochaine étape n’est d’autre que Wat Phra Mahathat. Où on peut admirer la tête de bouddha prise dans le flot des lianes. Surprenant à voir et à admirer. Voici la réponse à ta question Meg.