mercredi 29 avril 2009

Inside Caledonia


Alors pour ceux qui sont intéressés, je vous met en lien le troisième fanzine d'Inside Calédonia qui retrace en détail ce beau moi d'avril. Donc ne soyez pas étonné de retrouver des anecdotes présente sur le blog.

Celui ci se présente sous un format Pdf et aborde des thèmes comme les tranches de vie la musique les séries TV le cinéma et les jeux vidéos.

Pour ceux qui voudrait le recevoir directement sur leur boites mail n'hésiter pas à me mailler à squekky(at)hotmail.fr (at)étant l'@ pour ceux qui ne savent pas.

Le lien du numéro 3 : http://www.megaupload.com/?d=J84P62B1

mardi 28 avril 2009

Hurt Good Bye to the machine


Et de cinq !!! Nouvel opus pour Hurt avec ce goodbye to the machine qui vient frapper dans nos têtes en ce début de moi d’avril.
Apres le départ de Joshua Ansley à la basse et leur rupture de contrat avec leur ancien label, les Hurt reviennent plus déterminé que jamais avec douze pistes qui n’attendent qu’une chose, résonner dans nos têtes. Et ce n’est pas avec la voix de J.Loren Wince qu’on va se lasser. Son timbre est sa voix un peu cassé donne toujours autant de prestance à ces composition qui alterne entre une simple ballade au couleur rock ou alors à un set acoustique léger. Et ce n’est pas avec That (Such a Thing) le titre final de l’album qu’on va s’amuser à dire le contraire. Et oui je commence avec la fin avec le désert si vous préférez.
Mais tout le long de cet album on se ballade un peu plus dans le monde vaste et complexe des Hurt. Et c’est avec Got Jealous qu’on entre dans ce nouvel univers qu’offre Goodbye to the machine. Une introduction qui donne le ton avec un refrain bien Hurtien. Et oui on ne s’y attend pas mais comme toujours J.Loren Wince nous surprend de début jusqu’à la fin. Il travaille avec sa voix d’une façon si plaisante que s’en devient hypnotique. Et quand Paul Spatola entre dans le jeu avec sa guitare le duo en devient explosif.

Et c’est là que la magie Hurt prend, si on prend Sweet Delila on est subjugué par ce simple duo entre la voix et la guitare. Une parfaite alchimie qui charme et qui emporte.

Et oui un nouvel album qui donne du plaisir par sa variété mais aussi sa continuité avec les opus précédents. Hurt signe ici un album très mature malgré le départ de Evan Jons à la batterie.

Retour sur le week end pascal


Pour le week end Pascal on a décidé de monter dans le nord à Hienghéne et Poindimé. Déjà pour aller voir une amie qui vit à Poindimié et aussi fêter Pâques avec la poule. Alors vendredi soir ce fut le départ sous la pluie. Et oui les trois jours furent pluvieux et même avec ce temps là c’est toujours un régal de monter sur la cote est. Il est 18h00 les voitures sont chargés on est parti pour 5 heures de routes à travers la brousse. Dans les voitures on est six dans la polo emprunté à Cécile (qui était en vacances au Vanuatu) il y a Fabrice et Perrine et dans la Rover Chloé son ami de France Christophe Julien et moi-même. Jusqu’à Bourail la route se fait sans souci. Puis à peine nous sortons de la ville que là je crève. Il faut dire que la route était bien défoncée, oui défoncé, avec les pluies ce n’était plus des nids de poules mais des cratères. Et voilà j’en ai pas vu un et j’ai crevé en sorti de virage. Et c’est là que les emmerdes commencent. Comme d’habitude les week ends tranquille et peinards ce n’est pas pour moi. Je vais pour changer la roue quand je vois que je n’ai pas la clé pour desserrer les boulons. Et sur la Polo la clé est trop grosse. Ypeee !!! Il est 20h on est sur la RT1 il pleut et pas de voitures. Enfin si un pick up arrive moi avec ma casquette et mon gilet orange fluo je fais des signes pour l’arrêter. Chose qui marche, vu que le Kanak qui conduisait m’avait pris pour un gendarme. Bon avec son Pick up la clé est trop grosse donc je retente d’arrêter une autre voiture et là c’est bingo la clé c’est la bonne, diamètre 16 et en moins de deux je change la roue. Et c’est là que les pétages de câbles arrivent.


D’une part bonjour la solidarité, hormis Fabrice personne n’a levé son cul voir même pire ils ont sorti les topettes et on attendus que je change la roue. Super la solidarité, car personne pour m’aider à ranger la roue crevée ou le coffre. Bref ca m’a pas plut et je le fais savoir. Et c’est là que les tensions montent entre moi et Christophe. A peine débarquer ne me connaissant même pas il s’amuse à me critiquer sur ma conduite et à m’expliquer comment on vit en Calédonie. Et au fur et à mesure la tension monte. Puis sur Poya on se fait arrêter par la gendarmerie pour un contrôle de papier. Bon ca passe aucun de soucis mais Christophe en rajoute une couche. Et là moi ca m’énerve on est contrôlé par les flics et se mec se la ramène une fois de plus. Je suis clair je luis de fermer son clapet ou il descend. Fabrice m’entendant me dis de me calmer et que demain est un autre jour et que ca ne vaut pas la peine de prendre la tête avec des gars de ce type là.




Ainsi on reprend la route via la Kone Tiwaka pour arriver à Poindimié juste avant minuit. Il faut dire qu’avec la pluie la route était bien impraticable par certains endroits.

Le lendemain après une nuit assez mouvementés je fais cavalier seul pour essayer de trouver un garage pour réparer ma roue. Mais ce fut vain entre les garages fermes et ceux qui n’avaient pas la dimension pour mes pneus je fais demi-tour et je rentre sur Poindimié. Ou (je sais c’est lourd à la fin mais le vivre c’est encore pire) Christophe fait encore des siennes lourdant Céline et Marion et faisant l’exploit d’éteindre le feu du barbecue. Ypeee !!! Boulet deuxième jour et c’est rebelote. Céline ne sachant pas comment s’y prendre avec lui surtout qu’elle subissait des piques très gênantes je reprends la parole en lui disant d’aller voir ailleurs si on y était. Mais bon ce fut vain.
Heureusement que l’après midi ce fut direction Hienghène et sa poule sous la pluie.


Et c’est sous l’orage et la pluie qu’on a pris la direction de l’ancien club Med pour une sortie resto qui allait finir en Bronze 4 tellement que l’ambiance était kitsch et prenante. Déjà c’était soirée Brésilienne, donc l’ambiance était de mise et de plus aux platines on voit Guy Ragin (qui n’est d’autre que le présentateur de Kiko les Copains une émission vieille de 20 ans qui a bercé et qui berce la jeunesse calédonienne de Nouméa jusqu’à la brousse, une sorte de Dorothée calédonien). Donc je vous laisse imaginer nôtre engouement. Même moi qui n’est jamais regardé cette émission je la connais via les pubs et via les quelques extraits que j’ai pu voir à droite à gauche. Cependant en tant que DJ il sait mettre l’ambiance et s’adapter par rapport au public. C’est ainsi qu’on a put danser sur du Smell like teen spirit du Scooter ou encore du Culture Club et Bob Marley. Bref une soirée dantesque où on a tous finis à la piscine comme il se doit malgré la pluie et le vent.




Et pour le dimanche pascal ce fut randonnée à la cascade de Tao. Avec la pluie le parcours n’était pas aisée surtout moi avec le gros sac du pique nique. Sac mal adapté vu qu’il était très large (sac scolaire donc bonjour les jeux d’équilibre sur les roches glissant et les passages).


Apres plus d’une heure de marche on était arrivé, enfin pas tout à fait car il y a que Laurence et moi qui avons continué jusqu’à la cascade et la dernière piscine naturelle. Puis ce fut l’heure de la redescente après avoir profité de la piscine et des jumps sympas. Et c’est sous des trombes d’eau qu’on est arrivé aux voitures pour repartir sur Hienghène vers le camping du billet de 500. Et au petit matin le week-end c’est achevé avec redirection vers Nouméa.

dimanche 26 avril 2009

Fast and Furious 4


Bon, on va croire que je tire du mauvais bord avec le moi dernier Banlieue 13 et ce moi ci Fast and Furious 4. Mais bon j’ai toujours eu un petit faible pour la série Fast and Furious surtout le 1 et le Tokyo Drift. Et revoir le line up du premier revenir ca le fait. Dom (Vin Diesel) et Brian (Paul Wlaker) qui se retrouvent sur l’asphalte ca vaut bien un petit détour dans les salles obscurs pour admirer de plus est les belles mécaniques (sens propres comme figures).

Donc pour l’histoire ce nouvel épisode trouve bien sa place et justifie la présence de Dom à la fin de Tokyo Drift. Alors Dom et Brian se retrouvent aux volants pour mener à bien une enquête sur un trafic de drogues. Chacun à quelque chose à régler et ils ne vont pas y aller de main morte.

Mais pour l’esprit critique cet épisode est en dessous des précédents hormis le deux qui est un gros navet. J’attendais beaucoup de ce retour qui au final malgré la scène d’intro plus que génial n’a d’autre effet qu’un simple pétard mouillé. Ce quatrième épisode a perdu tout son charme. Ou est la culture tuning ? Pas de recherche ou de défis. On a l’impression de suivre une simple enquête flic avec de belles voitures. Et encore vu que les belles voitures sont au rang des absents.
Bon je ne regrette pas c’est un bon divertissement mais au gout amer, heureusement que Vin Diesel est là pour donner un petit gout d’action. Car je n’ose même pas imaginer ce que sa aurait put donner.

Et dire qu’ils avaient tout pour rendre cet épisode épique. Espérons qu’ils ont plutôt joué la transition vue qu’un cinquième opus est en préparation. Mais bon ce dernier devra mettre la barre bien haute.

Ten est majeur !!!


Dix huit ans, et oui voilà dix huit ans que Pearl Jam a déboulé dans nos oreilles. On est en 1991, imaginait j’avais à peine 8 ans et la musique était encore à des années de moi. Mais la vague de Seattle venait de se lancer avec ces groupes phares comme SoundGarden, Nirvana et Pearl Jam. Que j’ai découvert sur le tard avec l’album Yield sorti en 98. Mais revenons à Ten qui fête sa majorité cette année. Tout comme les Pearl Jam qui fête leurs vingt ans de carrière en rééditant tout leurs albums. Et bien sur Ten ouvre la voie non pas dans une simple édition mais dans quatre éditions dont une qui fera baver tous les fans avec ces vinyles et autres bonus.
Néanmoins le plaisir n’a pas de prix et réécouter Alive, Jeremy ou encore Even Flow ca me donne des frissons dans le dos.

Et oui tellement à fond que j’ai aussi acquis l’album sur Rock Band pour enchainer les soirées à jouer à fond sur Deep ou encore Once. Mais aussi les titres bonus comme Alive version live, Brother ou State of love and trust. C’est ainsi que je repars en plein milieu de cette époque bénis du grunge. Et ca ne me rajeunit pas tout comme mais c’est une autre histoire l’acquisition lors de mon escapade à Sydney du vinyle Nevermind de Nirvana.

Néanmoins retournons à Pearl Jam et ce magnifique Ten. Qui rend hommage au joueur de basket américain Mookie Blaylock. L’album de la révélation qui va marquer les charts en restant plusieurs mois dans le top ten. Et ceci grâce au singles tels que Jeremy ou encore Even Flow. De plus l’ambiance qui s’en dégagé touche profondément cette génération de grunge avec la confusion de l’enfance et la solitude. Eddie Vedder se cache, mais les paroles d’Alive et Jeremy sont tirés de son enfance et de ces souffrances. Ce qui donne à ces titres une puissance qu’on ne peut repousser.
Et c’est sans surprise qu’on retrouve ces titres sur l’Unplugged encore inédit mais datant de 1991. Un régal pour les yeux et les oreilles de voir ces images inédites.