Nong-Khai

Apres tous ces ennuis, on arrive enfin à prendre le train de nuit pour Nong Khai au nord de la Thaïlande. Ensuite c’est direction le Lao et sa capitale Vientiane. Le départ est à 20heures de la gare centrale de Bangkok, pour une arrivé sur les coups de 9heures. Certes c’est pas un express car sa vitesse moyenne est de 40 km/h. Bon on va en profiter pour dormir, mais ce repos bien mérité ou pas aura droit à un réveil brutal. Sur les coups de 5 heures du matin le train s’arrête brusquement. Les causes de cette halte sont les vaches. Malheureusement pour ces dernières trois sont passes sous la motrice. Stupéfaction pour tout le monde, les plus comiques diront que le petit déjeuner est servi. Mais la vision de ces trois animaux sous les rails est assez dure. Les deux chauffeurs ainsi que des villageois tout proche s’affairent à dégager les trois carcasses de la voie. Au bout d’une demi heure les rails sont dégagés partiellement. Car une vache est coinces sous la motrice. Et quand le train redémarre on sentira le corps de la pauvre bête passé sous les roues des différents wagons.

C’est sur cette note qu’on arrive à Nong-Khai. Pour moi c’est le début d’une nouvelle course car pour le moment je suis dans l’inégalité la plus complète. Mais vu que Nong-Khai possède un bureau de l’immigration je m’y présente la bouche en cœur avec tous mes papiers. Mais ceci ne suffira pas pour moi. La personne qui regarde mon dossier n’a pas trop envie de s‘embeter et me demande de repartir sur Bangkok. Pour lui il faut que je me représente à l’areoport que je refasse une demande de visa. Super, voilà une bonne nouvelle. Bon je ne me décourage pas et je prends la direction du poste frontière du Friendship Bridge. Et là pour moi tout s’arrange le douanier s’occupe de mon visa. Et il remet à jour mon dossier dans leurs fichiers sur l’immigration. Voilà une bonne nouvelle me voici à jour sur le sol Thaïlandais.
Mais la journée ne s’arrête pas car pour la nuit on le droit à l’hospitalité d’un Australien. Ce dernier nous offre le gîte et le couvert et le tout avec vu sur le Mékong. Le rêve en quelque sorte. C’est fou de rencontrer des personnes aussi sympathiques. On ne le remerciera jamais assez pour cette nuit gracieusement offerte.

Ensuite Nong-Khai c’est une ville frontière toute simple. Pour les touristes c’est juste une étape pour dormir ou se restaurer avant d’entrer au Lao. Mais je ne sais pas pourquoi j’ai adoré Nong-Khai surtout ces berges aménager qui longe le majestueux Mékong. Ce grand fleuve qui est ici un organe économique mais aussi une source de légende. Et pour moi là ou je me suis amusé c’était de contempler les rives d’en face. Et de regarder ma prochaine destination le Lao.

Une semaine à Nouméa

Voilà plus d'une semaine que je suis arrivé à Nouméa. Donc que dire, oui que dire... On va commencer par le début et par mes premieres impressions. Ici c'est l'hiver, mais un hiver tres doux. Imaginer il fait plus de 25 degrees et on est en H-I-V-E-R. Bref le paradis en quelque sorte surtout quand on voit les plages du lagon. Sable fins, eau turquoise et pas de monde, de quoi vous mettre en transe et de vous dire c'est là que je vais bosser. Il y a une erreur, un bug, c'est une mascarade. Bon la premiere impression est plus qu'agréable. Maintenant sortons de cette vision de touristes et abordons la ville.
Nouméa, c'est un peu comme Hyere avec le monde en moins. Mais une chose qui m'a frappé c'est l'activité nocturne de la ville. Celle-ci est malheureusement inexistante. Et oui inexistante!!! A partir de 19h il y a plus personne dans les rues. C'est le desert, car il faut savoir que ici on se léve tot mais aussi on se couche tot. C'est alarmant, et le week end c'est ville morte tout est fermé. Bon heureusement qu'il y a la plage et les randos et bientot les voyages ( Australie j'arrive).

Mais pour revenir sur la ville en elle même, Nouméa c'est un metissage entre plusieurs cultures. Une rencontre entres les cultures Kanacks, Occidentales, Vietnamienne, Indonessienne et Polynesienne. Et ceci se retrouve dans la gastronomie, dans l'architecture mais aussi dans le mode de vie. En se balladant dans la ville on découvre et on est interpellé par ce mélange. Chaque quartier devellope une identité tres forte. La Baie des Citrons est un repere à touriste, on retrouve beaucoup d'occidentaux et de Japonais ( il faut savoir que la Nouvelle Calédonie est une destination phare pour les touristes Nippons). Si on s'aventure dans le quartier latin on decouvre toute la richesse d'une culture Vietanamienne et Chinoise. On est un peu à la croisé de plusieurs mondes. C'est ainsi que le soir ou plutot la fin d'apres midi on peut déambuler dans les ruelles et se délecter des differents aromes qui emmergent des differents restaurant qui proposent ce qu'on appelle ici les barquettes. C'est la vente à emporter et tous les restaurants font ca. Ainsi on peut se régaler d'un magnifique pouler coco ou caramel, tout en regardant la mer. Un rêve qui prend vie.



Bref même au bout du monde on peut se sentir renaitre, mais pour le moment j'ai pas trop le temps d'apprecier cet eden car je suis en pleine recherche d'appartement et ici sur Nouméa même c'est tres cher. Je prefere donc me tourner vers les villages alentours comme le Vallon Dore pour pouvoir me trouver un petit nid tranquil. Car j'ai pas trop envie de lacher plus de 800 euros pour un simple T2.

Songkran

Retour à la case départ. Au revoir le Cambodge, nous voici de retour en Thailande. Le voyage c'est passé sans encombres malgres la bonne surprise de l'areoport de Phnom Phen. On a du payer une taxe supplémentaire de 25 dollars par personne pour pouvoir quitter le pays en plus des taxes d'areoports. Super great la news. Heureusement qu'il nous rester des dollars. Bon on redecolle et direction Bangkok ou nous attende les festivités du Songkran.

Qu'est ce que le Songkran ? C'est en Thailande, Lao, Birmanie mais aussi au Cambodge le nouvel an Bouddhique. Pendant plus de trois jours l'ensemble de la population va vivre au rythme de cette fete. Et celle-ci est une fête bien arrosé dans tous les sens du terme. Et oui, pendant ces festivites c'est l'occasion de participer à la plus grande bataille d'eau. Partout dans les rues les gens s'apergent d'eau, cela va du simple pistolet à eau à la poubelle rempli d'eau ou encore a des pick up qui sillionnent la ville avec des tuyaux d'arrossages. Ou que vous soyez pendant ces trois jours vous êtes sur de rentrer chez vous trempé jusqu'à l'os.
Pour nous ce fut direction Bangkok et le quartier de Khao San road. Bon, que dire on était de veritables gamins ( meme si je le suis toujours, pour Mike il faut lui demander ^^). Et comme le disait si bien notre ami John Rambo c'etait pas notre guerre. Mais on y a participer sans aucune hesitation.



Mais cette fête fut aussi pour nous deux une belle source d'ennui. Car, tout le monde sait que l'eau ca mouille ( que le feu sa brule et que tous les oiseaux volent dans le ciel) donc tout ce qui est électronique et papiers doivent être mis en sécurité. Pour notre part ce fut le cas, le deuxiéme jour alors qu'on quittait notre guesthouse on arrive en plein milieux d'une zone de festivités. Je vous laisse imaginer on est là avec nos sacs et dans nos poches nos papiers. Pour ma part ne voulant pas jouer le risque, j'opte pour tout mettre dans un sac en plastique et de me mettre ce sac dans la banane de Mike. Grave erreur, tres grave erreur, car pas plus de dix minutes plus tard on c'est fait ouvir la banane. Donc pour moi ce fut la perte de mon portefeuille avec mon passeport, ma carte d'identité, mon permis de conduire, ma carte bleue, 100 dollars, 2000 bath, mon appareil photo ( ce qui explique desfois le manque de photos pour certains papiers), et trois téléphone portable ( celui de ma copine, de Mike et le mien).
Que dire on était heureux, mais heureux, un samedi apres midi obligé de courir au consulat mais aussi au commissariat de proximité pour porter plainte. Ca fait deux semaines qu'on est arrivé et j'enchaine les galeres. Surtout que celle-ci a faillit me couter le voyage. Car pour l'ambassade, la meilleur solution pour eux c'etait que je reparte en France. Ypeeeeeeeeeee. Mais en plus de ceci j'ai pu gouter a toutes les réjouissances de l'administration Francaise. Car à la base on m'annonce 10 jours pour recuperer juste un passeport d'urgence. Obliger de faire des pieds et des mains pour l'avoir le plus tot possible ( Merci Mike ^^). Donc vu que c'etait le week end samedi j'ai juste put bloquer ma carte bleue. Donc obligé de revenir le lundi pour déposer ma demande, bien sur auparavant j'avais experimenté l'art de faire un dépot de plainte dans un commissariat thai. Pour avoir fait du local j'ai fait du local. Donc lundi on dit 3 jours pour l'avoir tout en me demandant de rappeller le lendemain matin. Donc on est mardi je les rappelle et là on me sort qu'il faut que j'attende 10 jours au minimum pour l'avoir. C'est bon, pour moi c'est trop on descend au consulat et on joue la case forcing. Une heure apres j'avais mon passeport.

Certes il n'y a pas eu que des mauvais cotés lors de la Songkran. On a pu assister à une exellentisme concert dans un petit pub au niveau de Kho San Road. Malheureusement je ne me souviens plus du nom du groupe ( honte sur moi je sais). Mais le chanteur c'etait une veritable pile monté sur ressort. Lui et son groupe on enchainé les grand classiques tels que Y.M.C.A pour le délire mais dans le serieux on a eu droit à du KoRn, du Linkin Park, mais aussi du Green Day avec when i come Around que j'ai chanté avec lui en duo. Un pur moment de bonheur qui m'ont rappellé mes années fourcadiennes et C'nd H.

La Folie Khmer

Apres une journée sur Siam Riep, on reprend la route et direction Phnom Phen. Le trajet se déroule sans encombre. On retrouve la même ambiance que la vieille. Arrivé sur la capitale on joue les touristes sous une chaleur accablante. Cepandant ceci ne nous empeche pas de découvrir les trésors de la ville comme le palais royal, la Pagode d'argent ou encore le monument de l'indépendance.

Pour la soirée, on se retrouve dans l'unique cinéma de la ville pour découvrir un Jun Dunh Fai. Un monument du cinéma Thai. Ultra Kitsh à souhait, tous les clichés du film d'action et de super héros sont là. Le tout bien sur remanier à la sauce Thai. Un film que je conseille pleinement. Mais la soirée ne s'arrette point là. Laissant Mike avec ces amies, moi je retourne tranquillement à l'hotel et je ne songe qu'a une seule chose c'est dormir. Oh o-u-i D-O-R-M-I-R. Malheureusement pour moi ce soir c'est le quart de final de la ligue des champions qui oppose Manchester United à l'AS Roma. Pour moi fan de foot c'est un régal (ironie inside). Ben c'est sur quand on vient de Marseille on est directement catalogué. Car ici ils suivent avec passion le championnat anglais. De plus ici, comme dans les autres pays d'Asie, Manchester United est l'équipe favorite de la population. Tellement adulé qu'elle est même sponsorisé par la compagnie Air Asia. Bon en plus de cela j'ai droit au deuxieme quart qui lui opposé Chelsa à Valence. Soirée foot au Cambodge qui l'aurait crut. Mais bon moi et mon sommeil c'est un peu mort. Il est 5H du matin et j'ai envie de rendre l'ame dans mon plummard. Surtout que la journée qui arrive va s'annoncer rude et eprouvante pour le physique et le moral. Car au programme visite du mémorial du génocide et du Camp S21.

Bon en début d'apres midi c'est un ami à Sophiro ( un des gerant du guesthouse) qui nous mene en scooter sur le site du mémorial à plus de 15 km de Phnom Phen. Mais le trajet n'est pas sans difficultes. Car sur un si courte distance on aura quand même crevé deux fois. Mais au final on y arrive. Perdu dans la campagne Cambogienne, on voit au loin se dessiner un semblant de grande tour blanche. Cette grand tour n'est d'autre que le memorial du camp d'extermination de Choeun Ek. Ici on est à Killing fields. Lieux de massacre et de barbarie du regime Khmer. Alors déjà dés l'arrivé le ton est donné. La grande tour blanche qu'on voyait au loin, symbole du memorial est en fait rempli de cranes humains. Cette tour montre juste un apercut de l'enfer. Voir ces cranes empilés peut rendre mal à l'aise. Pour ma part n'ayant pas visiter les camps d'extermination Nazis je ne peux pas dire si c'est pire ou pas. Mais rien que cette image peut vous hanter par la suite. Et pour la suite on erre dans ce grand terrain vagues qui fut jadis les fosses communes des opposants aux regimes de Pol Polt. Femmes, enfants, personnes ages, rebelles, etrangers, intellectuel tous sans aucunes distinctions fuerent executés de sang froid. Tel un abattoir, toutes personnes refusant le regime Khmer était executes selon la mode du moment, de la pendaison à l'enterrement vivant, tout ce que l'homme peut imaginer de nocif envers lui fut experimenter ici.
On erre pendant une heure dans ce simple terrain vagues. Des panneaux nous indiquent ce qui c'est passé à tels ou tel endroit. Mais le choc viendra de la fosse au enfants, ames sensibles s'abstenir.

On croyait avoir tout vu avec Choeun Ek, mais non. Car maintenant on arrive au musée de Tuol Sleng plus communement appellé S21. Avant l'arrivé des Khmers Rouges à Phnom Phen S21 n'etait d'autre qu'un simple lycée portant le nom de Toul Svay Prey. Aujourd'hui ces batiments ont perdu leurs fonctions d'education. Dans son enceinte ne resonne plus les rires d'enfants, mais des cris de souffrances et de douleurs.
On decouvre une deuxieme fois la folie humaine. Déjà la salle des tortures mais le pire reside dans l'explication de certains elements comme les fils barbeles sur les corridors des batiments. Ceux ci avaient pour but non pas d'empecher l'évasion car on est quand meme au deuxieme étage, mais d'empecher le suicide. Horreur on est emprissoné ici non pas pour mourir ou être juger mais pour souffrir.
Rien que le reglement interieur donne froid dans le dos.


























C'est sur cette note d'effroi qu'on passe notre dernier jour au Cambodge. Mais je pense revenir plus tard sur cette apres midi. Car pour moi la visite de ces deux lieux m'aura marqué.
Maintenant on fait nos bagages et c'est direction Bangkok pour le nouvel an Thai.

Angkor

C'est aux aurores qu'on se léve. Apres des soirées de fêtes, c 'est assez dur de reprendre le pli du levé matinale. Mais aujourd'hui ce reveil est la premiere note de la consecration d'un rêve de gosse. Mike et moi même allons enfin partir à la rencontre d'une des merveilles du monde ( oui je sais il y en a 7 et elles se trouvent dans le bassin méditerranéen).Il s'agit tout simplement de la cité d'Angkor . Véritable joyaux de l'architecture Khmer, érigé durant la premiere moitié du IXéme siecle par le roi Indravarman.

C'est ainsi qu'on part pour plus de sept heures de bus pour rejoindre Phnom Phen à Siam Riep. Bien sur le trajet ce fait dans un bus local. Pour Mike c'est un enfer, et il commence déjà à me maudire. Mais ceci n'est pas grave, je le suis déjà. Bref pour ma part j'adore ce style de trajet. Ca me permet de rencontrer les gens et de pouvoir discuter avec eux. Et oui on est loin des bus V-I-P, avec tout leur confort. Ici c'est la simplicité qui regne et les systemes D. Moi j'adhere surtout que durant ces sept heures de trajets on decouvre réellement toute la richesse du pays, on discute avec ces habitants et on partage des points de vue sur n'importe quelle chose.

Et c'est ainsi que sur les coups de 13h00 on arrive enfin à Siam Riep. Alors par rapport à la capitale ca change. Ici le tourisme est bien mis en avant avec ces parcs et ces grands hotels. On est loin de l'image de reconstruction de Phnom Phen. Et ceci s'explique par l'unique prescence d'Angkor. C'est ce site qui fait vivre le pays. Comme le disait un premier ministe cambodgien,"Angkor c'est notre histoire, notre drapeau, notre eau et même nos cigarettes". Et oui au cambodge Angkor wat est present sur n'importe quel produit. Car sans lui l'économie du pays aurait du mal à évoluer.

Allez finis les blabla place à une petite leçon d'histoire. Bon je ne suis pas historien donc la suite sera qu'un recuil de notes. Si il y a des erreurs n'hesiter pas à me le signaler.
Donc Angkor c'est la cité temple, capitale de l'ancien empire Khmer. Erigé au IX siecle par Indravarman la cité s'etend sur plus de 400 km² ( chiffre certe énorme du à l'éloignement de certains temples). Bon rassurez vous on a pas pu arpenté la totalité de la cité. Mais il faut savoir que la visite se fait en tuk-tuk. Ce moyen de transport est tres utile pour rallier les differentes zones de la cité.
Je m'éloigne je sais. Donc on revient à Angkor. la cité commence à sortir de terre au IX siecle, mais elle continuera à croitre. Capitale d'état mais aussi lieux de priere Angkor s'aggrandit et au XII siecle sort de terre son temple le plus connus le Angkor Wat. Erigé par Suryavarman II ce temple était concut pour recvoir le culte de Visnu. Puis par la suite il fut détournée pour acceuillir des moines bouddhiques. Mais ce détournement n'empeche pas de retrouver à l'interieur des enceintes de multiples fresques relatant divers légendes Khmers.

Aujourd'hui intégrés au partimoine de l'Unesco le cité d'Angkor attire de nombreux touristes. On est seduit par son architecture mais aussi par cet aspect sauvage. Car certains lieux d'Angkor sont fondus avec la végetation luxuriante de la foret cambogienne. Donnant ainsi aux differents lieux une aura de mysteres. Surtout quand ce sont des murs ou sont scupltes des visages humains.

Pour Mike et moi ce fut un choc ( et oui encore un) pouvoir s'aventurer dans ce lieux était un rêve de gosse. Mais malgres cela la magie reste intact Et il est sur que prochainement je repartirais à l'exploration de cette cité au milles magies. Et que je pourrais apprecier le au tellement clichés couché de soleil sur les chapiteaux de Angkor Wat.

I come Back

Oyo les gens.

Apres quinzes jours à trainer mes petites pattes en Thailande ( et oui une nouvelle fois). Me voici enfin sur l'ile du printemps eternel ou sur le caillou ou encore si vous preferez en nouvelle calédonie.
Que dire....
1- je suis vivant bonne news n est ce pas (ca veut dire et oui on ne saura pas si au ciel ils ont des connections internet)
2- Je suis en pleine forme le moral remonté a bloc avec ces dix semaines de vacances.
3- Je reviendrais detaille le tout plus longuement.

A tuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuut