mercredi 10 mars 2010

Nouvelles sous esctasy


Envie de continuer mon attrait à l’autodestruction j’ai plongé comme il faut dans ce receuil de nouvelles totalement anxiogéne dans son approche de la vie. Ah l’appel de la drogue et de la destruction pure et simple de sa propre vie. C’est une chose que Frederic Beigbeder met royalement en page dans son style propre. Pour ma part je suis fan de ce style. Un style me correspond. Mais bon venons à ce petit recueil qui a pour fil rouge cette petite pilule qui nous rend heureux. Non pas le viagra mais l’esctasy.
Ces nouvelles ne sont point une propagande pour la drogue, mais un résultat de son effet dans les themes abordé par l’auteur. Ces écrits sont l’apanage d’une vision totalement folle qu’est la vie. Et là on découvre pleinenement le sex drugs rock’n roll. Car certaines nouvelles sont plus que osé et on en redemande. Voir enfin lire la vie qui nous coule entre les doigts et la mener là ou on veut. C’est tout bonnement génial tout comme l’interprétation de certains drames. Frederic ne nous cache rien et il se livre dans un état brut qui nous rend dépendant à sa prose et à son univers. Nous poussant même à réfléchir à ce qu’ont fait de notre vie. Bref l’incarnation de la Moody attitude.

jeudi 4 mars 2010

SOHO DOLLS : RIBBED MUSIC FOR A NUMB GENERATION


Allez parlons de rock anglais. Parlons de la vrai scène indé de nos amis londonien. Et oui la capitale du bon rock n’roll est toujours là. Et dans ces bas quartiers sont nés les Soho Dolls. Un étrange métissage mélange ou alchimie entre la musique cabaret le rock indé des années soixante dix et l’éléctro made in french touch. Oui et je sais de quoi je parle. Donc dans un studio vous mélangez tous çà vous mettez une joli demoiselle qui à la voix cristalline et vous obtenez la révélation rock des années 2007 2008. Et moi c’est avec plus de deux ans de retard que je l’ai découvre sur le titre Stripper.
Donc de quoi parlons-nous d’un rock assaisonné avec tout ce qui passe dans nos têtes et qui nous offrent des titres puissant et entrainant. Rien qu’en écrivant ces phrases j’ai dans la platine les titres Bang bang bang bang, prince Harry et Weekender qui se succèdent dans mes tympans. Quand je parle de titre entrainant je vous sommes d’écouter au moins weekender qui est à lui seul un petit bijou de réalisation. Des guitares qui hurlent. Une basse lourde à souhait et un chant. Mais un chant qui n’est comparable que la par la beauté de Maya von Doll. Et oui vous serez surpris par la demoiselle surtout sur le clip Stripper. Mais là je m’arrête et je vous laisse découvrir tout cela.

Mais pour revenir à ce petit bijou made in London. Je ne dirais qu’une seule chose : A ECOUTER D’URGENCE ». Vous serez conquis dés la premier écoute. Et vous direz qu’une seule chose à quand le second opus ? Quand est ce qu’ils passent prés de chez moi. Maya elle ne cherche pas un boyfriend ou une girlfriend ?

Week end pirates


A bord du Pussyfer je vogue sur les océans. Mon pavillon flotte et menace les innocents. Moi Squek coup’têt je charrie les âmes pour le Styx. Charon me suit dans mon sillage et mes boucaniers en sont le bras armés. A la tête de mon ost Bich l’extravagant, enfants des bas quartiers de Londres qui a sut acquérir le pied marin. Aujourd’hui il manœuvre le navire amiral sur les mers du Sud. Tout comme mes deux Succubes, mes fléaux aux charmes indécents, mes fidèles lieutenants Funeral Rose et Skulls Dodie. Nous quatre nous somme l’incarnation de la piraterie et le sound Skull et notre bannière.
En cette pleine lune j’ai recruté plus de cinquante six hommes et femmes pour partir explorer la perfide Death Queen Island. Jadis dans son lagon c’est échoué le fier navire de Cortez, un amiral espagnol qui revenait des nouvelles indes avec moult richesse. Et sur la pointe du Killer, cette zone corallienne il c’est échoué. Lui et son équipage ont péri lors de ce tragique ou son fier galion fierté de la couronne d’Espagne c’est écrasé face au rocher. Mais aujourd’hui son trésor m’est destiné. Et pour cela mon éminence grise Capt’ain Bich c’est assuré que les plus terribles les plus sanguinaires et plus mesquins pirates qui compose mon équipage me rejoigne pour cette ultime chasse au trésor. Aujourd’hui Sound Skull claquera au vent pour une dernière fois.
Pour éviter toutes trahisons de la part de mes flibustiers, le haut commandement à séparé les éléments les perfides. Ceux qui peuvent mener une mutinerie se sont vus séparé. Face a un tel enjeux je ne voudrais voir ma flotte se retourner contre moi. C’est ainsi que mes détrousseurs d’océan se sont réparti en plusieurs chaloupes de combats. Les Dark Skulls de Bichettes, des hommes et des femmes aux dents acérées et à la gâchette facile. Les Bleached Bones de Marie Madelaine, des bandits sans foi ni loi auquel même mes ordres ont du mal à être écouté. Les Evil Suns de Mathilde Karpoff, des flibustiers prêt à tout pour obtenir leurs du. Les Bad Moons d’Adrien Cheype, les fossoyeurs espagnols la quête du combat n’a pas de limites. Les Purple Sea de Evil Cairns des boucaniers sans morales et sans attaches. Et les Fang Shark de Squal, qui tapis dans l’ombre sont à prêt à bondir et à vous jeter par-dessus bords.

Et c’est ainsi qu’ils sont partis durant plus de sept jours à la recherche de ce coffre tant convoité. Et par la même occasion cela m’a permis de sélectionner les meilleurs. Le parcours fut long et laborieux et fidèle à eux même les différents membres d’équipage se sont lancé dans leurs activités préféré… La convoitise du bien d’autrui. Et ceci ne sait point fait attendre. Apres le débarquement des dernières chaloupes et les distributions des victuailles. Certains marins se sont lancés à l’aventure. Des coups bas furent lancés et des équipes misent à défaut dés la première journée. Certaines d’entre elle ont eut droit à saccage dans les règles de l’art de l’ensemble de leur matériel. Les carte de l’ile ultime convoitise furent dérobées par certains capitaines et détruite par la suite. J’étais fier de voir mes pouilleux s’entre déchirer. Seule la loi du plus fort compte et les mots sont portés au silence face à l’acier sanguinolent des lames.
Néanmoins rien n’a entravé leurs soifs de découverte et d’aventures. Les six équipages sont partis affrontés les grand dangers de Death Queens Islands. Ils ont du bravé l’esprit torturé de Bich l’extravagant dans des épreuves d’orientation ou les sens étaient non pas mis en alerte mais mis en défaut par la boisson des marins. Ils ont du faire fonctionner leurs matières grises. Chose qu’ils n’utilisent pas beaucoup face aux énigmes de mon fidèle Lieutenant Skulls Dodie. Ils ont du continuer leurs périples et plonger leurs têtes dans des mixtures autochtones face au regard impitoyable de Funerals Rose. Et enfin répondre aux questions mystères de la planche de bois ou chaque mauvaise réponse mettaient un membre de l’équipage hors jeux.
Mais ce ne fut point tout. Un match d’abordage ou les équipes se sont affrontées dans un combat violent ou tous les coups étaient permis.
Ce n’est qu’âpres l’affrontement des champions des six équipes que la chasse fut réellement ouverte. Les six équipages se sont affrontés sur les pas de Long John Silver dans une grande course de relais. Course à pieds, natation, course de siamois, rampage et au final découverte du trésor.
Et je suis fier des Black Skulls qui ont réussi à mener le combat et à revenir avec la clé du coffre. Suite à cette découverte ce fut ripaille et festoyage durant toute la nuit sous le regard complice d’une full moon night.