samedi 4 décembre 2010

Dynasty warriors Gundam 2


Un jeu pour fanboys, un jeu pour fanboys !!! Du gros beat them all qui tache !!!
Et oui Gundam est de retour avec ce Dynasty warriors gundam 2. Et pour ce second opus le studio Koei et Bandai ont mis les bouchés doubles. On retrouve ainsi toute la franchise de gundam premier du nom à gundam seed destiny. Soit plus de vingt ans de méca à se mettre sous la dent. Mais ce n’est pas tout car en plus de la surenchère de mechas on a le droit au gundam Géant tels que le Psycho Gundam issue de gundam Zeta. Et oui toujours plus loin toujours plus haut.

Alors suite à cet avalanche de nouveauté dites de remplissages que vaut réellement ce second volet ? A vrai dire on se retrouveavec le premier opus et les éléments cités plus haut. On retrouve le mode officiel qui suit l’histoire de Gundam, Gundam Zeta, Gundam ZZ et les OAVs dont le très célèbre Char’s counter Attacks qui clôt définitivement la saga.
Puis le mode mission qui n’est d’autre qu’une grande salade ou tous les grands pilotes de gundam s’affrontent dans des scénarios assez simplistes.
Cependant le but de la mission c’est de casser du méchas à coup de gundam et le défis est bien réussis.

Soundgarden : Telephantasm


Treize ans se sont écoulé entre A-Sides le best of de Soundgarden et Telephantasm ce nouveau best of. Donc ou est la différence et ou est l’arnaque. Il y en a aucune. Le groupe revient sur le devant de la scène avec sa reformation et il faut marquer le coup. Donc pour les nouvelles générations voici le best of d’un des grands de Seattle. Et pour les anciens il y a l’inédit Black Rain qui date de l’époque de badmotorfinger (1991).
Mais au final on est tous content même si de l’eau est passé sous les ponts qui sont Audioslave, la carrière solo de Chris Cornell, Probot pour Kim Thayil ou encore Pearl Jam pour Matt Cameron.
Mais aujourd’hui ils sont là et ils défendent ce nouveau best of avec une tournée de reformation. En attendant qu’ils reprennent la route des studios. Alors c’est avec une joie immense qu’on accueille ce nouveau best-of et qu’on redécouvre le son si caractéristique du quatuor de Seattle. Les cris de Chris Cornell sur Jesus Christ Pose ou encore le solo batterie de Matt Cameron sur Spoonman. Tous les classiques qui ont fait les marques de noblesses de Soundgarden sont là. Compilé sur deux cds, on y retrouve des versions live des titres emblématiques.
Mais aujourd’hui qu’en reste il ? Le gout de la nouveauté nous pousse à retomber dans la vague grunge. Et là, il faut le dire la magie opère. On se retombe en plein 90’s. La puissance de Seattle rayonne et on se demande quand on pourra se retrouver dans la fosse pour se dégourdir sur du My wave ou encore sur du Fopp.

N’attendais pas Soundgarden revient et si il y a un prochain album il sera attendu comme il se doit.

jeudi 18 novembre 2010

Week end cata du 11 nov





Pour le week end du 11 novembre, je me suis pris quatre jours pour descendre à la pointe sud ouest du lagon dans un trip cata avec la clika.

Tout d'abord voici la carte pour mieux identifier la zone.


Je previens pour éviter la lapidation public. Les photos qui vont suivre ne sont pas responsable du mauvais temps et du froid qui régne dans l'hémisphere nord.

Alors mercredi soir nous avons largué les amarres à bord du catamaran Zap. Son capitaine Cecile, son second Fab, ces matelots, Christou, Bichette and me. De plus on avait à notre bord deux invités qui n'était d'autre que les parents de Cecile en vacances et en escale avant de rejoindre la nouvelle Zelande.
Ainsi sur les coups de 17h ont quitté le port de Nouméa en direction de l'ile Ouen pour mouiller pendant la nuit. La traversé nocturne fut assez complexe et fatiguante. Un vent de 25 noeuds avec des rafales de 30 et une obligation de tirer des bords pour avoir le bon ascendant pendant la descente. De plus la mer est assez chaoteuse et la navigation se faisait par moment à vue. Mais sur les coups de 3 heures du matin nous sommes arrivé sur la zone de mouillage de l'ile Ouen. On a pris notre temps pour la descente en jouant la sécurité mais aussi en passant plus pres des ilots de Redika que de la cote. Bon au final on c'est retrouvé Cecile, Fab et moi à la manoeuvre. On c'est pris au jeu de la regate en gonflant le genois et la baume pour s'amuser à prendre des pointes avec le cata. Pour nous trois c'était une premier pour nous. Habitué au monocoques on découvrait les joies de la navigation et la stabilité d'un cata. Pas obligé de jouer de la gite pour prendre de la vitesse. Un must !!!
Donc le jeudi à l'aube (c'est à dire à 5h) on a remis les voiles et là direction la pointe sud et le recif de l'ilot Koko. 50 miles à couvir donc on prend notre temps et on admire le lagon. L'alizé est modéré et il atteint des pointes à 25 noeuds. Avec à peine deux heures de sommeil on se met en place avec des quarts. Fab et moi on prend le premier jusqu'à 8heures, puis à Cecile arrive pour assurer le second jusqu'à 12h. Et là toute seule elle peut gerer vu qu'on est dans les eaux profondes du lagon. On passe Mato (ilot du dernier week end), Irehoué (ilot ou on vécu l'enfer en Mars 2009) et on dépasse la zone des cinq iles, ainsi que l'épave du cargo Ever Prosperity.



Puis sur les coups de 14h on arrive au niveau de l'ilot Koko. Et là on s'installe pour la nuit et on commence à sortir les affaires de peche et de kit. L'ilot est propice pour taquiner la loche et le tasard. Fab et moi on plonge de quoi ramener sur le bateau le repas du soir. Tandis que Cecile sort son Kit pour profiter des alizées clément. Mais bon Jr fidéle à lui meme sort un belle Jrtade. Apres avoir piqué une loche de 3kg je réarme mon fusil, et bon et la la fléche est mal enclanché et quand j'arme le sando (l'élastique du fusil) ce dernier déclenche le coup. Et le résultat est que ce n'est pas la fléche qui est parti mais mon majeur gauche. Au final je me suis retrouvé avec le doigt charcuté comme il faut. Des bouts de chair se sont fait cataplulté contre le corail. Et aujourd'hui j'ai deux belle cicatrices et des beaux trous sur le doigt. Mais ceci met fin à ma session peche du week end. Je pisse le sang. Donc obligé de sortir de l'eau et d'arreter la session peche de Fab pour éviter les mauvaises rencontres. Heureusement qu'on avait déjà deux loches dans l'annexe de quoi assurer la salade taihitienne du soir. Mais ce n'est rien à coté de ce qui nous attends quand on rentre sur le cata.
Cristou avait sorti sa canne à peche et ce n'est pas une loche ou un perroquet qu'elle nous sort mais une bonnite de 7kg (une sous famille du thon jaune). Bon le repas du lendemain c'est reglé. Elle ne cache pas que pour la remonter ils ont du s'y mettre à deux. Mais la piece est magnifique.
La soirée se passe avec une petite fiesta sur le carré. En mode rétro et ambiance. Seul sur le lagon avec comme compagnie le calme et les étoiles.

Le lendemain on resort les voiles et on remonte vers le nord pour mouiller sur l'ilot Morpion. Un petit banc de sable qui se dessine au milieu de nul part.



Un petit ilot sympathique qui nous offrira l’apéritif du soir. Car Fab nous sortira une belle porcelaine tigrée. Bon un petit 5 kilos mais de quoi nous regaler surtout quand elle est cuisiné à la provençale (huile d'olive, poivre, et herbes de provences). L'approche fut assez complexe. Pas de passe et le fond est irrégulié on passe de 75m à 1metres en meme pas dix mètres. Pas mal de patates jalonnent l’approche. Donc pour larguer l'ancre et se mettre à l'abri du vent il faut naviguer à vue. C'est pour çà que tout le monde se retrouve sur la proue pour m'indiquer les patates. J'avance au moteur et quand c'est bon je lache l'ancre pour avoir un fond moyen et avoir le poid de la chaine avec moi.
Pas de frayeur mais beaucoup de sang froid. Ça permet de découvrir une zone assez sauvage et d'offrir de belle couleurs pour le PMT (palmes maques tuba). Ne pouvant pas plonger je m'occupe de la sécurité en restant sur l'annexe et en récupérant les plongeurs lors de leurs sessions découvertes des coraux.


Et pour l'apres midi on remonte du coté du recif pour voir le tombant et les piscine naturelle qui sont protégé par la barriere de corail de la nouvelle calédonie. Là les bleus de l'ocean s'offre à nous. On part du turquoise du lagon pour aller rejoindre le bleu profond de l'ocean pacifique. On se repose et on mouille face à l'immensité de l'ocean. Avec au loin le relief de l'ile des pins qui se dessine légerement. Les pouffins sont là attestant la proximité de petits ilot non cartographié. C'est çà la magie du lagon sud. On navigue sur des zone qui ne sont pas cartographié. On hallucine, tout simplement. Mais la découverte c'est quelque chose de tellement magique pour nous tous quand on vogue avec aucun relief qui nous entoure. Je ne vous cache pas, qu'on était à la limite de se dire allez à l'aventure on remonte on prend la passe de boulari et on se barre.
Mais ca ne sera pas le cas malheureusement...

On continu nos pélégrinations sur le lagon durant toute la journée du samedi en s'occtroyant des sessions de péches et farniente. Avant de rentrer le dimanche sur Nouméa. On remonte vers Prony pour s'arreter sur l'ilot Casy et remonter le canal Houdin et l'ilot Ouen. Un week end de quatre jours à naviguer coupé de tout. Avec çà on a découvert les joies de la navigation sur cata. On connaissait via des sorties à bord de cata dédié à çà. Mais là ce fut tout autre chose pas de skipper rien que nous et l'aventure. Le choix d'aller ou on veux de changer nos plans à la derniere minute. La liberté !!!!

mercredi 27 octobre 2010

American Hi-Fi : Fight the Frequency


Entre Hearts of parade et Fight the Frequency il se sera écoulé plus de cinq ans. Holly Shit cinq ans !!! Mais le résultat est là malgré l’attente. Nos quatre gars sont en forme et nous reviennent avec un album Pop Punk aux douces mélodies. De plus la jaquette n’est pas anodine. Un renvoi direct vers le premier opus sorti en 2000.
Alors que reste t il du groupe après ce long silence. On ne saurait le dire. La magie refait son effet avec la voix de Stacy Jones. Son timbre est toujours innocent tout comme les mélodies qu’il nous offre dans un pur style de power pop.

L’écoute commence avec Fight the Frequency. Un titre rapide ou Jason Stutter s’en donne à Cœur joies derrières ces futs. Le son est identifiable entre mille et on retrouve les sources du groupe. C’est un retour en arrière de plus de dix ans en pleine époque de Flavor of the week. Mais le groupe ne s’arrete pas là et ils enchainent directement avec This a Low. Une introduction assez grave et lourde pour nous lacher un morceau tres rock et tres péchu. Plus moyen de revennir en arriere l’ensemble est laché et c’est partie pour une heure d’écoute au son de American Hi-Fi. Du mélancolique avec Where love is a lie, du rock entrainant avec Lost ou encore de la pop avec Loockout for the Hope

Donc le retour est plus que gagnant nos quatre gars de Boston sont toujours dans la partie avec des mélodies qui tappent fort et qui touche juste. Leur style reste propre et à leur écoute on retourne à nos années lycées. Cet album n’est d’autre qu’un écho lointain mais réel à ce qu’ils étaient il y a dix ans. Le temps a passé mais la passion est toujours là. American Hi-Fi continue de nous entrainer avec eux et on en redemande. Un retour juste et plein d’entrain.

Octobre Voilier !!!


Donc premier week-end et boum une sortie en mer vers l’ilot Mato en compagnie de la cliqua. Avec Bichette, Cécile, Narco, Ju, Manu et Fab on est partit naviguer sur les mers du sud. Une petite expédition à bord du capitaine Houdine. Départ le vendredi soir pour un retour le dimanche soir. Donc deux jours complet en mer, de quoi pouvoir se déconnecter l’esprit en toute tranquillité n’est ce pas ? Et c’est le cas après avoir effectué des courses sur le pouce on se retrouve tous à la baie de Prony pour embarquer. On s’installe on découvre le bateau, un fier deux mats vieux de plus de trente cinq ans. On se pose et on apprécie le fait d’être déjà sur les flots. Ainsi démarre une petite soirée bien arrosé avant d’aller se coucher. Et le lendemain on hisse les voiles et directions le bleu du lagon. Le temps est idéal. Le soleil rayonne et le vent nous pousse vers les rivages des ilots perdus. Une traversé sans encombre. Manu, Narco, Fab et Cécile s’affairent sur le bateau et on file vers l’ilot Mato. Le week end fut plaisant. Farniente et posage sur un ilot. Pour les anecdotes il y en a, mais elles resteront là. Pas besoin d’ébruiter les aléas de certains. Mais en tout cas j’en garde de bons souvenirs. Et je vous laisse en compagnie des photos suivantes.

jeudi 14 octobre 2010

Pirates


Dernier roman à être publié du défunt Michael Crichton, Pirates est un concentré de toutes les aventures qu’on puisse connaitre dans les eaux tumultueuse des caraibes.
On va suivre Edward Hunter un corsaire au service de la couronne britannique qui va passer du coté de la piraterie pour mettre à mal l’empire espagnol en attaquant la forteresse de Mantaceros. Pour cela il va se constituer un équipage hors normes dans le seul but de s’emparer des tresors que renferme la baie de la forteresse.

D’un simple regard on tombe dans les aventures de pirateries simple. Mais là ou M.Crichton sort son épingle du jeu c’est par le fait qu’il nous garde sous tension tout le long de la lecture. Chose qui nous permet de dévorer le livre à une rapidité qu’on reste sur notre faim et notre fin aussi.
Pirates est un bon roman d’aventure mais baclé et incomplet et surtout mal structuré. Et tout ceci fait beaucoup pour un ouvrage de cet accabit. L’ensemble va vite mais certains passage ne sont plus survoler mais tout simplement éffleurer. Je prend l’exemple du second de fort Mantaceros qui tient un role important mais le personnage est à peine amené. Tout comme certaines situations qui sont rocambolesque à souhait et qui malheureusement n’aménene rien à l’intrigue. On est sur une base de piraterie et celle-ci disparait dans le décors pour juste servir de toile de fond. On aurait put mettre l’intrigue dans le désert ou dans la rome antique le final aurait été le même. Et je trouve cela fort dommage. Car l’intrigue principale enfin celle du premier acte et tout bonnement géniale et coupe avec ce qu’on pouvait voir. Mais au final on l’impression que M. Crichton fut submergés d’idée et qu’il a tout mis dans ce roman. Et ceci provoque ce méli melo sans nom qui donne cette impression d’inachevé. Et c’est dommage pour un auteur de cette renomée.

Vamps : Beast


Bon, nous nous sommes arrêtés ou ? Ah oui à Vamps et leur deuxième opus Beast. Beast comme le retour de la bête. Et la jaquette de ce second opus rend bien hommage à ce que nous réserve le duo infernal Hyde et Kaz.
Il faut dire que ces deux ont réussi à faire monter la mayonnaise sans mauvais jeu de mots comme il faut avec un single absolument stratosphérique. Devil side à réussi à nous mettre en bouche et à nous offrir ce qu’on attendait du groupe. Un son bien lourd bien rock’n roll. La guitare est à elle seule magnifique. Cependant ce titre n’est pas à l’image de l’album. Le groupe c’est par moment assagis mais ils ont réussi à garder la hargne des morceaux comme Vamps Addict ou encore Revolution sont tout bonnement géniaux. Certes la découverte du groupe n’est plus là mais l’énergie délivrer par le combo guitare lourde et batterie puissante donne toujours de quoi jumper. Rien que Revolution donne le la ou le ton. C’est à vous de choisir sur quel pied danser. Car l’ensemble est assez homogéne. On est dans la dimension de Vamps à la porte de la damnation et de la luxure. Le péché est là et il est mis en musique sur the Past ou Samsara.

Beast n’est pas la révolution attendu mais il apporte la fraicheur qu’attendait la scène rock japonaise. L’essai est confirmé et en l’espace de deux albums Vamps est devenu un groupe ténor de la scène Rock.

Junk Punk In Calédonia


La junk Punk attitude, la junk life… What’s the fuck ? Et oui ca commence ainsi mais je ne me voyais pas faire une introduction avec le il était une fois et tous le touin touin pour voir des elfes et des farfadets en collant vert gambader dans des champs sous l’influence de l’ecstasy locale. Le junk Punk c’est quoi c’est un futur alternatif. Il en existe plusieurs, attention je suis geek et fan de roleplay donc il est possible que j’en perde pas mal d’entre vous en route. Donc si vous décrochez revenez à la première page et réessayer. Si vous n’y arrivez pas faites comme les elfes essayer l’ecstasy locale. Vous verrez ca passera mieux.
Donc ou en étais-je ? Ah oui le futur enfin les futurs alternatif, il en existe plusieurs qui sont classé sous différentes catégories. Je ne vais que les survoler en vous donnant des exemples. Mais au moins vous comprendrez ce qui c’est passé dans le cerveau gangréné de deux mecs en manque d’events.
On a le cyberpunk un futur ou la technologie a pris le dessus. L’homme est assisté et il vie sous le joug de l’informatique et de l’information mass média. Des œuvres comme Blade Runner et Ghost in the shell sont de très bon exemple.
Ensuite nous trouvons le gothic punk. Non non ce n’est pas le mélange d’un fan de Manson et d’un fan de Sid Visious. C’est un monde ou la religion a pris le dessus. L’homme est traqué pour toute entrave à la doctrine de masses. Pour cela il faut plonger dans le monde de Warhammer 40 000
Une troisième futur assez connu c’est le steam punk. L’humanité c’est arrêté à la révolution de la vapeur. La technologie est bien là mais dans un monde ou deux univers cohabitent. Pour cela des films comme Steam boy ou full metal alchémists sont de bon exemple.
Et pour finir il y a le Junk Punk un monde apocalyptique ou l’humanité survie face aux affres d’une troisième guerre mondiales ou d’une grande épidémie. Les rescapes vivent sur les ruines d’un monde en essayant de le reconstruire. Pour cela il faut se plonger dans Mad Max, Waterworld.
Donc c’est sous ce thème que Bichon, mon fidèle acolyte et moi-même nous nous sommes lancés dans une aventure dépassant l’entendement humain. Comment est né ce projet ? Pour cela il faut remonter le temps. A une époque béni des dieux ou les départs et les retours étaient légions. Perdu sur le vaste parking de la Tontouta on refaisait le monde avec des bouteilles de Baileys à moitié fraiche. Tiède par moment. Et oui la vie peut être cruelle. Et là ce n’est pas la fée verte qui est venu nous dire bonjour. Mais l’esprit de démence et de l’inconcevable. Et depuis il suffit d’une étincelle pour qu’un brasier sans noms s’emparent de nous. Le premier effet connus fut la soirée pirates et le second effet la soirée Junk Punk. Mais comme je vous le disais ici pas de fées ou de prince charmant. Ici tout est chaos tout est désenchanté (bordel Myléne shut up !!!).
Apres des préparatifs houleux et c’est le mot car on avait vu gros pour cette soirée. On est arrivé le vendredi matin sur le lieux de la soirée. A notre bord plus de 130 000 franc d’alcool (plus de 1000 euros pour les européens, a peu prés 110 000 yens pour les japonais et pour nos amis canadiens et anglais je vous laisse faire la conversion), une sono pour faire jumper le dancefloor, 10 futs d’huiles pour le décor, des tonnelles pour les abris et notre savoir faire pour transformer un spot désert en quelque chose de totalement apocalyptique. Et pour cela le ciel nous a entendus pas de la bonne oreille je le conçois. Car à peine nous nous sommes installé que la pluie est venu nous prêter sa compagnie. Et c’est sans attendre qu’on a quitté le spot sans demander notre reste. L’angoisse venait de rejoindre la fête. On est vendredi soir il pleut dans le sud, la météo nous joue des tours et nous pauvres pécheurs (oui je fais mon religieux car en ce moment de crises les sacrifices furent légion, et je vous rassure je ne vous parlerais pas du mien). Le samedi s’annonce anxiogène à souhait on ne sait pas si on doit maintenir la soirée mais on prend notre courage et on fait vœux de chasteté (enfin moi) on prie et on espère que le temps ne bougera pas. Et une fois arrivé sur la plaine de la futur New Heaven le ciel demeuré menaçant. Mais menaçant tant qu’il ne passe pas à l’action ca nous va. C’est ainsi qu’on passe en mode batisseur et que New Heaven sort de terre. On est quatre à mettre la main à la patte, Bichon, Lilian, Seb and Me. Il est sept heures du mat et les participants ne seront ici pas avant trois voir quatre bonnes heures. Il faut tout transformer et on s’y met de bon cœur malgré les petits soucis techniques tel que le groupe électrogène qui nous joue des caprices ou la consommation accru de disque pour la disqueuse.
Cependant la consécration arrive sur les coups de onze heures. On attend au loin les klaxons des voitures. Et ils sont là nos soixante participants. Ils ont signés pour vivre un enfer, et là c’est l’apocalypse qu’on leur vend pas celle selon St Jean mais celle selon la Soundskull Team.



Le temps que les concurrents se posent la sono crachent déjà le ton avec un Highway to Hell qui sonne le glas de toute utopie. L’ére madmaxienne vient de commencer.



En tant qu’Apostat de New Heaven je cree une nouvelle caravane de l’étrange. Le but de ces équipes sera de s’affronter pour entrer dans New Heaven. Malheureusement le ciel nous joue des tours et la pluie fait son apparition. Les priorités sont de protéger le matériel. Refugié tels des naufrages sous les tonnelles on attend… Le rhum arrive et réchauffe les cœurs. Pendant ce temps le staff prend la décision d’abandonner le spot par sécurité et de repartir vers Plum. Il faut trouver une solution de rechange mais celle-ci ne viendra pas de l’équipe d’orga mais de Math et Vince qui nous offre leur maison pour continuer la soirée. Et là tout s’enchaine les Djs lancent les watts et la foule se retrouve sur la piste de danse. Les tracasseries de la journée sont oubliées et les corps de déchainent sur le dancefloor. Aux rythmes d’une musique endiablés tout le monde se laisse aller dans un monde d’extase ou l’alcool coule à flot. Et pour couler il coule. C’est l’orgie à 23 heures c’est panne sèche mais pour tout le monde l’ambiance et là et c’est du jamais vu sur Nouméa.

lundi 4 octobre 2010

Skip The Use : Unbreakable


Ca sonne comme du Punk, on y retrouve une essence funky et en plus ils sont groovy. Que demander de plus voici les Skip the use. Un bon groupe lillois qui n’a pas sa langue dans sa poche. Taillé pour la scéne ils livrent un premier album autoproduit qui décorne sec avec les idées reçut.

Pour le moment ils sont en plein promotion de Unbreakable mais ca ne les empeche pas de faire sauter nos esgourdes. Le tout commence avec Bastard Song un titre qui annonce la couleur des le premier couplet (i love Rock ‘n roll). Le groupe se déchaine sous les attaques vocale de Matt. Un groove puissant avec des pointes de disco. Tout ce melting pot de musique nous donne une folle envie de continuer l’écoute. Et on est pas décut. She is my lady est un titre fort teinté de pop avant gardiste avec un lointain echo à Queen. Et oui ce ne sont pas des salades. Dans cette macédoines de sonoritées on trouve toutes les influences des années 80-90 réarrengé à la sauce XXI siecle.
Mais Skip the Use c’est aussi Give me le single surpuissant qui est là pour faire réagir les foules. On y retrouve toute la puissance du funk. Yann s’en donne à cœur joie et sa guitare est un tremplin direct vers le monde des Skip the Use.

Et oui il n’y a rien à dire de plus, hormis le fait de se procurer cet opus en extrême urgence. Le rock français n’est pas mort et il existe toujours des groupes qui le pronent et qui arrivent à faire trembler les fosses à grand coups de guitares.

Few day in Korea


Apres deux semaines en France je me suis envolé pour Séoul en Corée du Sud. Un petit séjour de cinq jours dans la capitale sud-coréenne en compagnie d’Elo. Ce fut l’occasion de jouer aux touristes et de flâner dans cette mégalopole de l’Asie. Donc après un vol Marseille Paris et Paris Séoul me voici à Inchéon l’aéroport international de Séoul. J’ai à peine le temps de me poser que j’embarque directement dans le premier bus en direction de Hongik. Et oui c’est dans le quartier universitaire que je me suis posé. Pas trop loin du centre ville par le métro et des grands centres d’intérêts. Je profite de ma première journée à flâner et à prendre mes marques. Situer plus ou moins ou je me trouve et trouver des spots intéressant à faire, en attendant l’arrivé d’Elo. J’en profite aussi pour prendre contact avec Eric un ami vivant sur place.
Cependant durant mon flannage je ressens le climat sud coréen. Une chaleur étouffante pire que à tokyo. Le taux d’humidité frôle les cent pour cent. Au moindre mouvement on dégouline de transpirations. A chaque pose c’est déshydrations time. Et c’est là que la culture coréenne me frappe. Oui me frappe comme un café car ici c’est la culture du café. Les Starbucks fleurissent de toute part comme les enseignes concurrentes. On ne fait pas vingt mètres sans tomber devant ces enseignes. Le café est roi et on le voit.
Et c’est sur ces premières impressions que la journée se passe.

Le lendemain c’est reviel aux aurores pour aller chercher Elo qui débarque directement de Nice. Un retour sur les vacances passé en métropole. Meme si on c’était revu quelques jours avant sur la promenade des anglais.
Et de là tout s’enchaine c’est parti pour écumer Séoul. Et pour cela on commence avec la visite du centre ville et du parc de Deoksugung et du palais de Gyeongheuigung On érre dans ces leiux d histoire et on admire l’architecture coréenne. Le temps passe et on vagabonde entre les pierres et les jardins des anciens empereurs de corée. On continue notre periple pour prendre de la hauteur au niveau de la Seoul Tower. Le panorama de la ville s’offre à nous. Perdu au mileu des montagne la ville nous livre ces secrets. Le dépaysement est total !!!
Tout comme notre épuisement car l’asencion est digne de la montée des douzes temples dans les chevaliers du zodiaque (oui geek inside). Des marches, des marches et encore des marches. Mais bon le résultat valait toutes nos peines. Car une fois notre périple accompli on est allé rejoindre Eric un ami qui vit à Séoul. Et en sa compagnie on a écumé les bars de la ville avec un posage dans un night club tres sympathique. Et oui l’ambiance festive est partout et pour notre part le retour fut digne de nos plus belles soirées. Un casque de moto en moins un trousseau de clés oublié pour Eric et une perte de carte bleue pour ma part. Dantesque n’est ce pas ?

Pour le deuxieme jour c’est direction la porte de Dongdaemun et le parc olympique. On joue aux touristes et on flane au milieux de boutiques et des curiosités des differents quartiers.
Malheureusement pour la DMZ il faudra repasser. En cette periode l’armée américaine et coréenne sont sur place et suite aux dernieres altercation la zone est fermée au touristes. Bref notre dernier jour sur la capitale sera dédié à faire les dernieres courses de fringues et de souvenirs pour les amis et la famille avant de reprendre la route de Incheon pour rentrer en calédo.
Pour la derniere soirée Eric nous invite à frequenter une nouvelle fois les bas fond de Séoul dans une ambiance soft electro. Et il nous indique une boite de nuit proche de notre quartier qui passe du full rock pop. Jusqu’à quatre du mat on sera là a faire chauffer le dancefloor. La fin d’une étape…


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lundi 9 août 2010

Slash is back


Le guitar Hero est de retour avec un album tout en saveur. Plus de 13 titres qui vont nous faire voyager dans le monde de Slash l’emblématique guitariste des Guns and Roses. Et pour cela il a invité tout ces petits copains à venir poser leurs voix ou leurs instruments sur ces différents morceaux.
Et l’ensemble nous porte au-delà de tout ce qu’on pouvait espérer. Surtout quand on voit la liste des amis qui ont répondus présent. Regardez on a Dave Grohl (Nirvana Foo Fighters), Chris Cornell (Soundgarden Audioslave), Iggy Pop, Ozzy Osburne et Fergie (Black Eyes Peace). Et à chacun des morceaux on trouve une identité pure. Ecoutons Beautiful Dangerous avec Fergie. Et là c’est la révélation. Qui aurait pensé que Fergie soit si Rock !!! Sa voix est tout bonnement hors normes. Et Slash s’en amuse avec sa guitare qui sonne bien lourde dans des accords très eighties et lourd. La magie a déjà opérer et on n’arrive pas à réaliser car le groove est là et nos oreilles en redemande. Et on va être servis avec Promise. Chris Cornell est à la voix dans un morceau planant et relaxant. L’ancien Frontman des Soundgarden joue de sa voix pour accompagner un guitare au son folk prodigué par sa majesté Slash. Deux monstres sacrés des années 90 sont réunis sur un morceau plein d’émotion. Et l’émotion continue avec Watch this ou cette fois ci pas de chant mais un trio gagnant. Dave Grohl, Duff McKagan et Slash pour un morceau Rock dans les pures règles de l’art. Un solo à faire vibrer les murs par sa puissance et surtout par la dextérité de Slash.

Un album qui peut être passera inaperçu au yeux du grand public mais qui va devenir un album de chevet pour tous les amoureux des riffs bien lancés.

dimanche 11 juillet 2010

Long John Silver


Une légende !!! Oui une légende Long John Silver le pirate revient mais en bande déssiné sous la plume de Dorisson et le crayon de Lauffray. Ce personnage du grand classique l’ile au tresor s’octroit ici une intrussion dans le neuvieme art.

On reste dans les mysteres du vieux capitaine Flint car cette nouvelle aventure a pour but de nous plonger nous lecteurs dans le passé de Long John mais aussi dans sa vie après les peripeties de l’ile au tresor. Donc dés le premier tome il est tout a fait de revoir certains personnages imaginé par Stevenson.
Mais dans cette aventure point de Jim mais une rumeur sur un fabuleux tresor. Ainsi on retrouve la meme mise en scéne que les premieres chapitres du roman de l’ile au tresor. Un bateau doit partir sur les traces d’une expedition et Long John embarque à son bord en tant que simple cuistot. Mais là les fantômes du passé resurgissent et on découvre une personne rongé par les regrets et les remords. La vie de Flibustier a certes ces avantages. Mais par moment les cauchemars d’un passé tumultueux sont impossible à calmer.

dimanche 6 juin 2010

Cote oubliée Jour 4 et 5



Apres le repos, c’est notre quatrième jour de marche. Et pour moi (oui je suis faible) le calvaire devient intense. On descend en direction de la mine de Ouiné et de son aérodrome. Normalement ce point là indique la moitié du parcours. Mais pour nous ce n’est point le cas. On réalise qu’il nous faut encore plus de quatre heures pour rejoindre le site. Et le parcours même si il est plaisant présente ces embuches, mais aussi sont lot de réconfort. On descend à notre rythme vers ce point dit de ravitaillement. Cependant au fur et à mesure qu’on avance on voit la fin de l’aventure qui se dessine. Il nous reste encore une journée et demi et un bonne trentaine de kilomètres mais cette fois ci ce n’est plus sur du platier mais dans la mangrove. Bref on commence à douter. Mais une fois arrivé sur le village de Ouinée d’un accord commun on décide d’arrêter l’aventure. En discutant avec les mineures on négocie un retour en avion vers Nouméa. Et ces derniers nous offre l’hospitalité en nous hébergeant. C’est le moment ou la tension se relâche. On profite de ce temps pour se reposer et profiter de cette fin de week end. C’est la redecouverte des joies simples. Nous sommes tous là allongé sur la pelouse à laisser nos esprtits partir loin de la route. On flane on plonge dans la lecture. C’est la fin, il y a un peu d’amertume mais de savoir que demain on rentrera sur Nouméa nous redonne le sourire. Sourire qu’on avait point perdu car la randonné fut quelque chose d’intense pour nous tous. On était bien sur les plages à avancer et à se demander ce qui pourrait bien nous arriver.

Le lundi le retour se fait sans embuches. Et le matin nous voilà sur Nouméa après un vol de courte durée. On est en ville avec nos gros sacs. Impossible d’etre discret. Mais ce n’est pas grave. On arrive chez Elo pour la derniere action du voyage. Repartir à Yaté récuprer le pick up de Cécile.

Au final on aura passé quatre jours sur la piste à se demander ce qu’on faisait là. Mais au final c’est une expérience qui restera tatoué au fond de nos cranes.

Merci à toi Sire Bichon pour ton Leitmotiv, je te remercie Christelle pour cet entrain que tu nous faisait partager. Merci Elo pour ta bonne humeur et tes sourires communicatif. Et merci encore Cecile pour tous ces instants made in nawak.

Taproot : Plead the Fifth


Et de cinq !!! Taproot continue de marqué la scène indépendante du métal américain. Révélé avec un album GIFT qui fut à sa sortie disque du moi dans le magasine Rock Sound. Les quatre petits gars du Michigan reviennent avec un nouvel album taillé pour la scène. Laisson place à Plead the Fifth

Le premier single qui en ce moment circule sur les ondes n’est d’autre que Fractured. Un titre fort et intense qui n’hésite pas à nous faire rappeler leur premier effort mais aussi l’avant dernier album. On alterne entre des riffs lourd tout droit sorti de l’époque néo, mais aussi à une prestance digne de la grande époque du grunge.

Cependant revenons sur le son qu’ils nous offrent après deux ans de silence. C’est now RISE qui ouvre le bal et là, la puissance de Taproot vient nous percuter au plus profond de nos tympans. On reconnait cette saturation dans la guitare mais aussi ce son de basse si caractéristique. Taproot et là et Richards nous le fait bien comprendre. Cependant Taproot c’est bien plus que cette énergie. C’est aussi des titres comme 911ost qui par sa composition et son ambiance nous offre un autre regard sur le groupe. Cependant les fans retrouveront dans ce titre les ambiances de Welcome et de Blue Sky research.

Néanmoins je ne vais pas détailler cet album dans tous ces détails mais vous inviter à plonger dans ce nouvel opus. Il faut naviguer entre la puissance de Game Over, l’ambiance de Release me ou encore la prestance de Left Behind. Car depuis plus de dix ans les Taproot font parti de la scène indépendante et chacun de leurs albums est une petite perle dans le monde du métal au sens large du terme. Car pour eux le néo est très loin et tels que les Deftones ils ont développé leur propre son remarque entre mille.

mercredi 19 mai 2010

Cote oubliée Thrid Day



Et après une nuit glaciale on repart sur les pistes. Il faut dire que le réveil fut rapide car la destination selon la carte se trouvait à plus de dix sept kilomètres et on avait le col du téléphone à franchir qui culmine à 400 mètres avant de redescendre vers la mine de Ouiné. On range tout et là on remarque que le style roots attittude fait son effet. Le sac de Bichon est en mode Toscane (t-shirt, short et bandana qui pendent), celui de Cécile en mode bricolage (corde en double rouleaux, feuille de cocotiers) et moi en mode hippie avec mes manous sur les sangles, les tendeurs mon t-shirt. Bref ca fait trois jours qu’on marche et c’est déjà le zouck.
On avance et la marche commence à devenir de plus en plus difficile. Les plages sont rares et on est acculés contres les parois de falaises abrupte. Mais on doit avancer mais face aux remous de l’océan et à la complexité du terrain le progression est lente et laborieuse. Et pour arriver à la baie de la Mereka il nous faudra plus de quatre heures. Mais l’effort est à la hauteur car dans une anse protégé de la houle on découvre la plage. Oui la plage ou la Mereka se jette dans l’océan. Malheureusement nous ne trouvons aucune source d’eau douce. Elles sont toutes contaminées par le contact de la mer et même en remontant la rivière le sel est là. On prend notre mal en patience et on se dit qu’avec deux litres on pourra tenir jusqu'à notre ascension du col téléphonique. Mais notre moral reste au beau fixe et on se pose quelques instants sur cette plage coupé de tout. Seule la flore nous observe et quelques pas de cochons sauvage trahissent la présence d’une faune autre que sous marine. Pendant ce petit temps de repos on s’octroi le plaisir de déguster du lait de coco pour se rehydrater. Puis vint le moment de trouver la piste dans l’epaisse jungle qui entoure la baie. Et là les ennuis commencent. Impossible de trouver un semblant de chemin. La jungle a repris ces droit et c’est à coup de Tamioc et de mission de reconnaissance qu’on arrive à un semblant de piste qui nous ménera à l’ancien chemin minier. Les premiers cent metres de déniveles sont reconnaissable par une ascencion abrupte sur le flanc de la montagne. Un éboulis nous montre le chemin et on s’y engage. Plus d’une heure apres notre pause nous voici dans un décors qui m’est plus que famillier. On sort de l’epaisse jungle pour entrer dans un décor de terre rouge aux reflet provenceux. Les palmier et autre cocotiers ont laisser leurs place aux pins et autres chêne blanc. Ce paysage sent la provence j’ai l’impression de retrouver dans le massif de l’esterel. Mais là au fur et à mesure de crapahuter j’ai des douleurs qui me lance dans le genou droit. La douleur est supportable mais je suis obligé de ralentir la cadence. Le groupe s’en trouve point ralentit mais mon genou m’inquiete c’est pas la premiere fois et là il a une drole de forme. Mais je garde cette information pour moi. On continu notre avancer et on prend de la hauteur. On découvre au loin notre point de départ perdu derriere les different cap et on entrevoit le sommet avec son col à passer le plus rapidement. Mais déjà on a plus le souci de la marée et on peut progresser de nuit si il le faut. Mais ce n’est sans compter avec les difficulté de la piste qu’on croyait aisée. Déjà il est plus de quinze heures et dans deux heures il fera nuit. Et l’eau devient plus qu’une préoccupation. Avec Bichon on s’en inquiéte. Au loin on voit une cascade à grosso modo plus de cinq heures de marche de notre position. Mais elle est dans la vallé à l’opposé de notre direction. Mais on se demande si on devrait pas faire un détour. On continu notre progression et on laisse les filles se desalterer. Puis soudain au loin un bruit d’eau. On avance et là deux sources naturelles se deversent sur la piste. C’est notre jour de chance on se rafraichit le visage on redecouvre la joie de s’hydrater et de s’enlever le sel qui nous brulait le visage. On la cherchait cette source et là voilà. On refait le plein des bouteilles et on repart. Malheureusement notre élan s’arrete face à la piste coupé sur toute sa largeur. Un glissement de terrain nous empeche d’aller plus loin. La piste est coupé. Et on est obliger d’éscalader la montagne pour récuperer le lacet à cinquante metre au dessus de nous sur un terrain plus que friable. A notre ascension la roche déboule pour finir cent metres plus bas. Est-ce que le jeu en vaut la chandelle ? Je dirais oui car il nous est impossible de faire demi tour. C’est marche ou crêve.



Cécile ouvre le bal et atteint le sommet non pas sans mal. L’ascension fut complexe et ces petits jurons on bien fait comprendre que là ca sera hardcore. Christelle emboite le pas. Mais tout ce complique sous ces pieds la roche se dérobe et des blocs de pierre finissent leurs cavalcade plus de cent metres plus bas. C’est à ce moment que Bichon monte à son tour pour la soutenir et l’aider à franchir cet obstacle de taille. En bas Elo et moi-même on retient notre souffle. La situation devient critique. Car on était pas preparer à monter sans materiel sur ce type de terrain. La panique monte et Christelle se tétanise. D’en bas j’essaye de faire entendre raison à Bichon en lui demandant de laisser retomber son sac. Vu que je cloture la marche je me chargerais de le monter avec moi. Mais sans facon il s’entête et poursuit son raisonnement d’assurer à sa façon Christelle. Pendant ce temps Cécile improvise un baudrier et une corde de rappel et descend pour soutenir Christelle. Le temps défile et apres plus de vingt longues et épuisante minute Christelle arrive à continuer l’ascension. Mais sa reaction montre d’une part que ce passage n’est pas une simple formalité. Car Elo qui succede aux deux a beaucoup de mal à atteindre le sommet. Tout s’effondre et le moindre faux mouvement et c’est le drame.Puis vint mon tour. Impossible de plier la jambe la partie s’annonce atroce pour le moral comme pour le corps. D’une part je suis trop lourd et la pierre se derobe. D’autre part je suis obliger de passer. Ainsi je m’improvise une ascension digne à la MI 2 en jouant sur mon poids et en le deportant un maximum a chaque prise. Je monte mais l’ascension est penible. Le sol se derobe à peine je m’accroche je glisse. Rester calme est le maitre d’ordre et je m’y exécute. J’avale les metres et le groupe déjà au sommet retient sa respiration. Puis enfin j’arrive sur la piste et c’est Bichon qui me tend les mains pour me hisser hors de « merdier » glissant qui aurait put etre synonyme de game over pour nous tous.
Apres ces émotions on arrive enfin en haut du col. La mine et son village sont encore à plus six kilometres de nous. Et de là on décide de ne plus se fier au guide et de faire à notre sauce. On avant pour se trouver une zone de bivouac et on se repose en pansant nos blessures. Nos pieds sont echymosé et coupés mais on est heureux d’être là.

mardi 18 mai 2010

La cote oubliée day 2




Et le lendemain apres une bonne nuit de sommeil nous voici de retour sur les plages et les galets. Toujours en direction du sud on suit le littoral ou le decors change du tout ou rien à la moindre Anse. D’une plage de sable succéde des falaises aux rochers coupants et glissant auquels la veilles j’ai eut droit à ma glissade improvisé. Mais ce n’est pas tout le paysage nous offre aussi ces plages de sables blanc digne des plus plage d’Ouvea. A chaque instant le decor est plus qu’onirique. Mais apres plus d’une heure de marche et quelques rencontres anxiogénes (requin pointe noire coincé dans une piscine naturelle par la marée basse) on a devant nous les deux bras de rivieres de la Nii. Le premier se franchis avec l’eau jusqu’au mollet mais le second est bien plus profond et la distance à couvrir est de plus de cinquante metres. De plus Bichon a remarqué au niveau de l’embochure deux ailerons arrondis. Signe distinctif des requins bouledog. Maisau moment du gonflage du bateau deux pecheurs nous offrent gratuitement leurs aide pour la traverser. Ce sont deux caldoches responsable de la mine de Ouiné situé à plus de trente kilometres à vol d’oiseau. Ils sont ici pour la peche et avec notre barda ils nous offrent la traversé. Les pieds au sec pour un instant on traversé sans encombre la premiere difficulté de la journée. Mais la route est encore longue et le platier se dévoile avec la marée laissant les patates à fleur d’eau tout comme le corail qui nous offre des visions hors normes. Et au fur et à mesure de notre marche le fond marin se revele à nous avec des benitier de taille colossale enchasser dans le platier mais aussi des surprises qui mettent tout nos sens en eveils. La platier est un nid à murenes. Et la traversé se fait avec beaucoup d’attention. Meme si c’est derniere qui ont peur de nous leurs rapidité mettent nos sens en eveils. Car à chacun de pas ce sont les crabes qui s’écartent mais quand l’eau file devant nous on se refugie sur les hauteurs des patates. Et Elo et Christelle ont eut droit à la peur de la journée avec une muréne de plus de un metre trente qui s’est faufillé entre elle à à peine quelques centimetres de leurs mollets. Plus de peur que de mal mais c’est le jeu de la randonné. Et au loin l’ilot Porc Epic se déssine mais pour nous c’est le moment de la pause sur une petite plage perdu entre les roches.

On se repose on soigne les blessures de la matinée et on verifie la carte. Il est deux heures de l’apres midi. Le soleil se couche vers dix sept heures et la marée commence à remonter. On a trois heures pour arriver sur l’ilot. Surtout que là pas moyen de ralentir le pas. Car à notre gauche c’est l’océan et à notre droite un falaise donc aucune zone de bivouac. Si on veut être au sec il faut arriver le plus rapidement à la presque ile. Et c’est ce qu’on fait on enchaine les Anses et les pointes pour arriver sur les coups de dix sept heures au pieds de l’ilot et on profite du peu de lumière qui nous reste pour avancer et essayer de rejoindre la Kwakea. Mais pour y acceder nous avons des bras de rivieres à traverser et gonfler le bateau à cette heure ci c’est peine perdu. Mais bon grace à Elo qui c’est lancé le cœur au vent on a put remarquer que Bichon et moi-même on avait pied et que l’eau arriver au niveau de nos pectoraux. Les filles ont ainsi traverser ce bras de riviere à la nage et Bichon et moi-même avons fait la navette avec les sacs sur la tete. Puis ce fut au tour de passer la Kwakea.


Et là perdu sur notre banc de sable on avait la nuit qui tombé et aussi la marée qui remontait à vitesse grand V. En moins de deux on a gonfler le canot et relier à une corde. Bichon c’est aventurer le premier avec son barda de l’autre coté. Une bobine de corde avec lui. Une fois sur le rivage la passerelle était operationnel. En ramenant la corde je faisais revenir le bateau et les filles ont ainsi put traverser au sec la riviere. Un système de cordage basique mais efficace pour garder les affaires au sec tout en se la jouant safe. Mais voilà, si le trajet de Bichon et Elo c’est passé sans souci Christelle a senti à deux reprises quelque chose taper le canot. Pour Cécile aucun souci. Mais bon ca faisait déjà plus de vingt minutes qu’on s’amusait à tirer le bateau et la marée était déjà haute avec une nuit noire. J’étais le dernier à recuperer le barda et au moment de monter sur le bateau quelque chose de rapeux, de rapide et de vif m’a taper sur le mollet gauche et m’a désquilibrer. J’arrive à me maintenir et à me ressassir. Je balance le sac dans le bateau et je sors le Koupkoup de Bichon et je scrute autour de moi. Mouvement totalement inutile, mais je me ferais pas avoir deux fois. Surtout que à cette heure ci la vie sauvage se reveil et avec la marée les requins sont aux aboits. Et moi j’ai pas envie de perdre une jambe. Neanmoins je rejoins l’autre rive entier en preconisant que ce soir la douche dans la riviere on oublie. Apres toutes ces émotion c’est sous les cocotiers et les palmiers qu’on monte le camp. Un grand feu illumine la cote c’est le notre. On se remet de la journée on se restaure et on se prepare à la prochaine journée. Rejoindre la Mereka, passez le col du téléphone et atteindre la mine de Ouiné. Et selon le guide il y en a pour huit heures de marche et au moins dix sept kilometres. Mais là le doute s’installe car on marche depuis une journée et demi et on l’impression d’avoir fait au moins vingt kilometres. Bref on commence à douter sur les chiffres. Mais on garde le moral et sous une nuit assez froide on se prepare à notre troisieme jour. Avec comme mission trouver de l’eau.

lundi 17 mai 2010

cote oubliée first day


Alors, après plus d’un an de silence voici que le projet forgotten one refait surface. Un week end de quatre jours se profile à l’horizon. Si on pose un jour de congés on atteint le chiffre cinq. De quoi permettre à cinq jeunes et fougueux aventuriers de prendre la piste de la cote oubliée. Mais qu’est ce donc que cette coté oubliée ? C’est une portion du littoral du sud est de la Calédonie qui est resté dans son statut le plus sauvage qui existe. Plus de soixante kilomètres de cotes (à vol d’oiseau) oublié par l’homme. De la plage des platiers et des falaises qui n’ont pas bougé depuis la création. Et pour y accéder à cette Eden hors du temps il faut partir de Thio. Plus précisément de Petit Borendi et suivre le contour des terres qui se jettent dans l’océan. Notre but est de rallier en cinq jours Petit Borendi à Ouinia en moins de cinq jours. Donc d’avaler les soixante kilometres « theorique » qui composent cette « ballade » eprouvante voire ereintente.
C’est ainsi que par un faible soleil du jeudi 13 mai cinq aventurier des temps modernes ont pris la piste. Dans ce groupe pas de leader hormis la bonne humeur et le « chaud patate » qui résonnent dans nos cœurs et dans nos voix. Cette magnifique team ne vous est point inconnue elle se compose de : Cécile notre aventurière casse cou experte en sport de glisse et amoureuse de la poudreuse. De Elo notre rayon de soleil pendant toute cette aventure. De Christelle la voix de la raison. De notre cher Sir Bichon alias Edouard mon acolyte et non alcoolique de plan foireux. Et moi-même en tant que défenseur de la root attitude hippie des année 2000 nouméenne.
Bref ce joli petit groupe est partie pour une des plus belle aventure qu’il puisse exister. Notre barda étant fait on vérifie le matos qui se compose grosso modo de deux tentes, d’un canot pneumatique, d’un pompe, d’un téléphone satellite, d’une trousse de soins adapté pour le parcours, de cordes, de provisions diverse et variés(qui a dit du riz ?) et de tout ce qui convient pour survivre en milieux hostile. Ce qui au final nous a donné une intendance en mettant aussi nos affaire perso d’une valeur de 95 kilos. Il y a pas à dire on a fait fort. Donc repartissions dans les sacs et nous voilà fin prêt pour le départ.
Ainsi après deux heures de routes Julien et Amélie nous lâchent sur le rivage ou nous attend notre passeur. Ne me demandez pas son nom, je ne l’ai jamais compris. Mais ce cher monsieur travail pour le camping de Petit Borendi et il nous fait traverser le premiers bras de rivière. Car bon on n’est pas feignant mais la ballade commence à Petit Borendi et non pas à Grand Borendi situé quinze kilomètres plus haut.
Donc nous voilà tous les cinq sur le départ.
Et c’est à midi que c’est offert face à nous l’ensemble de la cote à traversé. Un but être à Ouina avant lundi soir. Donc sans attendre on est parti sans regarder derriere nous. A peine lancé les premiers metres défilent et le premier obstacle apparait avec un bras de riviere qu’on traverse sans plus tarder. C’est marée basse donc la profondeur nous permet de passer sans encombre. Enfin si on choisit le bon chemin car dixit Cécile « les mecs sont con » et là elle n’avait pas tord car à peine lancé Bichon et moi-même étions partis comme des fiers vikings à traverser la rivière avec de l’eau jusqu’à la taille. Alors que les filles avaient trouvé le passage magique sur une langue de sable. Soit on était trop chaud patate comme dirait certains. Mais une fois de l’autre coté l’étendu d’une foret vierge s’offre à nous. Un littoral on sera seul coupé de tout tel des naufrages en recherche de civilisations.

Ainsi le premier jour se déroule sans accroc on avance à travers le platier et les plages pour rejoindre notre premier lieu de bivouac. A quelques kilometres de la Nii on se pose et on regarde la marée montée et reprendre ces droits. Un brin de toilettes s’impose et on fête dignement ce premier jour avec un petit aperitf tout à fait justifier. Une bouteille de champagne dédié à cette aventure. Premier jour à jouer les oubliés. Premier jour à redecouvrir une nature sauvage ou l’activité humaine est inexistante. On est là au milieux des bananiers, cocotiers palmiers et autres fougéres tels des survivants dans un monde tout droit sortis de Jurassique Park ou du continent oubliés. Cinq aventuriers qui prennent plaisir à découvrir cette zone méconnus du public. Ainsi apres ces premiers dix kilometres dans le sable l’eau le platier et les rochers on s’octroit ce repos bien merité avant de partir à l’assaut de la riviere Nii et des grand platiers qui la sépare de la baie de Porc epic et de Kwakéa.

mercredi 5 mai 2010

Free ride in April




Nous y voilà, le moi d’avril l’été approche de la fin et l’hiver ne va pas tarder à faire son apparition. Mais je ne suis point là pour vous parler de la météo calédonienne. Donc depuis le mois de Mars quoi de neuf ? Et bien rien de spécial, je continue mon petit bonhomme de chemin à travers des détours et des lieux de perditions. Je ne suis pas en phase mais je ne vais pas le rebacher dans ces lignes.
Alors que retenir de ces quelques semaines ? Et bien tout d’abord l’anniversaire de Messire Bichon. Une petit week end dans le sud à faire les zouaves comme il faut. Du 4x4 de la descente mais aussi des sauts tout aussi délire dans la rivière avoisinante. Pour le week end je n’ai que mes photos mais j’espère récupérer d’ici là celle de Cécile. En attendant vous pourrez admirez la descente de Bichon sur son destrier mécanique. Il brave l’ensemble de la terre rouge pour une descente dantesque dans le paysage calédonien.

Un petit week end reposant et surtout déconnecté de l’agitation de Nouméa. Ca m’a permis de me retrouver avec toute la bande de Trianon. Car le dernier week end qu’on avait passé ensemble remonté à pâques de l’année dernière. Et là rebelote on se retrouve tous ensemble posé à profiter du temps qui passe.

En plus de ce week end il y a pas eut grand-chose sur la calédo. J’ai repris la piste des studios de façons plus assidus. Je peux enfin dire que Noisy Tribe is born. Un petit projet musical juste pour faire du studio. On est deux Seb et moi à faire les zouaves sur les consoles pour réussir à faire des choses uniques. On laisse courir notre imagination et ca donne ce petit son atypique qui se promène entre rock indus emo core et infusion. Malheureusement le tout est entièrement musical. Je dis malheureusement mais ce n’est pas le mot exact. Car musicalement nos deux morceaux qui sont Heart et Flux nous plaisent mais l’ajout d’une voix donnerait une toute autre dimension. Mais cette dernière doit être spécifique presque électro. Mais voilà j’ai pas encore les compétences pour remixer des voix et j’ai pas trouvé de personnes qui a le timbre que je recherche. Suis-je trop exigent ? Je ne sais pas trop. Mais la suite au prochain episode comme on dit si bien.

samedi 24 avril 2010

Lostrpophets : The Betrayed


Sorti fin janvier ce quatrième effort de nos gallois est tout bonnement excellent. Oui avec cet opus on tutoie les dieux et nous retrouvons les Lostprophets de Start Something. L’album est une usine à single et à tube. Tous les ingrédients sont là pour nous mené dans des sphères cosmiques. Déjà le premier single Where we Belong transpire de cette ambiance rock propre au quintet et là voix de Ian Watkins nous transportent dans leurs mondes. Et il y a rien à redire on est loin de Liberation Transmission. Ici on a droit à nos gallois qui nous avez livré il y a sept ans des morceaux plein d’énergie comme le célèbre last train home.

Alors aujourd’hui que nous offrent ils de nouveau ? Je dirais une ambiance à la croisé d’un renouveau emo pop rock. Et on le sens avec le nouveau single is not the end of the world but I can see from here. Et là tout est dit mais non qu’est ce que nous racontons car la suite est là avec des riffs bien travaillé et des ambiances unique. Le titre Sunshine est une image de tout ce que je vous raconte. Il est là, et nous fait réaliser à quel point que cet album est celui de la maturité du groupe tout comme les titres finaux qui sont Darkest Blue et The light that burns twice as bright.

Et oui je condense et j’évite de m’attarder car il y aurait tant de choses à dire que j’éviterais de m’emporter sur cet album qui est plus qu’un coup de cœur et qui pour le moment est la meilleur révélation de l’année. Les gallois sont toujours là et ca fait plaisir. Reste plus qu’à prendre rendez vous avec eux pour les attrapez sur une scène proche d’ici.

dimanche 18 avril 2010

Nouvelles


Salinger n’est pas mort. Certes il nous a quitté le moi dernier. Mais ces écrits sont toujours là. Et c’est avec un autre regard que je les découvre. A l’époque j’avais 17 ans, aujourd’hui dix de plus. Alors quoi de neuf dans ces différentes nouvelles. Une autre vision et une autre façon de les abordés. Ce n’est plus l’adolescent qui découvre la folie et les peurs de la jeunesse américaine des années cinquante. Mais un adulte qui cherche à garder un semblant d’enfance. Et ce recueil de nouvelles fait son effet. A travers ces écrits on découvre un monde, notre monde celui qu’on espère sera peut être un jour le notre. Mais voilà la relecture apporte un regard d’ensemble et on surplombe alors le temps qui c’est écoulé entre ces deux lectures. Mais voilà je ne vais pas m’avancer dans une étude complète du recueil et ma vision du livre.
Mais ce recueil apporte quelque chose pour tout ceux qui sont à la recherche d’un idéal. Perdre son insouciance, son inconscience et son insolence c’est normal c’est la sagesse et le recul d’une vie qui prend place et c’est à travers ces nouvelles et les interactions entre les différents personnages qu’on prend contact de l’ampleur que sont ces nouvelles. On y découvre des histoires dans l’histoire mais aussi on ne se place plus selon le regard du ou des héros mais des personnages qui constituent sont entourage. Et là oui à ce moment là la magie prend on et se retrouve dans le filet. On a envie de suivre le héros mais par expérience on sait ou cela va dérouter et on se dit mais écoute on l’a tous vécu. Mais les paroles sont vaines car l’inconscience et présente et c’est là que la jeunesse prend son ampleur. On doit se faire nos propres cicatrices pour avancer et mettre un pied devant l’autre l’auteur. Ces écrits sont l’apanage d’une vision totalement folle qu’est la vie.

Mars and Love Hurts


Retour dans le néo ou nu métal, enfin dans cette période avec le premier single du futur album des Deftones. Son nom Rockets Skate et en voici un extrait : «
You’re red soaking wet
I’m right next to you
You arrive soaking wet
Let’s sail in this sea of charms”
Et oui du Deftones comme on aime. Et ce premier extrait m’a rassuré au plus haut point. Cependant je ne vais pas m’attarder sur ce seul titre et je reviendrais dés le moi de mai avec la chronique de Diamond Eyes le septieme essais sonore du quintet de Scramento. Malheureusement Chi Cheng est toujours dans le coma. Et son absence s’en ressent, mais le groupe avait raison d’avancer pour lui prouver qu’il existe toujours. God bless Chi !!!

Mais l’experience musicale ne reste pas là. A la fin de ce numéro vous trouverez un article dédié à Incubus donc je ne vais pas m’attardez ici à leurs cas et passé directement au Foo Fighters de Dave Grohl. Apres les deftones et leur son atypique et leur ambiance si planante voici les Foo Fighters et leurs sens de la répartis. Et oui c’est un voyage en plein dans l’époque Rock sound. Le vrai son made in USA teenagers.
Et je continue avec Lostprophets et leur dernier effort sorti début Janvier. Eux aussi ils m’auront surpris avec un son plus émo et plus rock. C’est dark à souhait mais la puissance et là avec des titres comme Dystir and Dystir. Mais bon je reviendrais dessus plus longuement une prochaine fois. Car là je suis toujours dans ma cure de Scrubs après la rechute du moi dernier je me réenfile les saisons à une vitesse célestocosmique. J’approche de la neuvième et je suis toujours complètement accroc à la vie de JD. Un imaginaire fou et une vie folle. J’avoue c’est là que je me plonge pour me couper de la réalité tout comme le cycle de l’épée de vérité. Apres une abstinence de plus de cinq mois j’ai enfin reçut mes tomes et c’est avec passion que j’ai repris la route au cotés de Richard, Kahlan et Cara.

Mais je vous vois venir mais le reste dans la vie. Tu as fait quoi durant tout ce moi ? Tu vas pas nous dire que tu ais resté dans ton monde comme un autiste. Dire le contraire serait mentir et oui je suis resté dans un monde qui me rassure. J’ai peur de ce qui arrive et ma vie professionnelle meme passionnante me pése. J’ai l’impression de ne pas avoir les épaules assez large avec ce qui se presente. Et du coté émotionelle comme personnel c’est le fiasco total. Je sais pas ce que j’ai mais j’ai l’impression que je suis en train de passé un cap et que là c’est à moi de choisir ce que je veux faire. Mais je n’y arrive pas. J’ai beau me poser et y reflechir mais rien ne se passe je n’ai point de déclic et là j’ai peur car je sais que je n’y arriverais pas. Je le vois et je le ressens lors des réunions de chantier ou des soirées de presentation de produits par mes differents fournisseurs. J’ai envie que d’une seule chose, c’est partir loin. Mais ou ? Bref je suis totalement perdu et ca dure depuis un bon moment et aujourd’hui ca me pèse. Je n’ai rien qui me pousse à bouger comme à rester. Mais ou est donc passé cette motivation qui m’était propre ou est donc cette folie qui me caractérise. Je rassure ce n’est point un appel au secours. Mais j’ai l’impression que la fin du monde approche. Enfin la fin de quelque chose. Mais je dois me réveiller trouver ce manque, trouver ce qui me sortira de mon état végétatif. Et je ne cache pas que l’appel des routes résonne toujours au fond de moi avec ce dossier qui dort sur ma table nommé driving aroud. Driving around un projet qui faudrait peut être que je réalise…

Halo Legends


La série videoludique phare de microsoft et de bungie revient non pas sous un nouveau jeu mais sous forme d’un dvd recueils de neuf épisodes animés par les meilleurs studios nippons. Halo Legends est le titre de cette galette qui prend place dans l’univers si peu connu de notre cher masterchief. Ainsi on va découvrir l’histoire de l’arbiter mais aussi celle des forunners et la création des Halos pour contrer l’expansion des parasites ou flood.

Alors ensemble plongeons dans le monde des spartans ces etre humains génétiquement modifié et fierté de la nation humaine face à la menace covenante. Il faut savoir que chaque épisode à été dirigé et réalisé par des studios differents. Et ceci ce remarque par les mises en scène mais aussi par les soins apporté à l’ensemble. L’épisode Duel réalisé par IG production apporte une autre vision à l’œuvre. Déjà par sa mise en scène le grain pour troublé l’image mais aussi un point sur quelque chose qui nous est inconnue tels que le passé de l’Arbiter.

Cette série apporte certaines réponses au monde de Halo mais aussi clarifie les rapports entres les personnages et leurs rôles dans cette guerre sans fin.

mercredi 10 mars 2010

Nouvelles sous esctasy


Envie de continuer mon attrait à l’autodestruction j’ai plongé comme il faut dans ce receuil de nouvelles totalement anxiogéne dans son approche de la vie. Ah l’appel de la drogue et de la destruction pure et simple de sa propre vie. C’est une chose que Frederic Beigbeder met royalement en page dans son style propre. Pour ma part je suis fan de ce style. Un style me correspond. Mais bon venons à ce petit recueil qui a pour fil rouge cette petite pilule qui nous rend heureux. Non pas le viagra mais l’esctasy.
Ces nouvelles ne sont point une propagande pour la drogue, mais un résultat de son effet dans les themes abordé par l’auteur. Ces écrits sont l’apanage d’une vision totalement folle qu’est la vie. Et là on découvre pleinenement le sex drugs rock’n roll. Car certaines nouvelles sont plus que osé et on en redemande. Voir enfin lire la vie qui nous coule entre les doigts et la mener là ou on veut. C’est tout bonnement génial tout comme l’interprétation de certains drames. Frederic ne nous cache rien et il se livre dans un état brut qui nous rend dépendant à sa prose et à son univers. Nous poussant même à réfléchir à ce qu’ont fait de notre vie. Bref l’incarnation de la Moody attitude.

jeudi 4 mars 2010

SOHO DOLLS : RIBBED MUSIC FOR A NUMB GENERATION


Allez parlons de rock anglais. Parlons de la vrai scène indé de nos amis londonien. Et oui la capitale du bon rock n’roll est toujours là. Et dans ces bas quartiers sont nés les Soho Dolls. Un étrange métissage mélange ou alchimie entre la musique cabaret le rock indé des années soixante dix et l’éléctro made in french touch. Oui et je sais de quoi je parle. Donc dans un studio vous mélangez tous çà vous mettez une joli demoiselle qui à la voix cristalline et vous obtenez la révélation rock des années 2007 2008. Et moi c’est avec plus de deux ans de retard que je l’ai découvre sur le titre Stripper.
Donc de quoi parlons-nous d’un rock assaisonné avec tout ce qui passe dans nos têtes et qui nous offrent des titres puissant et entrainant. Rien qu’en écrivant ces phrases j’ai dans la platine les titres Bang bang bang bang, prince Harry et Weekender qui se succèdent dans mes tympans. Quand je parle de titre entrainant je vous sommes d’écouter au moins weekender qui est à lui seul un petit bijou de réalisation. Des guitares qui hurlent. Une basse lourde à souhait et un chant. Mais un chant qui n’est comparable que la par la beauté de Maya von Doll. Et oui vous serez surpris par la demoiselle surtout sur le clip Stripper. Mais là je m’arrête et je vous laisse découvrir tout cela.

Mais pour revenir à ce petit bijou made in London. Je ne dirais qu’une seule chose : A ECOUTER D’URGENCE ». Vous serez conquis dés la premier écoute. Et vous direz qu’une seule chose à quand le second opus ? Quand est ce qu’ils passent prés de chez moi. Maya elle ne cherche pas un boyfriend ou une girlfriend ?

Week end pirates


A bord du Pussyfer je vogue sur les océans. Mon pavillon flotte et menace les innocents. Moi Squek coup’têt je charrie les âmes pour le Styx. Charon me suit dans mon sillage et mes boucaniers en sont le bras armés. A la tête de mon ost Bich l’extravagant, enfants des bas quartiers de Londres qui a sut acquérir le pied marin. Aujourd’hui il manœuvre le navire amiral sur les mers du Sud. Tout comme mes deux Succubes, mes fléaux aux charmes indécents, mes fidèles lieutenants Funeral Rose et Skulls Dodie. Nous quatre nous somme l’incarnation de la piraterie et le sound Skull et notre bannière.
En cette pleine lune j’ai recruté plus de cinquante six hommes et femmes pour partir explorer la perfide Death Queen Island. Jadis dans son lagon c’est échoué le fier navire de Cortez, un amiral espagnol qui revenait des nouvelles indes avec moult richesse. Et sur la pointe du Killer, cette zone corallienne il c’est échoué. Lui et son équipage ont péri lors de ce tragique ou son fier galion fierté de la couronne d’Espagne c’est écrasé face au rocher. Mais aujourd’hui son trésor m’est destiné. Et pour cela mon éminence grise Capt’ain Bich c’est assuré que les plus terribles les plus sanguinaires et plus mesquins pirates qui compose mon équipage me rejoigne pour cette ultime chasse au trésor. Aujourd’hui Sound Skull claquera au vent pour une dernière fois.
Pour éviter toutes trahisons de la part de mes flibustiers, le haut commandement à séparé les éléments les perfides. Ceux qui peuvent mener une mutinerie se sont vus séparé. Face a un tel enjeux je ne voudrais voir ma flotte se retourner contre moi. C’est ainsi que mes détrousseurs d’océan se sont réparti en plusieurs chaloupes de combats. Les Dark Skulls de Bichettes, des hommes et des femmes aux dents acérées et à la gâchette facile. Les Bleached Bones de Marie Madelaine, des bandits sans foi ni loi auquel même mes ordres ont du mal à être écouté. Les Evil Suns de Mathilde Karpoff, des flibustiers prêt à tout pour obtenir leurs du. Les Bad Moons d’Adrien Cheype, les fossoyeurs espagnols la quête du combat n’a pas de limites. Les Purple Sea de Evil Cairns des boucaniers sans morales et sans attaches. Et les Fang Shark de Squal, qui tapis dans l’ombre sont à prêt à bondir et à vous jeter par-dessus bords.

Et c’est ainsi qu’ils sont partis durant plus de sept jours à la recherche de ce coffre tant convoité. Et par la même occasion cela m’a permis de sélectionner les meilleurs. Le parcours fut long et laborieux et fidèle à eux même les différents membres d’équipage se sont lancé dans leurs activités préféré… La convoitise du bien d’autrui. Et ceci ne sait point fait attendre. Apres le débarquement des dernières chaloupes et les distributions des victuailles. Certains marins se sont lancés à l’aventure. Des coups bas furent lancés et des équipes misent à défaut dés la première journée. Certaines d’entre elle ont eut droit à saccage dans les règles de l’art de l’ensemble de leur matériel. Les carte de l’ile ultime convoitise furent dérobées par certains capitaines et détruite par la suite. J’étais fier de voir mes pouilleux s’entre déchirer. Seule la loi du plus fort compte et les mots sont portés au silence face à l’acier sanguinolent des lames.
Néanmoins rien n’a entravé leurs soifs de découverte et d’aventures. Les six équipages sont partis affrontés les grand dangers de Death Queens Islands. Ils ont du bravé l’esprit torturé de Bich l’extravagant dans des épreuves d’orientation ou les sens étaient non pas mis en alerte mais mis en défaut par la boisson des marins. Ils ont du faire fonctionner leurs matières grises. Chose qu’ils n’utilisent pas beaucoup face aux énigmes de mon fidèle Lieutenant Skulls Dodie. Ils ont du continuer leurs périples et plonger leurs têtes dans des mixtures autochtones face au regard impitoyable de Funerals Rose. Et enfin répondre aux questions mystères de la planche de bois ou chaque mauvaise réponse mettaient un membre de l’équipage hors jeux.
Mais ce ne fut point tout. Un match d’abordage ou les équipes se sont affrontées dans un combat violent ou tous les coups étaient permis.
Ce n’est qu’âpres l’affrontement des champions des six équipes que la chasse fut réellement ouverte. Les six équipages se sont affrontés sur les pas de Long John Silver dans une grande course de relais. Course à pieds, natation, course de siamois, rampage et au final découverte du trésor.
Et je suis fier des Black Skulls qui ont réussi à mener le combat et à revenir avec la clé du coffre. Suite à cette découverte ce fut ripaille et festoyage durant toute la nuit sous le regard complice d’une full moon night.

vendredi 5 février 2010

Yellowcard : Lights and Sounds


Crise d’adolescence en retard… Maybe et là je ressors tous mes vieux CDs, enfin celui vient à peine de fêter ces quatre ans et coïncide avec mes envies de tout envoyer en l’air. Avec ma période je m’enferme dans un monde connu de moi-même. Bref comme d’hab janvier rime avec ces rêves qu’on veut toucher et cet album était là pour çà. Le jour de sa sortie il était dans la platine et je partais avec l’introduction musicale three flights up. C’est déconcertant pour un groupe pop punk mais ca introduit comme il se doit un album pleins de couleurs. Car le titre suivant n’est d’autre que le puissant lights and sounds. Et là la magie qui nous avez happé nous garde et on part avec ce cinquiéme album dans l’univers déchainé des quatres môme de Jaksonville.
Ce metissage dans leur approche du punk nous donne envie de jumper. Les titres se succédent et nous on rete là avec ces images qui défilent au fond de notre tête. Le son Yellowcard est unique dans la scéne punk americaine. Et leurs talents scénique n’en ait point en reste. Des titres comme Two Weeks from Twenty ou Space travel ne nous laisse point indifférent. Des ballades langoureuses et attachantes.
Certes on remonte le temps avec des albums de cet acabit. Mais ils sont là et ils restent aujourd’hui des éléments majeur dans une scène punk qui c’est malheureusement essoufflé. Mais en attendant un sixième album qui se fait plus que désiré nous devons replonger dans leurs discographie plus que bien remplit avec un album d’anthologie Ocean Avenue. Mais restons sur Lights sounds et profitions de cette ambiance si teinté de couleurs et de riffs à nous donner envie de prendre la route.

dimanche 10 janvier 2010

L'attrape coeurs


L’attrape cœur le roman polémique de J.D Salinger, dans lequel j’ai replongé le temps d’un week end pluvieux. Ainsi je suis reparti au coté de Holden Caulfield dans la douce ivresse de l’art du tout envoyer en l’air et de regarder un monde qui fascine et qui fait peur.
Et ici ce n’est pas le syndrome de Peter Pan qui est mis en avant mais tout autre chose. Celui de la folie, celle qui est douce et amère. Celle qu’on découvre quand il est temps de prendre sa vie entre ces mains. Et tout cela est mis en place dés les premières lignes. Car on n’entre pas dans un simple roman mais dans une multitude de nouvelles qui ouvre sur des perspectives trouble et parfois malsaine. Holden n’a que dix sept ans quand il décide de quitter ce monde qu’il a toujours connus pour découvrir ce qu’il y a de l’autre coté du miroir de son miroir qui plus est. Et de là il parcourt non pas sa vie mais un instant présent et qui lui permettra peut être de réaliser ce qu’il est et ce qu’il veut. Et pour cela il a besoin de cette errance dans ce New York atypique. De plus je m’en excuse par avance pour les éléments qui vont suivre qui pourrait peut être révéler la suite de l’histoire. Car l’attrape cœur n’est pas un simple roman. Tout son ensemble en fond une œuvre unique. Son style, son approche, son anti héros et ce monde connus. De plus certains passages peuvent nous interpeller comme celui de la boite de nuit ou encore du musée. C’est dans ces lieux qu’il réalise que lui va changer et non son environnement. Et la prise de conscience est bien plus violente. Car en croyant c’être réfugié dans un lieu intemporel il remarque qu’il est un intrus. Un intrus pour ce monde de dehors et pour ce monde là. Et ainsi il réalise que la seule chose qu’il attend c’est la chute. Une chute qu’il recherche mais dont il essaye d’éviter avant d’avant accomplis certaines choses. Comme retrouver sa petite sœur celle avec qui il a put se confier. Et c’est dans ces pages qu’on comprend le titre de l’attrape cœur.

Un livre fort, symbole de toute une génération, et en même temps il se passe de mains en mains. Car nous somme tous un jour ou l’autre comme Holden. Et c’est à nous de trouver les réponses. Mais celle-ci sont parfois douloureuse à écouter comme à voir. Mais réaliser c’est déjà à avoir fait le premier pas. Reste à nous de choisir notre chute, ainsi la boucle sera close…

mercredi 6 janvier 2010

2010 névrosé


Nous y voilà 2010, l’an 2000 est maintenant loin et entérré. Et la vie suit son cours. Bref que quoi vous donnez envie de sortir de foutu plumard. Bon je ne vous cache pas que par moment j’ai le réveil difficile. Non pas car la fête bat son plein. Et oui je suis à des années lumières de çà. Non ce n’est même pas la flemme car le travail me plait. Non c’est juste tout ce qui a autour qui me dérange. Je recherche ma place comme toujours. Une envie de me poser et de bouger à la fois. Une envie de construire et de tout détruire. Je ne sais pas si je m’emporte dans une tourbillon d’autodestruction psychologique mais des fois je me demande si ma tête n’aurait pas un bug. Blasé, frustré je ne saurais dire. Mais bon c’est peut être des contre coups mais je vais pas faire cette rubrique un ode à la Moody attitude qui consiste à s’envoyer en l’air dans tous les sens du termes. Alors oui 2010 est là et ce premier week end je l’ai passé solo. Envie de voir personne. Fou n’est ce pas, pour le réveillions à minuit et demi je quittais la soirée pour errer dans Nouméa. Il m’a fallut quelques jours pour savoir ce qui c’était passé ce soir là. Je suis parti et au lieu de rentrer directement chez moi j’ai flâner le long des baies. Bref pas l’humeur à faire la fête. Et le week end qui a suivit j’ai préférer le passé dans le petit studio d’enregistrement du faubourg. Une batterie, une gratte, une basse, mon pc, deux samplers, du bidouillage, des heures à composer à modifier, Seb et moi. Ce qui au final donne une illustration sonore de ce qui se passe dans mon crâne. Pour le moment c’est purement musical, et à l’heure où j’écris ces lignes je n’ai point finis les arrangements. Et oui sur ce point là je suis méticuleux. J’ai envie de donner ce qui se passe dans mes tripes dans ces minutes d’enfer sonores. Et c’est là ou je cite Seb : « la passion du névrosé de JR n’a de limite que la résistance de ces phalanges. » Vous l’aurez compris. Et ceci ce fut dans la nuit de lundi à mardi sur un enregistrement et sur un son que je voulais je me suis explosé les phalanges de ma main gauche. Et oui névrosé jusqu’au bout des doigts.

lundi 4 janvier 2010

Dragon Age Origins


Allez on fait une part à la nolife attitude avec Dragon Age Origins, le dernier bébé de Bioware et de l’équipe des célébres Baldur’s Gate et autre Neverwinternights. Bon j’annonce la couleur (ok elle est rouge) mais voilà c’est le jeu addiction totale. Normalement plus de 15O heures de quêtes et d’aventure dans ce nouveau monde.
Pour cette aventure au revoir l’ambiance des Forgotten Realms. Car Bioware n’a point renouveler la liscence avec le monde de Dungeons and Dragons. Mais presente ici un monde issue directement de son équipe. Bon je rassure on retrouve l’ambiance propre aux jeux sortis sur PC il y a plus de dix ans. Néanmoins la liberté d’action et de création a été plus que bridé. Donc avant de parler de Dragon Age comme il se doit je vais vite faire part de mes déceptions par rapport à mes expériences passées sur ces ainés.
Donc on commence par la création de perso qui est limité à trois races et trois classes. Et oui on a le choix entre humain, elfes et nain et au point de vue carrière guerrier, mage et voleur. Alors que sur les anciens opus on pouvait incarner, des demi elfes, demi orques, des gnomes et qu’on pouvait devenir des rodeurs, des enchanteurs des nécromanciens. Bref on avait le choix sans parler du choix du caractère avec les alignements qui là on malheureusement et simplement disparut. Tout comme la liberté de faire ce qu’on voulait. On avait un univers bac à sable ou sur un coup de tête on pouvait tuer tous les habitants d’une ville ou alors détrousser tous les commerces. Aujourd’hui c’est fini et c’est dommage, j’aimais bien quand ma tête était mise à prix. Mais bon le passé c’est le passé. Place aujourd’hui à Dragon Age.


Donc retour à ce jeu stylé et à son intrigue. Il faut savoir que chaque race et chaque classe a sa propre introduction et que nos choix dés le début du jeu influence grandement notre évolution. Alors nous somme sur les terres de Ferelden ou un mal puissant se reveil sous le nom de l’enclin. Ce mal a déjà été vaincu par le passé, mais cette fois ci il revient et ces hordes d’engences se déversent sur les differents royaumes de Ferelden. Les engences sont des monstres humanoides au joug de l’archi démon. Pour les combattre un ordre de combattant a été créé. Il s’agit des gardes des ombres. Des hommes et des femmes de tous peuples et de toutes classes luttant contre la propagation de ce mal. Pour cela ils ont à leur disposition les différentes armée des royaumes. Malheureusement un tel pouvoir fait peur. Et l’ordre aujourd’hui est traqué. Et nous sommes les derniers survivants et nous allons devoir nous battre contre l’enclin et sauvé ce monde qui nous a rejeté et trahis.
Voilà pour la minute historique. Le jeu en lui-même est bien plus profond. Car on découvre les peurs de ces habitants mais aussi les complots et trahisons qui se font et défont. Mais en plus de cela on découvre l’histoire des différents peuples et religion qui rendent le monde de Ferelden vivant. Car sur ce point là les devellopeurs ont mis la barre bien haut car en plus de la quête principale nous avons des multitude d’aventures qui nous plonge dans la noirceur de Ferelden.