jeudi 25 juin 2009

La premiere leçon du sorcier


Avec ce premier tome Terry Goodkind révolutionne l’heroic Fantasy. Il nous dévoile une autre approche dans le domaine, et nous tombons sous le charme.

Richard Cypher n’est qu’un simple garde forestier dans la foret de Hartland. Mais sa rencontre avec Kahlan va chambouler sa vie. Cette étrange femme vient des contrées du milieu un pays audela de la grande frontière magique. A la recherche du grand sorcier elle c’est aventuré à travers la frontière pour trouver la dernière personne qui pourra nommer le sourcier dernier espoir pour lutter contre le règne despotique de Draken Rhal. Mais de la rencontre entre Richard et Kahlan naitra quelque chose qui rongera le cœur de ces deux êtres.

Premier tome du Cycle de l’épée de Vérité, Terry Goodkind nous entraine dans une aventure épique, haletante, adulte et sensible. On est loin des archétypes de l’heroic fantasy, il révolutionne les codes et en impose de nouveaux. Par moment on sort meme de cette univers. Une prouesse pour un genre qui vit toujours sous l’ombre de Tolkien.
Pour ce cycle, finis les multitudes de personnages et les stéréotypes. On reste dans un cadre restreint et on suit Richard, Kahlan et Zeed dans leurs aventures en quête de verites. Ce premier tome pose les bases du cycle et nous fait découvrir l’humanité de nos personnages avec leurs peurs et leurs espoirs. On découvre une idylle qui va faire battre notre cœur tout au long de ce tome.

Aventure, intrigue, amour, haine, traitrise et amitié sont maitre mot de ce premier tome hors normes.

Vamps : Vamps


Hyde est mort !!! Vive Hyde !!!
Enfin au sens figuré bien sur car si c’était le cas j’aurais fait ma groupie et je l’aurais rejoint au septième ciel.
Donc oui la carrière de Hyde c’est transformé pour devenir Vamps. Toujours avec la complicité de Kaz il nous offre après plus d’un an d’attente un album qui chamboule tout sur son passage. Douze titres qui ont la force d’un bulldozer tuné à coup de nitro made in fast and furious.

Depuis Love addict on attendait de savoir ce qu’aller nous réserver ce duo infernal. Et nos attentes ont été récompensé par un album au son rock bien vintages mais à la puissance des années 2000. Love addict avait mis la barre bien haut tout comme I gotta kick start now. Mais là cette éponyme avec son intro bite et ces titres comme Hunting Deep red ou redrum mettent la barre plus que haut.

On devient fan de la batterie qui s’amuse à nous bercer sur un son punk tout droit sortit du Londres des années 70. Roulement et cymbales à gogo nous entraîne dans la dimension de Vamps. Il n y a rien à dire Kaz nous a composé des morceaux dopé à l’adrénaline. Et ce n’est pas le final qui va nous dire le contraire. Le titre Sex blood Rock n’roll est devenu mon credo. Musicalement parlant c’est le titre de l’album le titre qui invite tout le monde dans la vague rouge qu’est vamps. Trois minutes ou la folie nous entraîne sur les sons des guitares de Hyde et Kaze et avec un refrain qui se martèle au fond de notre crâne pour ne plus jamais en sortir.

Sex Blood Rock n’roll. Et avec ceci vous entraîne de plein fouet dans l’ère vamps. Vivement la tournée pour qu’on puisse redécouvrir sa puissance dans une fosse remonter à bloc.

vendredi 12 juin 2009

Départ


Voilà, à moins de 24 heures du départ je suis prêt. Pour ceux qui on un peu suivit mes dernières aventures calédoniennes. Alors dans l'ordre hier soir j'ai eu droit à un petit passage à l'antenne de Nrj. En compagnie de Roméo l'animateur, Frédérique la miss information de Nrj et de Patrick Flores, Directeur de Quiksilver Calédonie, nous avons débattus sur ce grand voyage qui s'annonce. Pendant une heure ce fut un bon prélude à ce qui va m'attendre pendant 4 mois. Une ambiance bonne enfant, avec que j'avale des kilomètres de pistes pour rejoindre Pékin.

Donc aujourd'hui ce fut les dernier préparatifs et Patrick m'a gracieusement offert des affaires d'hiver pour pouvoir lutter contre le froid qui m'attends dans les Pamirs mais aussi en Mongolie. Un bon blouson doublée d'une polaire et bon gros sweet. Bref de quoi être armée contre toute vagues de froids.

Donc me voilà il est 19h00 je finis ma rédaction de cet ultime billet avant de partir pour la grosse soirée chez Julien et de prendre mon vol pour Tokyo. Je vous donne donc rendez vous ici, pour toutes les dernières nouvelles de ce périple aux couleurs de l'aventure qui n'aurait jamais vu le jour sans le coup de pouce déclencheur de Nrj et Quiksilver.

Sur ce rendez sur les pistes et on the road again !!!

jeudi 4 juin 2009

Poingam week end du premier mai

Retour à ce bon moi de mai avec le pont du premier ou on a pris la direction du Nord de l’extrême nord de l’ile. Trois jours de détente à Poingam et Boat Pass, le deux tribus de l’extrême nord Calédonien. Plus haut ça n’existe pas (hormis Belep mais c’est une ile).

C’est ainsi qu’on démarre le jeudi soir direction Bourail et la baie des tortues pour passer la nuit. Vu qu’il y a grosso modo plus de 400 km pour rejoindre l’extrême nord il est plus raisonnable de partir la nuit et ainsi profiter du vendredi comme il se doit. Et c’est sous le clair de lune que le petit convoi s’aventure sur la RT1. Composé du 4x4 de Fabrice et de la Polo de Cécile qu’on arpente cette artère principale de l’ile. Dans le premier véhicule Fab, Bichette, Audrey, Narco, Clémence et dans le second Bichon, Charline, Cécile et moi-même. La musique à fond en mode on the road again on avale les kilomètres avant de nous poser sur les coups de minuits sur la plage de la baie.

Apres une petite nuit et un levé au bord du lagon on repart cette foi-ci en direction de Voh pour y admirer son cœur et aussi y pique niquer. L’ascension vers le point de vue pour voir la mangrove et le cœur fut assez folklorique. La piste étant bien défoncé, oui défoncé, on a du abandonner la polo et monter à neuf dans le 4x4. Et le trajet long d’un quart d’heure fut source de fou rire et de défis complètement loufoque. Bichon, Charline et moi-même on était dans le coffre. Alors sur une route complètement raviné je vous laisse imaginer les dégâts. Sans aucun moyen pour s’accrocher on sauter dans tous les sens. On rigole on rigole mais au final on s’en ait sorti avec pas mal de bleus et de bosses.




Mais tout ceci était amplement justifié par la magnifique vision du lagon, de la mangrove et du célébrissime cœur de Voh.
Apres cette étape, on reprend la route direction Poingam ou on arrivera en début de soirée le temps de se poser de faire le camp et mettre le barbec en route pour les grillades.

Et le lendemain ce fut direction un petit ilot fort sympathique (et oui ca existe) pour des sessions de pêches et de farniente. Pour ma part la pêche m’était interdite à cause du tatouage. Et oui je n’en ai pas encore finis après les deux heures de contours et les 5 heures de la première session de remplissage il me restait encore 5 heures. Donc vaut mieux se la jouer prudent et éviter les coups de soleil dans le dos. Cependant vu qu’on était partit un peu à l’arrache ce n’était pas plus mal que je reste sur le platier avec la glacière pour récupérer les poissons. Et au final c’est avec du crabe que j’ai remplis Gustave (Gustave ? Oui c’est le nom que j’ai donné à ma glacière vu que j’étais en mode seul au monde sur ma plage).
Ainsi pour le repas du soir ce fut salade de crabe concocté par mes soins

Fab, Bichon et le repas du soir


Et c’est sur cette note gastronomique que c’est terminé cette journée. Car le lendemain c’était retour sur Nouméa pour le dernier concert de la Tchoucrav à la Fiesta. Et il y a rien de mieux que ca pour finir un week-end en beauté avec resto, une bonne musique et une ambiance à monter sur les tables.
Il faut dire qu’ils ne nous ont pas ménagés. C’était le grand soir avec un concert qui a commencé sur les coups de 21h pour finir vers les 1h du mat. C’est parti dans tous les sens avec même un vol de culotte rouge sur scène. Tahiti Bob le guitariste n’en revenait pas. Son premier trophée rock n roll.

ONECHANBARA BIKINI SAMURAI SQUAD


Et oui la jaquette et le titre parle d’eux même. Je suis passé aux jeux de beauf mais qui rend totalement dépendant. Pour vous dire en deux jours je cumulais à plus de 10 heures de jeux. Le vrai nolife, pire le geek otaku neerd complètement lobotomisé par un jeu qui il faut le dire est simpliste voir débile. Mais au concept tellement « jouissif » dans tous les sens du terme.

Alors le but de ce jeu est de tuer du Zombies à coup de sabres avec de jolies filles en Bikini. Et oui tout se résumé à ces quelques lignes. On incarne Aya (présente sur la jaquette ci jointe) une tueuse de zombies. Dans ce troisième volet (et oui il y en a eu trois ca fait peur) elle fait face à une nouvelle invasion de mort vivant au cœur de Tokyo dont les meneurs en ont après sa sœur Saki. Et oui les zombies ne sont que les soldats d’une vaste organisation.Ainsi armé de nos sabres on va démembres découpés éviscérer des kilos voir des tonnes de corps ambulants. Mais tout ceci se fait avec grâce et délicatesse. Car nos jolis demoiselles font ca en mettant en avant leurs plastiques généreuses (ce ne sont que des polygones ce ne sont que des polygones ce ne sont que des polygones). Ce n’est pas étonnant qu’il soit interdis au moins de 18 ans. Attention ce n’est pas un jeu érotique c’est juste un jeu qui s’amuse sur les cliches et qui surfe sur les tendances des gros nanard de série Z tels que les Evildead et consort en y ajoutant une belle touche de féminité.

Bref sur le plan jeu il est basique mais c’est un bon beat em all qui permet de patienter entre deux grosse sorties et de faire reposer ma batterie en attendant l’arrivé de nouveaux titres sur Rock Band.

lundi 1 juin 2009

Inside Caledonia 4

Pour ceux qui veulent récupérer le numéro 4 du Inside calédonia, voici le lien :

http://www.megaupload.com/?d=FHBRNCPC

Blueberry une légende de l'ouest


Arnaud de la Croix aborde dans ce livre une étude complète sur le personnage de Blueberry créé par J.M Charlier et J. Giraud. Pour lui Blueberry a dépassé le stade de simple personnage de bande dessiné pour devenir une légende du grand ouest américains. Mais en plus de cela il n’hésite pas à décortiquer l’œuvre sous toutes les coutures en y rapportant les faits réels mais aussi les inspirations cinématographique.

C’est plus qu’un simple portrait, on y découvre Mike Steeve Blueberry sous un autre regard. On ne suit pas son aventure mais on l’étudie. Pourquoi un personnage si antihéros en plein milieu des années soixante. Pourquoi des thèmes comme la traitrise et le doute ? Tout ceci nous est amené par cycles mais aussi par rapport au contexte actuel. Ainsi on y apprend l’évolution du style de J. Giraud qui affirmait son style en se détachant de son mentor Jijé. Mais aussi des thèmes chers aux premiers abords à l’ouest inspires des grand classiques littéraires et cinématographique. La comparaison de la jeunesse de Blueberry avec autant en emporte le vent n’est pas fortuite tout comme Rio grande pour le « one shot » l’homme à l’étoile d’argent.

Mais la nouveauté vient aussi que Blueberry a révolutionné la bande dessiné franco belge en brisant les tabous du un volume une histoire. C’est la première BD qui offre une histoire découpé au début en 5 tomes (le cycle fort navajo). On y apprendra aussi que quelques anecdotes telles que la création du personnage de Mac-Clure ou encore du Général Alister.

Un livre essentiel pour tout fan de notre cowboy bagarreur amateur de whisky et de jolies filles.