mardi 15 septembre 2009

J'irais dormir en Prison

Apres une nuit de repos, j’ais pris la direction de l’est et de Bishkek. Pamirs, me voilà et je suis fin prêt pour arpenter les pistes. Mais il me reste encore deux cent kilomètres à couvrir avant de quitter définitivement l’Ouzbekistan. Si le Kazakhstan m’a laissé un souvenir intarissable et une folle envie d’y revenir l’Ouzbekistan c’est tout le contraire. Et je suis content de le quitter. Hormis Samarkand je n’aurais aucun pincement au cœur. Donc des sept heures du matin j’ai emprunté la route menant à Bishkek. Comme toujours c’est un enfer pour sortir des grandes villes, et là sur la route je passe le énième contrôle routier et je me fais contrôler. Aucun souci j’ai mon passeport et mes papiers. Mais les policiers Ouzbeck comme toujours fort aimable (à Tashkent la veille il m’avait ennuyait comme pas possible me bloquant bien une demi heure pour rien) me dit de ne pas bouger. Bon qu’est ce qu’ils vont me trouver encore… Le policier revient et il m’explique que mon visa n’est pas bon. Pardon lui réponds dans un français plus que correct. Et il me fait comprendre que je suis en état d’arrestation. Je m’insurge et deux autres policiers arrivent et en moins de deux je finis menotter et dans le bureau du poste de contrôle. Je ne vous cache pas que ca a gueulé je demandais à appeler l’ambassade mais rien qui fasse ces têtes de lards n’avait rien à faire surtout que quand j’ai vu qu’ils vidaient mes sacs ca était le pompom les insultes en français ont fusé et j’ai eut droit à joli coup de matraque dans le ventre et sur le coup qui m’ont calmé direct. Plus d’une heure est passé quand enfin une nouvelle personne entre dans le bureau. Je ne comprends pas ce qu’elle raconte mais elle me fait signe de la suivre. Je refuse catégoriquement. Je veux savoir d’une part ce qui se passe et qu’on me rende mes affaires. Dix minutes après j’ai mes deux sacs qui arrivent. On me défait les menottes et je vérifie. Heureusement il ne manque rien. Mais j’ai pris mon temps, hors de questions de laisser quelque chose à ces enflures de premières.
Bref après ces vérifications, je sors enfin de ce bureau aux couleurs fanées et délavés pour le suivre dans sa voiture. Bien sur les menottes sont de retour et j’ai droit à deux policiers qui m’escortent dans la voiture en plus du conducteur et de la personne qui a déboulait dans les bureaux. Mais qu’ai-je donc fait ? Mais qu’est ce qui ce passe ? Cette histoire là je la sens très mal, et je sais même pas sur quoi ca va finir. Apres une demi-heure de route on arrive enfin dans une sorte de bâtiment en rénovation totalement pourris ou plusieurs personnes attendent documents à la main devant l’entrée. En voyant les passeports, je présume qu’on est au bureau de l’immigration. Et après qu’on m’ait emmené dans un bureau tout aussi agréable que le premier mes doutes se sont confirmé. Bien sur sans passeports je risque de ne pas aller bien loin. Puis une nouvelle personne entre avec ô joie mon passeport. Mais il le pose sur le bureau et il commence à me crier, non beugler dessus. Et à ce petit jeu je sais que je peux aussi me la ramener quand on me sort de mes gongs et là c’est le cas. Je ne sais pas ce qu’il disait, mais toutes les insultes françaises sortaient avec ma demande pour appeler l’ambassade française. Que j’ai eut droit en fin de compte. Je passe mon coup de téléphone et j’explique mon problème. Une voix charmante me réponds, et me dit de me calmer et qu’elle va voir de son coté. Me calmer elle est bien gentille mais je suis menotté dans un bureau insalubre avec trois Ouzbecks qui me gueule dessus et moi au milieu qui comprend rien. Plus de trois heures se sont écoulé depuis mon arrivé. Et l’après midi commence à être bien entamé quand arrive deux personnes de l’ambassade de France. Je leur explique le problème ainsi que les brutalités mais pour ces dernières elles ne peuvent rien faire. Ici l’ambassade n’a pas trop de pouvoir. Je crois rêver et les droits de l’homme bordel !!!
Bon elle m’explique mon problème c’est que sur mon visa a expiré. On est le 14 et il prenait fin le 10. Je lui réponds que je ne comprends pas je suis arrivé le quatre et j’ai le droit de rester quinze jours. Oui mais ici les dates inscrites ne correspondent pas aux dates d’entrée mais de séjours. Donc finalement je suis bien clandestin en Ouzbekistan et je risque l’expulsion. Gloups j’en suis ravi mais d’une force. J’essaye de voir avec eux si il y a pas moyen de négocier mais non. En attendant je reste dans ce bureau sans mon passeport. Les autorités me voyent pour le moment comme un criminel donc pas de négociation et renvois au pays. Les diplomates français s’en vont et c’est à moi de débrouiller. Bref je ne parle ni russe ni ouzbeck, la partie folklo commence.
Tout d’abord c’est transfert dans la prison de l’immigration avec enregistrement comme il se doit. Photos, empreintes digitales, mesure, poids, me voilà prisonnier pour un problème de papiers, et je me la ramène pas du tout. Une seule me reste dans l’esprit. Comment ca va finir ? Car je n’ai plus le droit de communiquer et pour l’ambassade je n’existe pas. Le voyage tourne au cauchemard. Certes c’est rigolo quand on en discute. Mais ce retrouver dans une cellule sans lit avec un simple pot de chambre et surtout pas de fenêtres ou de lumières, hormis celle du couloirs, on se demande que tout finesse vite. Et la première journée s’achève sur cette note là, aujourd’hui avec un peu de recul je me dis que j’aurais du demander une balle de baseball. Cependant la deuxième journée fut nettement moins rigolote dans la continuité de la première. On m’annonce en uzbek qu’on va me renvoyer à Nouméa et bien sur à mes frais. Donc les policiers me font comprendre qu’ils vont m’accompagner jusqu'à l’aéroport pour que je puisse payer mon billet d’avion qui s’élève à plus de 3 500 euros pour un vol Tashkent Moscou Singapour Sydney Nouméa. Là j’ai les glandes. Car d’une part le fric je ne l’ai pas. Et être renvoyé comme ca sur Nouméa je ne suis pas trop pour. J’essaye de négocier un renvoi simplement à Bishkek au Kirghizstan, qui d’une part me coutera moins cher et d’autre part me sauvera les vacances. Ils m’annoncent que c’est Niet je suis de Nouméa je rentre sur Nouméa. Oui mais bon vu que c’est à moi de payer je n’ai pas l’argent sur moi. Ils me font comprendre d’appeler ma famille pour qu’elle me prenne le billet. Mais je refuse. Je ne rentrais pas sur Nouméa de cette facon. De plus ils ont mon passeport et il y a mon visa pour le Kirghizstan. Je retente l’amorce en leur expliquant que ca sera plus simple pour tout le monde. Mais bon on est dans un ancien pays russe donc si on veut que ca passe il faut lâcher du fric. Et pour que le responsable du service immigration ferme les yeux sur le changement du protocole j’ai du lui donner 300 dollars, et de là il m’a permis de prendre le vol du lendemain soir pour Osh. Un vol que je me serais passé mais qui m’a quand même couté 180 dollars. Et il me reste encore l’amende à payer qui pour le moment le montant n’a pas encore été fixé. Mais vu que je quitte le territoire j’ai une convocation pour le vendredi à l’ambassade Ouzbeck de Bichkek. Si je me présente pas l’amende me sera envoyer par la poste et transmis aux services des affaires étrangères français. Bon on ne va pas jouer au gaulois et on va suivre les indications du monsieur. En tout cas il aura fallut plus de deux heures pour qu’il m’explique tout cela. Mais bordel ca aurait été pas plus simple qu’ils appellent un traducteur. Puis une fois cela fini et le responsable content avec ces 300 dollars je fut reconduit pour une nuit encore menottes aux poignets dans la prison de l’immigration. Encore une nuit avant mon départ. Et je ne cache pas que le temps fut long. Mais en tout cas là je suis interdit d’Ouzbékistan pendant un an. Super je n’avais pas l’intention d’y revenir en tout cas.

Road to Samarakand



Tashkent Samarkand plus de 300 kilomètres et ce sont les deux seules villes que je verrais du pays avec un visa de 15 jours je ne peux pas me permettre de voir autre chose. De toute façon l’ouest c’est le désert et les champs de cotons. Pour ma part je couvrirais cette distance à pieds et je pense arriver à Syprada je prendrais soit le bus ou le train. Il m’aura fallut au total deux jours pour couvrir ces 80 kilomètres, mon rythme s’accélère il y a un moi je peinais à faire les trente kilomètres journaliers mais aujourd’hui je couvre les quarante sans aucun problèmes malgré mon barda toujours aussi chargés et aussi la chaleur accablante. Pire qu’en Turquie. Mais ca m’étonne point on est quand même au moi d’Aout. Et vu que je transpire comme un américain je repars en mode comme au Kazakhstan douche dans les rivières et c’est bien appréciable.



Tout en profitant de faire rapidement une petite lessive et me voici prêt pour un nouveau jour. Le temps de trouver un emplacement pour dormir et c’est bon, comme le dit si bien bichette ca passe. Et le lendemain j’arrivais enfin à la tombé de a nuit en vu de Spyrda. Mais là manque de bol et surtout d’organisation de ma part plus de bus ni train en direction de Samarkand. Bon ce n’est pas grave. On sort de la ville tout en essayant le stop et si ca marche pas on plante la tente. Mais je fus pris en stop et c’est sur les coups de deux heures du matin que je suis arrivé dans la capitale de la route de la soie.



Et là le calme plat, c’est fou comme la ville est déserte pas une voiture pas un chat, pas une personne. Mais bon je prends la direction du Back pack pour me poser et demain je partirais faire le tour des palais, mosquées et autre mausolées.

Et c’est dés le matin que j’ai arpenté cette ville riche en histoire mais en plein boum de rénovation. Le mausolée de Gumir Amir est en plein travaux et ces alentours aussi. Mais même la présence d’échafaudage ne gâche en rien dans l’architecture musulmane. Tout comme lors de ma visite sur le site du Registan, l’ensemble des mausolées et mosquée étaient fermé au public pour répétition d’un spectacle. Je n’ai pas trop compris en l’honneur de quoi mais les militaires étaient présent en simple porte drapeaux des différentes nations et ils défilaient aux milieux des danseurs. Et je sentais au fil de mes déambulations dans les petites rues que cette cité m’attirait. Et rien que le fait de tomber sur de petits bazar m’enchantait. Cette ville étaient l’opposé direct de Tashkent et au fil des mes pérégrinations je commençais à me ronger de remords de ne pas pouvoir descendre sur Bukchra qui d’après les dire était une Samarkand bis avec la forteresse en plus. Mais malheureusement le temps me tenait je devais être impérativement le douze à Tashkent pour récupérer mon passeport ainsi que mon sésame pour entrer enfin en terre Pamir. Néanmoins je profitais de cette journée comme jamais à flâner et errer dans une ville qui il y a même pas un an était pour moi qu’un simple nom.

samedi 5 septembre 2009

Melissa Auf der Maur : Auf der Maur


Sortie en février 2004, Auf der Maur est le premier album du nouveau groupe de Melissa Auf der Maur, ancienne bassite de Hole et des Smashing Pumpkins.
Il faut dire que a l’époque cet album intrigué. On ne l’attendait pas mais on le surveillait du coin de l’œil. Une curiosité nous habitais pour savoir ce qu’aller donner cet effort solo de la belle et intrigante rousse. Et il faut reconnaitre qu’elle nous aura surpris avec cet effort. Douze titres qui nous plonge dans l’univers de Melissa ou on voyage au frontière du rock et de la pop. Surtout que tout l’album est imprégné d’une sensualité sans limite. Rien que le single Taste You nous donne déjà une image coquine et féline de ce disque. Néanmoins cet album possède une force taillé pour la scène avec Fallowed the waves. Une introduction faites en monté et qui montre tout le génie du duo Melissa et James Iha (guitariste des Smashing pumpkins et de A perfect Circle). Le titre est construit de facon crescendo et quand arrive le refrain on est sous le choc, que ce soit par la voix de la belle ou par les riffs de James.
Et oui pour cet album Melissa a réussi à s’entourer et c’est ainsi qu’on retrouve des membres de Queen of Stones Age ou encore de Marylin Manson. Mais la belle garde les commandes, ce qui donne un ensemble agréable et rock à souhait. Elle a sut garder sa ligne et signer de son style avec Would i I could ou encore Real a Lie.

Pour le moment, et ca va faire cinq ans qu’il est sorti, mais on espère revoir bientôt Melissa dans un nouvel effort tellement que cet éponyme nous avez charmé le jour de sa sortie.

jeudi 3 septembre 2009

Ah la Paperasse !!!

Me voici à Tashkent capitale de l’Ouzbekistan. Ici seulement les visas m’intéressent mais avant d’en arriver là il faut que je retire des Soms la monnaie locale. Et là c’est le drame le beau drame ici pas de distributeur automatique. Et le seul que j’ai trouvé après plus de deux heures d’errance n’accepte que les cartes de types Visa. C’est de la folie j’essaye de me faire comprendre mais bon c’est galère de chez galères. Mais au bout d’un moment surtout en faisant toutes les banques je trouve un distributeur qui accepte les master cards. Victoire et bien non car ce ne sont pas des soms qu’il me délivre mais des dollars. Donc avec mon pécule il faut que je trouve un agent de change, fort heureusement devant la gare lieu ou se trouve aussi mon hôtel le black market y règne en maitre. Si dans mes bureaux un dollars est changé pour 1500 Soms ici il est pour 1850 et croyait on voit la différence je me suis retrouvé avec 185 000 Soms dans les poches en billet de milles. Et rien que cette différence ca m a permis de payer mes trois nuits à l’hôtel sans toucher à mon capital. Mais bon se balader avec une telle liasse ca fait bizarre. Cependant à Tashkent il n’y a pas grand-chose à voir. Pour moi ce fut tourné des ambassades de Chine du Kirghizstan et du Tadjikistan. Pour cette dernière c’est l’anarchie et l’obtention du visa c’est trois semaines minimum. Donc on oubli. Pour la Chine il y a une liste et on attend. Quand je suis arrivé c’était aussi mort la liste était complète jusqu'à 18 aout. Quelque chose de fous surtout qu’on est que le 5. Donc je suis passé à celle du Kirghiz et là l’attente d’obtention est d’une semaine. Mais j’ai quand même perdu ma journée pour remplir tous les papiers. Déjà deux heures d’attentes pour laisser les formulaires et avoir le papier pour payer. Car le paiement ce fait dans une banque, heureusement celle-ci n’est qu’a une demi heure à pieds. Mais bon il faut attendre. Heureusement que j’avais pris avec moi le tome 3 de l’épée de vérité. Ca faisait bien dix jours que j’avais pas avancé dans l’intrigue et cette journée passé à poireauter m’a permis à avancer dans ma lecture. Donc une fois le paiement effectué on repart pour l’ambassade et on repatiente une nouvelle fois. J’ai commencé ma journée à 8h00, à 9h00 j’avais déjà fait les ambassades Tadjik et Chinoise je suis arrivé à 10h 30 à l’ambassade Kirghiz et j’en suis sortit que sur les coups de 17h00 avec convocation pour le 12 aout pour la récupération de mon passeport. Et il parait que pour la Kazakh c’est pire. En l’espace d’un instant je m’étais retrouvé dans les douze travaux d’Astérix. Car pour payer ce n’est pas si simple. D’une part c’est en dollars. On se présente dans un bureau avec notre papier de l’ambassade. On remplit un formulaire en triple exemplaire. Un pour l’ambassade et deux pour la banque. On va ensuite dans un bureau, un personne vérifie et le valide en le signant .On part ensuite dans un autre bureau et là il est tamponné et on peut aller payer. Mais bien sur à chaque fois il faut attendre. Un enfer rien que ca.

Cependant pendant l’attente ca va être direction le sud et Samarkand. Je ne vais pas rester à tourner comme un rat mort dans une ville que je n’accroche point.

mardi 1 septembre 2009

Turkistan


Dernière étape le mausolée de Ahmed Yasawi à Turkistan, c’est ici que ce finit ma découverte du Kazakhstan. Une journée passée à l’intérieur de cet édifice classé aujourd’hui au patrimoine mondiale de l’Unesco. Et quand on arrive et qu’on voit se dôme bleu se dessiné au loin on a du mal à imaginer le lieu. C’est qu’une fois sur place face à cette gigantesque arche, haute de plus de 50 mètres qu’on remarque tout l’art et la manière des architectes musulmans. Pour ma part c’est une partie d’initiation à la culture musulmane avec des détails sur le coran et les différents prophètes. Mais aussi sur le rôle de ce mausolée dans la culture musulmane. Il faut savoir que celui-ci est fait composer d’un premier mausolée construit à la mort du prophète et d’un deuxième construit deux cent ans plus tard. En tout cas rien n’enlève le charme de ce bâtiment perdu au milieu du désert et entouré de vastes jardins aux couleurs multicolores.

Mepki part 2


Et c’est ainsi que c’est terminé cette première soirée. Et oui première soirée car je suis resté à Mepki plus de trois jours. Il faut dire aussi que j’étais un peu l’attraction du centre. Donc le lendemain je suis parti en randonné sur les hauteurs, on pourra même dire au Kirghizstan vu qu’il n’y a pas de poste frontière. Avec au programme une ascension des contreforts des Pamir de quoi s’émerveiller sur l’ensemble de la plaine en contre bas. Le paysage est vraiment unique on trouve un petit coté alpin avec ces petits torrents, mais l’essence même du Kazakhstan est présente avec cette steppes qui se perd au delà de l’horizon. Les montagnes son entièrement rocailleuse pas un soupçon d’herbages ou alors c’est un semblant de garrigues qui y pousse. Mais dés qu’on se rapproche des cours d’eaux. C’est un autre univers avec une herbe bien vertes et des fleurs qui poussent tranquillement sans se soucier de rien. En l’espace de même pas un kilomètre le décor change du tout au rien. En tout cas j’en connais un qui aurait été heureux de voir ce petit torrent déferlé dans la vallée. Bien rapide avec pas mal de lacets je pense qu’avec son Kayak il se serait régalé (Je te laisse contempler les photos Fab).

Et de retour le soir, c’est destination le petit village de Yourte qui se situe au dessus de la maison de repos avec
Edouard et Norbal. Une petite marche d’une demi heure le long de la rivière pour juste déguster du lait de jument. Et au final ce n’est pas si mauvais que ca. Cependant je n’en boirais pas tous les jours. Ce lait a un petit gout bizarre et de plus il picote dans le palais. Mais les Kazakhs en sont fou, il faut dire que c’est aussi dans leurs cultures. Mais après cette aparté ce fut redirection le centre avec ce soir une sorte de bal. Une ambiance musicale très… spéciale entre de la pop Kazakhs, Russes et Turcs mais aussi du Modern Talking et du Alizée. Pour ces deux derniers ils en sont fous. Danser sur du Modern Talking j’ai du mal à le croire et encore plus la naine effarouché qui fait des bulles dans son bain.
En étant l’étranger du centre j’étais très demandé. Donc sur des morceaux totalement ignoble pour moi, imaginer une, enfin je crois chanson romantique en slow chanté en Kazakh. J’ai du dansé avec ces gentes dames de soixante dix voir quatre vingt ans qui était ravis a plus d’un point. Mais fort heureusement à vingt trois heures extinction des feux et fin du spectacle. Je ne cache pas que je n’ai pas dit non. Car là je commençais un peu à saturer avec en moins de deux heures pour la quatrième fois la même chanson de nos deux allemands, enfin je crois qu’ils sont allemands les deux gars de Modern Talking. Bref ce fut finis back home et go to dodo. Demain ca sera direction encore les hauteurs avec une petit groupe de personnes travaillant dans la maison de repos.
Une journée tranquille à suivre un petit sentier qui ne mène sur différentes sources, ou selon les dire l’eau aurait des vertus mais aussi vers des arbres à souhaits. Il suffit d’y accrocher un morceau de tissus et d’y laisser son vœu. Simple et rependu en voyant les branches pliées sous le poids. Apres pour la véracité il faudra attendre.
Une fois ce petit rituel terminé tout le petit groupe a pris la direction du sommet de ces grottes. Un excellent point de vue sur la vallée mais aussi un lieu plaisant pour se restaurer.