Astana, capitale du Kazakhstan et qui essaye de s'affirmer. Depuis 1991 la ville est en chantier pour pouvoir rayonner sur l'ensemble du pays. Malheureusement elle ne possède aucune histoire, certes la ville est moderne rien qu'avec le quartier de Bayteleck (La tour en photo), mais aucun bâtiment pour témoigner de son histoire. Cependant on s'y sent bien surtout dans le nouveau centre ville qui se veut ouvert avec des jardins des parcs et des fontaines. C'est surtout ici que sont concentrés tous les mânes du pouvoir mais aussi les bureaux des grandes entreprises Kazakh et étrangères. Mais il y a un point sur lequel on peut être admiratif c'est l'architecture du quartier. Qui peut paraitre aux premiers abords très hétéroclites. Mais qui au final rend un ensemble harmonieux et homogènes. Il faut dire que j'en ai passé du temps dans ce quartier à faire les ambassades Chinoises, Tadjik et Russe. Passé trois jours un peu à blanc car pour les premiers ce fut un refus catégorique pour le visa pour la simple et bonne raison que je ne suis pas Kazakh, les seconds étaient en rénovation donc pour le visa c'est direction Almaty et les derniers, je vous laisse imaginer pas besoin d'un dessin je crois. Mais néanmoins j'aurais put profiter un peu de la ville et de me poser avant d'attaquer la grande descente vers le sud. 1400 kilomètres entre Astana et Almaty de quoi me mettre en forme. Je sens que je suis encore parti pour trois jours de vagabondage de stop et de marronnage sur les routes détruite du pays. Donc avant cela farniente sur le bord du fleuve avec un livre et du Daisybox à fond. Entre les titres Ultra Non et Sourd j'étais sur mon nuage.
Néanmoins j'aurais passé quelques jours bien sympathique avec tout d'abord la rencontre avec Sabiyev un étudiant en langues étrangère originaire d'Aqtöbe. Il était sur Astana pour son inscription en faculté mais aussi pour la recherche d'un logement étudiant. Une chose est sur c'est qu'on a passé de bon moments à arpentez les rues d'Astana tout en discutant des différences et des similitudes en le Kazakhstan et la France. Pour lui son pays s'ouvre comme il faut mais il y a encore trop de différences et ceci je ne peux que l'appuyer entre l'ouest industriel et le centre très campagne. Et là je découvre un Kazakhstan très cosmopolitain. Mais d'après lui ce n'est rien comparé à Almaty. Ce que je penses déouvrir dés que je partirais vers le sud. Encore plus de 1400 kilometres e j'en aurais peut-être finis avec le pays de steppes sauvages.
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