dimanche 23 janvier 2011

Scott Pilgrim Vs the World


Œuvre d’une generation geek voici l’adaptation du comics Scott Pilgrim au cinéma.
Alors l’histoire est tréss simple loufoque à la fois. Scott est un adulescent de 22 ans. Il enchaine les déceptions amoureuses et il le souffre douleur de son groupe de rock. De plus son colocataire gay n’arrenge pas la situation. Mais tout ceci n’est rien à coté de sa rencontre avec Ramona Flowers. Fille un brin mysitique complétement félée elle tape directement dans le cœur de Scott. Une iddyle entre eux commence. Mais malheureusement pour Scott c’est le début des ennuis. Pour pouvoir sortir avec Ramona il va devoir combattre et défaire ces septs ex petits amis démoniaques.

Et pour cela la culture geek est plus que mis en avant. Déjà la réalisation qui emprunte touts les clichés des déssins animées et des grands classiques du jeux vidéos sans parler de certaines situations. Le film est un pur bonheur pour tous les fans de la culture geek. Déjà le charsime de Scott donne beaucoup de profondeur au film. Mais quand la ligue des ex maléfiques apparait c’est là que le film donne tout son potentiel.

A voir d’urgence !!! Et en plus Ramona est ultra sexy !!!

Lesbians Vampire Killers


Non ce n’est pas le premier film classé X que je vais chroniquer. Oui ca parle de lesbians et de vampire et oui c’est un film de teenagers.
Donc nous sommes en Angleterre dans une petite bourgade perdu dans la campagne anglaise. Jimmy et Fletch deux amis décident de partir en week end randonné pour oublier leurs problèmes de citadins. Malheureusement le séjour ne sera pas de tout repos. Car la région vit aux grés d’une légende qui prévoit le retour de la grande reine vampire Carmilla. Malheureusement en attendant sont retour toutes les jeunes du village une fois qu’elles atteignent l’âge de 18 ans deviennent des vampires aux services de la reine. Et c’est dans cette ambiance que nos deux amis vont se retrouver aux milieux d’une cérémonie qui cherche à ramener sur terre Carmilla.
Mais dans cette aventure riche en rebondissement, je parle de l’action n’aller pas chercher plus loin, ils seront aidé par un pasteur expert dans la chasse de vampire et une jeune innocente étudiante en thèse. A eux quatre ils devront lutter contre ce fléau qui trouble l’ordre de la région mais aussi défaire la malédiction qui plane sur toutes les filles. Une mission qu’il faudra faire avec tact et en écoutant le passé.
Bon ce film est à classer dans la catégorie nanard car d’une part l’histoire tient sur un timbre poste et le thème est à hurler de rire. Néanmoins on passe un bon moment de divertissement et on rigole par rapport aux clichés des situations.

Escape the Fate : Escape the Fate


Troisième album pour les petits gars de Escape the Fate, et quel album ? Serait ce celui de la maturité et de la consécration ? Pour le moment on ne pourrait le dire. Cependant un certitude est bien présente, l’album est un condensé de hit en puissance.
Tout d’abords penchons nous sur Issues le premier single qui porte bien haut cette nouvelle aventure musicale. Déjà le coté émo est toujours présent. Le riff est plus lourd et plus posé. Il faut dire aussi que Robert Ortiz le batteur apporte une rythmique soutenue qui laisse place libre aux élucubrations de Brian Money. La guitare hurle et donne cette atmosphère pesante qui se répercutera sur tout l’album. Et c’est sans attendre qu’on découvre Zombie Dance. Un titre atypique et très escape the fate par son refrain aux sons clair et à la voix non saturé de Craig Mabitt. Il faut dire qu’en tant que chanteur il prend tout son importance et il porte dorénavant le rôle de leader du groupe.
On continue notre avancé dans le monde sulfureux de cet éponyme pour tomber dans le piège de de City of Sin… Une intro tres prononcé pour laisser place à un court couplet qui lui aussi s’éclipsera et qui mettra en valeur un refrain dévastateur ou Craig Mabitt, et l’ensemble du groupe reprenne en chœurs City of Sin. Et ce n’est que là Brian Money lancé par la double pédale de Robert Ortiz nous donnera un léger solo d’anthologie appuyé par une basse très lourde.
Et ceci n’est qu’un aperçut de ce nouvel antre de la débauche que sont ces sales gosses d’escape the fate. Entre un Day of Wreckoning qui met la barre bien haute et un prepare you weapon dévastateur. Il n’y a pas à dire ce troisième album signe bien le statut de groupe majeur que sont aujourd’hui les Escape the Fate. La page du passé est bien tournée et le groupe mène son cheval de bataille comme il faut en signant d’un son clair et reconnaissable entre mille l’ensemble de leurs compositions. L’ère des Escape the Fate n’est pas prête de s’arrêter et on en redemande pour remonter à plus de 10000 pieds.

samedi 4 décembre 2010

Dynasty warriors Gundam 2


Un jeu pour fanboys, un jeu pour fanboys !!! Du gros beat them all qui tache !!!
Et oui Gundam est de retour avec ce Dynasty warriors gundam 2. Et pour ce second opus le studio Koei et Bandai ont mis les bouchés doubles. On retrouve ainsi toute la franchise de gundam premier du nom à gundam seed destiny. Soit plus de vingt ans de méca à se mettre sous la dent. Mais ce n’est pas tout car en plus de la surenchère de mechas on a le droit au gundam Géant tels que le Psycho Gundam issue de gundam Zeta. Et oui toujours plus loin toujours plus haut.

Alors suite à cet avalanche de nouveauté dites de remplissages que vaut réellement ce second volet ? A vrai dire on se retrouveavec le premier opus et les éléments cités plus haut. On retrouve le mode officiel qui suit l’histoire de Gundam, Gundam Zeta, Gundam ZZ et les OAVs dont le très célèbre Char’s counter Attacks qui clôt définitivement la saga.
Puis le mode mission qui n’est d’autre qu’une grande salade ou tous les grands pilotes de gundam s’affrontent dans des scénarios assez simplistes.
Cependant le but de la mission c’est de casser du méchas à coup de gundam et le défis est bien réussis.

Soundgarden : Telephantasm


Treize ans se sont écoulé entre A-Sides le best of de Soundgarden et Telephantasm ce nouveau best of. Donc ou est la différence et ou est l’arnaque. Il y en a aucune. Le groupe revient sur le devant de la scène avec sa reformation et il faut marquer le coup. Donc pour les nouvelles générations voici le best of d’un des grands de Seattle. Et pour les anciens il y a l’inédit Black Rain qui date de l’époque de badmotorfinger (1991).
Mais au final on est tous content même si de l’eau est passé sous les ponts qui sont Audioslave, la carrière solo de Chris Cornell, Probot pour Kim Thayil ou encore Pearl Jam pour Matt Cameron.
Mais aujourd’hui ils sont là et ils défendent ce nouveau best of avec une tournée de reformation. En attendant qu’ils reprennent la route des studios. Alors c’est avec une joie immense qu’on accueille ce nouveau best-of et qu’on redécouvre le son si caractéristique du quatuor de Seattle. Les cris de Chris Cornell sur Jesus Christ Pose ou encore le solo batterie de Matt Cameron sur Spoonman. Tous les classiques qui ont fait les marques de noblesses de Soundgarden sont là. Compilé sur deux cds, on y retrouve des versions live des titres emblématiques.
Mais aujourd’hui qu’en reste il ? Le gout de la nouveauté nous pousse à retomber dans la vague grunge. Et là, il faut le dire la magie opère. On se retombe en plein 90’s. La puissance de Seattle rayonne et on se demande quand on pourra se retrouver dans la fosse pour se dégourdir sur du My wave ou encore sur du Fopp.

N’attendais pas Soundgarden revient et si il y a un prochain album il sera attendu comme il se doit.

jeudi 18 novembre 2010

Week end cata du 11 nov





Pour le week end du 11 novembre, je me suis pris quatre jours pour descendre à la pointe sud ouest du lagon dans un trip cata avec la clika.

Tout d'abord voici la carte pour mieux identifier la zone.


Je previens pour éviter la lapidation public. Les photos qui vont suivre ne sont pas responsable du mauvais temps et du froid qui régne dans l'hémisphere nord.

Alors mercredi soir nous avons largué les amarres à bord du catamaran Zap. Son capitaine Cecile, son second Fab, ces matelots, Christou, Bichette and me. De plus on avait à notre bord deux invités qui n'était d'autre que les parents de Cecile en vacances et en escale avant de rejoindre la nouvelle Zelande.
Ainsi sur les coups de 17h ont quitté le port de Nouméa en direction de l'ile Ouen pour mouiller pendant la nuit. La traversé nocturne fut assez complexe et fatiguante. Un vent de 25 noeuds avec des rafales de 30 et une obligation de tirer des bords pour avoir le bon ascendant pendant la descente. De plus la mer est assez chaoteuse et la navigation se faisait par moment à vue. Mais sur les coups de 3 heures du matin nous sommes arrivé sur la zone de mouillage de l'ile Ouen. On a pris notre temps pour la descente en jouant la sécurité mais aussi en passant plus pres des ilots de Redika que de la cote. Bon au final on c'est retrouvé Cecile, Fab et moi à la manoeuvre. On c'est pris au jeu de la regate en gonflant le genois et la baume pour s'amuser à prendre des pointes avec le cata. Pour nous trois c'était une premier pour nous. Habitué au monocoques on découvrait les joies de la navigation et la stabilité d'un cata. Pas obligé de jouer de la gite pour prendre de la vitesse. Un must !!!
Donc le jeudi à l'aube (c'est à dire à 5h) on a remis les voiles et là direction la pointe sud et le recif de l'ilot Koko. 50 miles à couvir donc on prend notre temps et on admire le lagon. L'alizé est modéré et il atteint des pointes à 25 noeuds. Avec à peine deux heures de sommeil on se met en place avec des quarts. Fab et moi on prend le premier jusqu'à 8heures, puis à Cecile arrive pour assurer le second jusqu'à 12h. Et là toute seule elle peut gerer vu qu'on est dans les eaux profondes du lagon. On passe Mato (ilot du dernier week end), Irehoué (ilot ou on vécu l'enfer en Mars 2009) et on dépasse la zone des cinq iles, ainsi que l'épave du cargo Ever Prosperity.



Puis sur les coups de 14h on arrive au niveau de l'ilot Koko. Et là on s'installe pour la nuit et on commence à sortir les affaires de peche et de kit. L'ilot est propice pour taquiner la loche et le tasard. Fab et moi on plonge de quoi ramener sur le bateau le repas du soir. Tandis que Cecile sort son Kit pour profiter des alizées clément. Mais bon Jr fidéle à lui meme sort un belle Jrtade. Apres avoir piqué une loche de 3kg je réarme mon fusil, et bon et la la fléche est mal enclanché et quand j'arme le sando (l'élastique du fusil) ce dernier déclenche le coup. Et le résultat est que ce n'est pas la fléche qui est parti mais mon majeur gauche. Au final je me suis retrouvé avec le doigt charcuté comme il faut. Des bouts de chair se sont fait cataplulté contre le corail. Et aujourd'hui j'ai deux belle cicatrices et des beaux trous sur le doigt. Mais ceci met fin à ma session peche du week end. Je pisse le sang. Donc obligé de sortir de l'eau et d'arreter la session peche de Fab pour éviter les mauvaises rencontres. Heureusement qu'on avait déjà deux loches dans l'annexe de quoi assurer la salade taihitienne du soir. Mais ce n'est rien à coté de ce qui nous attends quand on rentre sur le cata.
Cristou avait sorti sa canne à peche et ce n'est pas une loche ou un perroquet qu'elle nous sort mais une bonnite de 7kg (une sous famille du thon jaune). Bon le repas du lendemain c'est reglé. Elle ne cache pas que pour la remonter ils ont du s'y mettre à deux. Mais la piece est magnifique.
La soirée se passe avec une petite fiesta sur le carré. En mode rétro et ambiance. Seul sur le lagon avec comme compagnie le calme et les étoiles.

Le lendemain on resort les voiles et on remonte vers le nord pour mouiller sur l'ilot Morpion. Un petit banc de sable qui se dessine au milieu de nul part.



Un petit ilot sympathique qui nous offrira l’apéritif du soir. Car Fab nous sortira une belle porcelaine tigrée. Bon un petit 5 kilos mais de quoi nous regaler surtout quand elle est cuisiné à la provençale (huile d'olive, poivre, et herbes de provences). L'approche fut assez complexe. Pas de passe et le fond est irrégulié on passe de 75m à 1metres en meme pas dix mètres. Pas mal de patates jalonnent l’approche. Donc pour larguer l'ancre et se mettre à l'abri du vent il faut naviguer à vue. C'est pour çà que tout le monde se retrouve sur la proue pour m'indiquer les patates. J'avance au moteur et quand c'est bon je lache l'ancre pour avoir un fond moyen et avoir le poid de la chaine avec moi.
Pas de frayeur mais beaucoup de sang froid. Ça permet de découvrir une zone assez sauvage et d'offrir de belle couleurs pour le PMT (palmes maques tuba). Ne pouvant pas plonger je m'occupe de la sécurité en restant sur l'annexe et en récupérant les plongeurs lors de leurs sessions découvertes des coraux.


Et pour l'apres midi on remonte du coté du recif pour voir le tombant et les piscine naturelle qui sont protégé par la barriere de corail de la nouvelle calédonie. Là les bleus de l'ocean s'offre à nous. On part du turquoise du lagon pour aller rejoindre le bleu profond de l'ocean pacifique. On se repose et on mouille face à l'immensité de l'ocean. Avec au loin le relief de l'ile des pins qui se dessine légerement. Les pouffins sont là attestant la proximité de petits ilot non cartographié. C'est çà la magie du lagon sud. On navigue sur des zone qui ne sont pas cartographié. On hallucine, tout simplement. Mais la découverte c'est quelque chose de tellement magique pour nous tous quand on vogue avec aucun relief qui nous entoure. Je ne vous cache pas, qu'on était à la limite de se dire allez à l'aventure on remonte on prend la passe de boulari et on se barre.
Mais ca ne sera pas le cas malheureusement...

On continu nos pélégrinations sur le lagon durant toute la journée du samedi en s'occtroyant des sessions de péches et farniente. Avant de rentrer le dimanche sur Nouméa. On remonte vers Prony pour s'arreter sur l'ilot Casy et remonter le canal Houdin et l'ilot Ouen. Un week end de quatre jours à naviguer coupé de tout. Avec çà on a découvert les joies de la navigation sur cata. On connaissait via des sorties à bord de cata dédié à çà. Mais là ce fut tout autre chose pas de skipper rien que nous et l'aventure. Le choix d'aller ou on veux de changer nos plans à la derniere minute. La liberté !!!!

mercredi 27 octobre 2010

American Hi-Fi : Fight the Frequency


Entre Hearts of parade et Fight the Frequency il se sera écoulé plus de cinq ans. Holly Shit cinq ans !!! Mais le résultat est là malgré l’attente. Nos quatre gars sont en forme et nous reviennent avec un album Pop Punk aux douces mélodies. De plus la jaquette n’est pas anodine. Un renvoi direct vers le premier opus sorti en 2000.
Alors que reste t il du groupe après ce long silence. On ne saurait le dire. La magie refait son effet avec la voix de Stacy Jones. Son timbre est toujours innocent tout comme les mélodies qu’il nous offre dans un pur style de power pop.

L’écoute commence avec Fight the Frequency. Un titre rapide ou Jason Stutter s’en donne à Cœur joies derrières ces futs. Le son est identifiable entre mille et on retrouve les sources du groupe. C’est un retour en arrière de plus de dix ans en pleine époque de Flavor of the week. Mais le groupe ne s’arrete pas là et ils enchainent directement avec This a Low. Une introduction assez grave et lourde pour nous lacher un morceau tres rock et tres péchu. Plus moyen de revennir en arriere l’ensemble est laché et c’est partie pour une heure d’écoute au son de American Hi-Fi. Du mélancolique avec Where love is a lie, du rock entrainant avec Lost ou encore de la pop avec Loockout for the Hope

Donc le retour est plus que gagnant nos quatre gars de Boston sont toujours dans la partie avec des mélodies qui tappent fort et qui touche juste. Leur style reste propre et à leur écoute on retourne à nos années lycées. Cet album n’est d’autre qu’un écho lointain mais réel à ce qu’ils étaient il y a dix ans. Le temps a passé mais la passion est toujours là. American Hi-Fi continue de nous entrainer avec eux et on en redemande. Un retour juste et plein d’entrain.