lundi 30 juillet 2007

Entre terre et mer


Bon, maintenant que je suis bien installé sur le cailloux j’ai put ce week end en profiter pour faire une petite ballade. Sachant que vendredi et samedi on a eu droit à la pluie j’ai préfère laisser le sud et son complexe de Goro pour une prochaine fois.
Donc c’est vers le nord que je me suis amusé à me perdre. Enfin plutôt à vagabonder. C’est ainsi que j’ai quitté pour une journée la vie citadine de Nouméa pour les cotés campagnard de Paita, Todu et Naia. C’est sur ces dernières que j’ai usé mes basques à découvrir ce territoire partager entre terre et mer.
Pour Paita il faudra que j’y retourne en octobre car il paraît qu’à ce moment là c’est la fête du bœuf et que le village se transforme en une véritable ville du Far west tout comme Bourail (autre agglomération de l’île situé au nord). Mais mon premier contact fut plaisant. La vie est tranquille et de plus elle est tournée vers toutes les activités agricoles. Pour la petite anecdote Paita était relié à Nouméa par train de 1914 a 1940. Aujourd’hui pour y accéder on a l’embarras du choix. Soit en voiture, en bus ou encore à pied en traversant la Dumbéa les monts Koghi et la cascade de Yahoué. Pour ceux à qui cela intéresse cette petite ballade s’étend sur plus de 60 kilomètres aller retour.
Mais pour moi cette fois ci je me suis contenté d’une simple ballade pédestre le long du littoral, préférant ainsi rallier Ndé à Naia. Le trajet ne fut bien sur de tout repos. Car le littoral est très escarpé. Ici la montagne se jette dans les bras de l’océan. Donnant ainsi aux promeneurs pas mal de col à passer. Mais à chaque ascension le spectacle est magnifique. Face à nous l’océan et ces petits îlots. Ici on est sur de ne pas être déranger par la marée touristique. Les plages s’offrent à nous.
Pour ceux qui veulent de la tranquillité c’est sur dans les petits village de la nouvelle Calédonie on est sur de ne pas être déranger. C’est ainsi que je mis mon après midi à la relaxation de mon esprit même si il est futile et à le laisser se perdre face à ce calme. Voir la nature encore sauvage ça change.
Ca sera mon instant NATOURE avant de descendre j’espère le week end prochain sur Goro si bien sur la pluie ne s’invite pas. Comme elle le fait ici chaque week end.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Ya pas à dire, c'est bien moins plat que la pampa !

bastien a dit…

Zolis paysages...