mercredi 27 octobre 2010

American Hi-Fi : Fight the Frequency


Entre Hearts of parade et Fight the Frequency il se sera écoulé plus de cinq ans. Holly Shit cinq ans !!! Mais le résultat est là malgré l’attente. Nos quatre gars sont en forme et nous reviennent avec un album Pop Punk aux douces mélodies. De plus la jaquette n’est pas anodine. Un renvoi direct vers le premier opus sorti en 2000.
Alors que reste t il du groupe après ce long silence. On ne saurait le dire. La magie refait son effet avec la voix de Stacy Jones. Son timbre est toujours innocent tout comme les mélodies qu’il nous offre dans un pur style de power pop.

L’écoute commence avec Fight the Frequency. Un titre rapide ou Jason Stutter s’en donne à Cœur joies derrières ces futs. Le son est identifiable entre mille et on retrouve les sources du groupe. C’est un retour en arrière de plus de dix ans en pleine époque de Flavor of the week. Mais le groupe ne s’arrete pas là et ils enchainent directement avec This a Low. Une introduction assez grave et lourde pour nous lacher un morceau tres rock et tres péchu. Plus moyen de revennir en arriere l’ensemble est laché et c’est partie pour une heure d’écoute au son de American Hi-Fi. Du mélancolique avec Where love is a lie, du rock entrainant avec Lost ou encore de la pop avec Loockout for the Hope

Donc le retour est plus que gagnant nos quatre gars de Boston sont toujours dans la partie avec des mélodies qui tappent fort et qui touche juste. Leur style reste propre et à leur écoute on retourne à nos années lycées. Cet album n’est d’autre qu’un écho lointain mais réel à ce qu’ils étaient il y a dix ans. Le temps a passé mais la passion est toujours là. American Hi-Fi continue de nous entrainer avec eux et on en redemande. Un retour juste et plein d’entrain.

Octobre Voilier !!!


Donc premier week-end et boum une sortie en mer vers l’ilot Mato en compagnie de la cliqua. Avec Bichette, Cécile, Narco, Ju, Manu et Fab on est partit naviguer sur les mers du sud. Une petite expédition à bord du capitaine Houdine. Départ le vendredi soir pour un retour le dimanche soir. Donc deux jours complet en mer, de quoi pouvoir se déconnecter l’esprit en toute tranquillité n’est ce pas ? Et c’est le cas après avoir effectué des courses sur le pouce on se retrouve tous à la baie de Prony pour embarquer. On s’installe on découvre le bateau, un fier deux mats vieux de plus de trente cinq ans. On se pose et on apprécie le fait d’être déjà sur les flots. Ainsi démarre une petite soirée bien arrosé avant d’aller se coucher. Et le lendemain on hisse les voiles et directions le bleu du lagon. Le temps est idéal. Le soleil rayonne et le vent nous pousse vers les rivages des ilots perdus. Une traversé sans encombre. Manu, Narco, Fab et Cécile s’affairent sur le bateau et on file vers l’ilot Mato. Le week end fut plaisant. Farniente et posage sur un ilot. Pour les anecdotes il y en a, mais elles resteront là. Pas besoin d’ébruiter les aléas de certains. Mais en tout cas j’en garde de bons souvenirs. Et je vous laisse en compagnie des photos suivantes.

jeudi 14 octobre 2010

Pirates


Dernier roman à être publié du défunt Michael Crichton, Pirates est un concentré de toutes les aventures qu’on puisse connaitre dans les eaux tumultueuse des caraibes.
On va suivre Edward Hunter un corsaire au service de la couronne britannique qui va passer du coté de la piraterie pour mettre à mal l’empire espagnol en attaquant la forteresse de Mantaceros. Pour cela il va se constituer un équipage hors normes dans le seul but de s’emparer des tresors que renferme la baie de la forteresse.

D’un simple regard on tombe dans les aventures de pirateries simple. Mais là ou M.Crichton sort son épingle du jeu c’est par le fait qu’il nous garde sous tension tout le long de la lecture. Chose qui nous permet de dévorer le livre à une rapidité qu’on reste sur notre faim et notre fin aussi.
Pirates est un bon roman d’aventure mais baclé et incomplet et surtout mal structuré. Et tout ceci fait beaucoup pour un ouvrage de cet accabit. L’ensemble va vite mais certains passage ne sont plus survoler mais tout simplement éffleurer. Je prend l’exemple du second de fort Mantaceros qui tient un role important mais le personnage est à peine amené. Tout comme certaines situations qui sont rocambolesque à souhait et qui malheureusement n’aménene rien à l’intrigue. On est sur une base de piraterie et celle-ci disparait dans le décors pour juste servir de toile de fond. On aurait put mettre l’intrigue dans le désert ou dans la rome antique le final aurait été le même. Et je trouve cela fort dommage. Car l’intrigue principale enfin celle du premier acte et tout bonnement géniale et coupe avec ce qu’on pouvait voir. Mais au final on l’impression que M. Crichton fut submergés d’idée et qu’il a tout mis dans ce roman. Et ceci provoque ce méli melo sans nom qui donne cette impression d’inachevé. Et c’est dommage pour un auteur de cette renomée.

Vamps : Beast


Bon, nous nous sommes arrêtés ou ? Ah oui à Vamps et leur deuxième opus Beast. Beast comme le retour de la bête. Et la jaquette de ce second opus rend bien hommage à ce que nous réserve le duo infernal Hyde et Kaz.
Il faut dire que ces deux ont réussi à faire monter la mayonnaise sans mauvais jeu de mots comme il faut avec un single absolument stratosphérique. Devil side à réussi à nous mettre en bouche et à nous offrir ce qu’on attendait du groupe. Un son bien lourd bien rock’n roll. La guitare est à elle seule magnifique. Cependant ce titre n’est pas à l’image de l’album. Le groupe c’est par moment assagis mais ils ont réussi à garder la hargne des morceaux comme Vamps Addict ou encore Revolution sont tout bonnement géniaux. Certes la découverte du groupe n’est plus là mais l’énergie délivrer par le combo guitare lourde et batterie puissante donne toujours de quoi jumper. Rien que Revolution donne le la ou le ton. C’est à vous de choisir sur quel pied danser. Car l’ensemble est assez homogéne. On est dans la dimension de Vamps à la porte de la damnation et de la luxure. Le péché est là et il est mis en musique sur the Past ou Samsara.

Beast n’est pas la révolution attendu mais il apporte la fraicheur qu’attendait la scène rock japonaise. L’essai est confirmé et en l’espace de deux albums Vamps est devenu un groupe ténor de la scène Rock.

Junk Punk In Calédonia


La junk Punk attitude, la junk life… What’s the fuck ? Et oui ca commence ainsi mais je ne me voyais pas faire une introduction avec le il était une fois et tous le touin touin pour voir des elfes et des farfadets en collant vert gambader dans des champs sous l’influence de l’ecstasy locale. Le junk Punk c’est quoi c’est un futur alternatif. Il en existe plusieurs, attention je suis geek et fan de roleplay donc il est possible que j’en perde pas mal d’entre vous en route. Donc si vous décrochez revenez à la première page et réessayer. Si vous n’y arrivez pas faites comme les elfes essayer l’ecstasy locale. Vous verrez ca passera mieux.
Donc ou en étais-je ? Ah oui le futur enfin les futurs alternatif, il en existe plusieurs qui sont classé sous différentes catégories. Je ne vais que les survoler en vous donnant des exemples. Mais au moins vous comprendrez ce qui c’est passé dans le cerveau gangréné de deux mecs en manque d’events.
On a le cyberpunk un futur ou la technologie a pris le dessus. L’homme est assisté et il vie sous le joug de l’informatique et de l’information mass média. Des œuvres comme Blade Runner et Ghost in the shell sont de très bon exemple.
Ensuite nous trouvons le gothic punk. Non non ce n’est pas le mélange d’un fan de Manson et d’un fan de Sid Visious. C’est un monde ou la religion a pris le dessus. L’homme est traqué pour toute entrave à la doctrine de masses. Pour cela il faut plonger dans le monde de Warhammer 40 000
Une troisième futur assez connu c’est le steam punk. L’humanité c’est arrêté à la révolution de la vapeur. La technologie est bien là mais dans un monde ou deux univers cohabitent. Pour cela des films comme Steam boy ou full metal alchémists sont de bon exemple.
Et pour finir il y a le Junk Punk un monde apocalyptique ou l’humanité survie face aux affres d’une troisième guerre mondiales ou d’une grande épidémie. Les rescapes vivent sur les ruines d’un monde en essayant de le reconstruire. Pour cela il faut se plonger dans Mad Max, Waterworld.
Donc c’est sous ce thème que Bichon, mon fidèle acolyte et moi-même nous nous sommes lancés dans une aventure dépassant l’entendement humain. Comment est né ce projet ? Pour cela il faut remonter le temps. A une époque béni des dieux ou les départs et les retours étaient légions. Perdu sur le vaste parking de la Tontouta on refaisait le monde avec des bouteilles de Baileys à moitié fraiche. Tiède par moment. Et oui la vie peut être cruelle. Et là ce n’est pas la fée verte qui est venu nous dire bonjour. Mais l’esprit de démence et de l’inconcevable. Et depuis il suffit d’une étincelle pour qu’un brasier sans noms s’emparent de nous. Le premier effet connus fut la soirée pirates et le second effet la soirée Junk Punk. Mais comme je vous le disais ici pas de fées ou de prince charmant. Ici tout est chaos tout est désenchanté (bordel Myléne shut up !!!).
Apres des préparatifs houleux et c’est le mot car on avait vu gros pour cette soirée. On est arrivé le vendredi matin sur le lieux de la soirée. A notre bord plus de 130 000 franc d’alcool (plus de 1000 euros pour les européens, a peu prés 110 000 yens pour les japonais et pour nos amis canadiens et anglais je vous laisse faire la conversion), une sono pour faire jumper le dancefloor, 10 futs d’huiles pour le décor, des tonnelles pour les abris et notre savoir faire pour transformer un spot désert en quelque chose de totalement apocalyptique. Et pour cela le ciel nous a entendus pas de la bonne oreille je le conçois. Car à peine nous nous sommes installé que la pluie est venu nous prêter sa compagnie. Et c’est sans attendre qu’on a quitté le spot sans demander notre reste. L’angoisse venait de rejoindre la fête. On est vendredi soir il pleut dans le sud, la météo nous joue des tours et nous pauvres pécheurs (oui je fais mon religieux car en ce moment de crises les sacrifices furent légion, et je vous rassure je ne vous parlerais pas du mien). Le samedi s’annonce anxiogène à souhait on ne sait pas si on doit maintenir la soirée mais on prend notre courage et on fait vœux de chasteté (enfin moi) on prie et on espère que le temps ne bougera pas. Et une fois arrivé sur la plaine de la futur New Heaven le ciel demeuré menaçant. Mais menaçant tant qu’il ne passe pas à l’action ca nous va. C’est ainsi qu’on passe en mode batisseur et que New Heaven sort de terre. On est quatre à mettre la main à la patte, Bichon, Lilian, Seb and Me. Il est sept heures du mat et les participants ne seront ici pas avant trois voir quatre bonnes heures. Il faut tout transformer et on s’y met de bon cœur malgré les petits soucis techniques tel que le groupe électrogène qui nous joue des caprices ou la consommation accru de disque pour la disqueuse.
Cependant la consécration arrive sur les coups de onze heures. On attend au loin les klaxons des voitures. Et ils sont là nos soixante participants. Ils ont signés pour vivre un enfer, et là c’est l’apocalypse qu’on leur vend pas celle selon St Jean mais celle selon la Soundskull Team.



Le temps que les concurrents se posent la sono crachent déjà le ton avec un Highway to Hell qui sonne le glas de toute utopie. L’ére madmaxienne vient de commencer.



En tant qu’Apostat de New Heaven je cree une nouvelle caravane de l’étrange. Le but de ces équipes sera de s’affronter pour entrer dans New Heaven. Malheureusement le ciel nous joue des tours et la pluie fait son apparition. Les priorités sont de protéger le matériel. Refugié tels des naufrages sous les tonnelles on attend… Le rhum arrive et réchauffe les cœurs. Pendant ce temps le staff prend la décision d’abandonner le spot par sécurité et de repartir vers Plum. Il faut trouver une solution de rechange mais celle-ci ne viendra pas de l’équipe d’orga mais de Math et Vince qui nous offre leur maison pour continuer la soirée. Et là tout s’enchaine les Djs lancent les watts et la foule se retrouve sur la piste de danse. Les tracasseries de la journée sont oubliées et les corps de déchainent sur le dancefloor. Aux rythmes d’une musique endiablés tout le monde se laisse aller dans un monde d’extase ou l’alcool coule à flot. Et pour couler il coule. C’est l’orgie à 23 heures c’est panne sèche mais pour tout le monde l’ambiance et là et c’est du jamais vu sur Nouméa.

lundi 4 octobre 2010

Skip The Use : Unbreakable


Ca sonne comme du Punk, on y retrouve une essence funky et en plus ils sont groovy. Que demander de plus voici les Skip the use. Un bon groupe lillois qui n’a pas sa langue dans sa poche. Taillé pour la scéne ils livrent un premier album autoproduit qui décorne sec avec les idées reçut.

Pour le moment ils sont en plein promotion de Unbreakable mais ca ne les empeche pas de faire sauter nos esgourdes. Le tout commence avec Bastard Song un titre qui annonce la couleur des le premier couplet (i love Rock ‘n roll). Le groupe se déchaine sous les attaques vocale de Matt. Un groove puissant avec des pointes de disco. Tout ce melting pot de musique nous donne une folle envie de continuer l’écoute. Et on est pas décut. She is my lady est un titre fort teinté de pop avant gardiste avec un lointain echo à Queen. Et oui ce ne sont pas des salades. Dans cette macédoines de sonoritées on trouve toutes les influences des années 80-90 réarrengé à la sauce XXI siecle.
Mais Skip the Use c’est aussi Give me le single surpuissant qui est là pour faire réagir les foules. On y retrouve toute la puissance du funk. Yann s’en donne à cœur joie et sa guitare est un tremplin direct vers le monde des Skip the Use.

Et oui il n’y a rien à dire de plus, hormis le fait de se procurer cet opus en extrême urgence. Le rock français n’est pas mort et il existe toujours des groupes qui le pronent et qui arrivent à faire trembler les fosses à grand coups de guitares.

Few day in Korea


Apres deux semaines en France je me suis envolé pour Séoul en Corée du Sud. Un petit séjour de cinq jours dans la capitale sud-coréenne en compagnie d’Elo. Ce fut l’occasion de jouer aux touristes et de flâner dans cette mégalopole de l’Asie. Donc après un vol Marseille Paris et Paris Séoul me voici à Inchéon l’aéroport international de Séoul. J’ai à peine le temps de me poser que j’embarque directement dans le premier bus en direction de Hongik. Et oui c’est dans le quartier universitaire que je me suis posé. Pas trop loin du centre ville par le métro et des grands centres d’intérêts. Je profite de ma première journée à flâner et à prendre mes marques. Situer plus ou moins ou je me trouve et trouver des spots intéressant à faire, en attendant l’arrivé d’Elo. J’en profite aussi pour prendre contact avec Eric un ami vivant sur place.
Cependant durant mon flannage je ressens le climat sud coréen. Une chaleur étouffante pire que à tokyo. Le taux d’humidité frôle les cent pour cent. Au moindre mouvement on dégouline de transpirations. A chaque pose c’est déshydrations time. Et c’est là que la culture coréenne me frappe. Oui me frappe comme un café car ici c’est la culture du café. Les Starbucks fleurissent de toute part comme les enseignes concurrentes. On ne fait pas vingt mètres sans tomber devant ces enseignes. Le café est roi et on le voit.
Et c’est sur ces premières impressions que la journée se passe.

Le lendemain c’est reviel aux aurores pour aller chercher Elo qui débarque directement de Nice. Un retour sur les vacances passé en métropole. Meme si on c’était revu quelques jours avant sur la promenade des anglais.
Et de là tout s’enchaine c’est parti pour écumer Séoul. Et pour cela on commence avec la visite du centre ville et du parc de Deoksugung et du palais de Gyeongheuigung On érre dans ces leiux d histoire et on admire l’architecture coréenne. Le temps passe et on vagabonde entre les pierres et les jardins des anciens empereurs de corée. On continue notre periple pour prendre de la hauteur au niveau de la Seoul Tower. Le panorama de la ville s’offre à nous. Perdu au mileu des montagne la ville nous livre ces secrets. Le dépaysement est total !!!
Tout comme notre épuisement car l’asencion est digne de la montée des douzes temples dans les chevaliers du zodiaque (oui geek inside). Des marches, des marches et encore des marches. Mais bon le résultat valait toutes nos peines. Car une fois notre périple accompli on est allé rejoindre Eric un ami qui vit à Séoul. Et en sa compagnie on a écumé les bars de la ville avec un posage dans un night club tres sympathique. Et oui l’ambiance festive est partout et pour notre part le retour fut digne de nos plus belles soirées. Un casque de moto en moins un trousseau de clés oublié pour Eric et une perte de carte bleue pour ma part. Dantesque n’est ce pas ?

Pour le deuxieme jour c’est direction la porte de Dongdaemun et le parc olympique. On joue aux touristes et on flane au milieux de boutiques et des curiosités des differents quartiers.
Malheureusement pour la DMZ il faudra repasser. En cette periode l’armée américaine et coréenne sont sur place et suite aux dernieres altercation la zone est fermée au touristes. Bref notre dernier jour sur la capitale sera dédié à faire les dernieres courses de fringues et de souvenirs pour les amis et la famille avant de reprendre la route de Incheon pour rentrer en calédo.
Pour la derniere soirée Eric nous invite à frequenter une nouvelle fois les bas fond de Séoul dans une ambiance soft electro. Et il nous indique une boite de nuit proche de notre quartier qui passe du full rock pop. Jusqu’à quatre du mat on sera là a faire chauffer le dancefloor. La fin d’une étape…


a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="http://3.bp.blogspot.com/_tTooSuYITGU/TKlr7WyySII/AAAAAAAAAnc/IyDJrNf5cEo/s1600/DSC_0143.JPG">